Effectivement, vous touchez tous les deux au coeur du problème :
1) Le gaspillage. Notamment les trucs aberrants des administrations qui thésaurisent pour ne pas voir leurs crédits baisser.
2) Le distribution déraisonnée des protections. Bien sûr qu'on n'est jamais assez protégé, mais il faut que ce soit justifié. Les aides dépensées à tort et à travers, sans vérification de l'usage qui en est fait, etc.
Le problème n'est pas une lutte binaire confort social excessif / précarité généralisée, mais bien une refonte des structures et des modes d'attribution des crédits, la généralisation des contrôles sur l'argent public.
Seulement, vous touchez à un rien, et forcément tout le monde râle. Ajoutez à cela que les politiques ont peur de leur ombre, et voilà...