Playlist (98)

Pas facile de choisir la jolie pochette du jour aujourd'hui !

Il faut les mettre dans le même ordre, mais en rangée de gauche à droite...

Alifie a écrit:

Pas facile de choisir la jolie pochette du jour aujourd'hui !

Cachez ce ... que je ne saurais voir...

La troisième à droite est un peu kitsch, mais les autres sont superbes, oui je suis d'accord...

Mélomaniac a écrit:

Nikolaï Rimsky-Korsakov (1844-1908) :

La Nuit de Noël, Suite tirée de l'opéra

Nuit de Noël - Ballet des étoiles - Sabat des sorcières et chevauchée sur le dos du diable - Polonaise - Vakula et les chaussons

= Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, mai 1957)

• Mahler: Symphonie nº1 en ré majeur
Kirill Kondrachine / Orchestre Philharmonique de Moscou
Melodiya, 1969
Encore une fois enthousiasmé par un Mahler de Kondrachine. Voir ici.

• Carter: Sonate pour flûte, hautbois, violoncelle et clavecin. A Six letter letter. Pastorale. Scrivo in vento. Triple Duo
Heinz Holliger, Ensemble Contrechamps
Accord, 1996
Un disque très séduisant, et qui pourrait être une introduction idéale à la musique de chambre de Carter. Voir ici.

Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Symphonie n°5 en ré mineur Op. 47

= Paavo Berglund, Orchestre symphonique de Bournemouth

(Emi, 1976)

Fichtre, y avait (trop) longtemps que j'avais pas écouté cette version : Berglund c'est quand même du lourd. Et quels cuivres !

jolie pochette aussi !



Sviatoslav Richter
Milan, Sala Verdi, Conservatory
08/11/1976

Beethoven - Piano Sonata No. 7 Opus 10.03
Schumann - Carnival Jest of Vienna Opus 26
Chopin - Polonaise-Fantasie Opus 61
Chopin - Waltz Opus 34.03
Chopin - Waltz Opus 70.03
Chopin - Mazurka No. 41 Opus 63.03
Chopin - Mazurka No. 46 Opus 67.03
Chopin - Mazurka No. 50 Opus 68.03
Chopin - Mazurka No. 43 Opus Posth.
Chopin - Study Opus 25.07
Chopin - Scherzo No. 4 Opus 54
Debussy - Prels Bk 1 Le Vent dans la Plaine No. 3
Debussy - Prels Bk 2 Bruyères No. 5
Debussy - Prels Bk 2 Ondine No. 8

audience recording

Vaughan-Williams: Fantasia on a Theme by Thomas Tallis; Toward the Unknown Region, Serenade to Music; Partita for Double String Orchestra; Concerto Grosso. Adrian Boult, enregistrements stéréo EMI. Dans la fameuse Fantasia, Barbirolli demeure inapprochable.

Ferneyhough, Lemma-Icon-Epigram (1981).  Ian Pace

Cantus in memoriam Benjamin Britten, Part

Fur Alina, Part

Spiegel im spiegel, Part

De Profundis, Part

Festina lente, Part


C'est vraiment bon Arvo Part.

Senthinel a écrit:

Cantus in memoriam Benjamin Britten, Part        

Fur Alina, Part        

Spiegel im spiegel, Part      

De Profundis, Part      

Festina lente, Part    


C'est vraiment bon Arvo Part.

j'ai écouté hier quasiment le même programme que toi.

en ce moment (après Sun Ra ça me change de climat ) :

PÄRT: symphonie n° 3. Paavo Järvi
après:
PÄRT: credo pour piano, choeur et orchestre. Hélène Grimaud - Esa Pekka Salonen

PÄRT (après Sun Ra ça me change de climat  ) :

Quoi que...il y a au milieu du Credo des dissonances quelque peu vociférantes pas si éloignées que ça de certaines improvisations de free jazz...surprenant de la part de Pärt

c’est normal, cette œuvre date de 1968, donc encore dans la première période de Pärt, même s’il y a déjà des traits qui caractériseront l’après, par collage (premier prélude de Bach notamment).

Chostakovitch - Quatuor n°14 - Rubio Quartet

lucien a écrit:

c’est normal, cette œuvre date de 1968, donc encore dans la première période de Pärt, même s’il y a déjà des traits qui caractériseront l’après, par collage (premier prélude de Bach notamment).

1968 ?

j’ai dit une bêtise ?

Oulà, t'as raison. J'ai toujours cru qu'il l'a écrit en 1962...

Moi je trouve ce Credo vraiment raté.
__________

Messiaen: Quatuor pour la fin du Temps / Yordanoff, Têtard, Desurmont & Barenboim

Pas super, cette version. Enfin je suis pas du tout inconditionnel de l'oeuvre de toute façon.

lucien a écrit:

Jof a écrit:

Moi je trouve ce Credo vraiment raté.

moi aussi.

Pas assez long ?

Non, juste que cette oeuvre est nulle (autant dans l'intention que dans l'écriture, à mon sens).

J'en ai également un mauvais souvenir. (jamais eu envie de le réécouter)

Johannes Brahms (1833-1897)
Sonates pour clarinette et piano
N°1 Fa mineur
N°2 Si bémol majeur

Michel Portal, clarinette
Georges Pludermacher, piano

Très belle version (surtout la n°1), mais trop de déférence crée comme un tamis un peu ouaté qu'accentue une prise de son ambrée, et fait que me manquent les éclats et suspensions de la version magnifique et déjà ici louée de Gervase de Peyer / Daniel Barenboïm.

• Tubin: Symphonie nº3 en ré mineur
Neeme Järvi / Orchestre Symphonique de la Radio Suédoise
BIS, 1986
Des climats magnifiques, avec ce côté toujours un peu voilé de l’orchestre de Tubin (qui n’est pas pour me déplaire); une belle poussée continue du discours, un peu comme du Sibelius en plus compact.

• Buxtehude: Sonates en sol majeur Bux 271, en ut majeur 266 et en fa majeur BuxWV 269. Ciacona en ut mineur BuxV 159 (arr. pour 2 orgues)
Reinken: Hortus Musicus IV en ré mineur et I en la mineur
La Rêveuse
Mirare, 2008
Tout ce que j’aime dans le baroque pré-Bach: rigueur du contrepoint et imagination du trait mélodique. Très belle version, beaucoup de précision et de couleurs.

Benedictus a écrit:

Buxtehude: Sonates en sol majeur Bux 271, en ut majeur 266 et en fa majeur BuxWV 269. Ciacona en ut mineur BuxV 159 (arr. pour 2 orgues)
Reinken: Hortus Musicus IV en ré mineur et I en la mineur
La Rêveuse
Mirare, 2008
Tout ce que j’aime dans le baroque pré-Bach: rigueur du contrepoint et imagination du trait mélodique. Très belle version, beaucoup de précision et de couleurs.

un superbe disque (pour une superbe musique)!

Antonín Dvořák (1841-1904) :

Symphonie n°7 en ré mineur Op. 70

= Constantin Silvestri, Orchestre philharmonique de Vienne

(HMV, février 1960)

lucien a écrit:

c’est normal, cette œuvre date de 1968, donc encore dans la première période de Pärt, même s’il y a déjà des traits qui caractériseront l’après, par collage (premier prélude de Bach notamment).

Oui, 1968, je n’avais pas relevé car le début et la fin de l’œuvre sont tout à fait dans le style du Pärt auquel je suis habitué

Jof a écrit:

Moi je trouve ce Credo vraiment raté.

lucien a écrit:

moi aussi

Xavier a écrit:

J'en ai également un mauvais souvenir. (jamais eu envie de le réécouter)

Certes cette opposition temps forts-temps faibles est parfois un peu naïve et chaussée de gros sabots, mais tout n’est pas à jeter quand même, notamment ce passage disons « véhément » qui ne m’a pas déplu, et qui me semble plus sous l'influence d'un certain jazz des 70' que du dodécaphonisme ou autre sérialisme en vogue à cette époque chez la majorité des compositeurs classiques, et la mélodie très simple mais très belle qui ouvre et ferme l’œuvre annonce effectivement le Pärt minimaliste.

Sinon actuellement :
STRAVINSKY :
concertino pour douze instruments  1920/1952, Pierre Boulez
trois pièces pour quatuor à cordes, 1914, quatuor Parrenin
symphonie d’instruments à vent, 1920/1947 Pierre Boulez

J’aime beaucoup ce Stravinsky là, notamment les trois pièces pour quatuor, conscient cependant que mes goûts ne sont pas là non plus dans la norme, ces pièces n’étant jamais citées comme des œuvres majeures du prince Igor.

Corelli : Sonates diverses
(j'ai loué cela à la bibli il y a beau temps et je ne suis plus si sûr de la pochette)


Ce qui est sûr, par contre :
Enrico Gatti/Ensemble Aurora, 1996.

Une musique d'intérieur serein, de home sweet home, avec des joies tranquilles et des malheurs mesurés...
Mais un regard profond et d'une grande tendresse sur toutes ces peccadilles.
C'est très intime et touche personnellement.
La B.O. d'une vie rêvante, n'importe où, n'importe quand, même dans un ranch en Oregon, fin XIXéme.....
Désolé d'en être toujours réduit aux images...,

La sonate I rappelle drôlement les musiques de joyeux anniversaire pour Mary ou Ste Cécile de Purcell.

Messiaen: Trois petites liturgies de la présence divine/Kulinsky

Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Symphonie n°11 en sol mineur Op. 103

= Mstislav Rostropovitch, Orchestre symphonique de Washington

(Teldec, novembre 1992)

Franz Schreker
Der Ferne Klang

Gabriele Schnaut [ Grete ]
Thomas Moser [ Fritz ]
Victor von Halem [ Der alte Graumann ]
Barbara Scherler [ Frau Graumann ]
...
Gerd Albrecht : Radio-Symphonie-Orchester Berlin ⁃ RIAS Kammerchor und Rundfunkchor Berlin

Rav-phaël a écrit:

Franz Schreker
Der Ferne Klang
Gabriele Schnaut [ Grete ]
Thomas Moser [ Fritz ]
Victor von Halem [ Der alte Graumann ]
Barbara Scherler [ Frau Graumann ]
...
Gerd Albrecht : Radio-Symphonie-Orchester Berlin ⁃ RIAS Kammerchor und Rundfunkchor Berlin

Dans la même série, il y avait aussi de chouettes Zemlinsky et Notre-Dame de Schmidt. J'ai bien fait de les thésauriser (à moins que ça n'ait été réédité en économique?)

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Concerto pour clarinette et orchestre K. 622
Alfred Prinz, clarinette
Karl Münchinger. Orchestre philharmonique de Vienne

• Mahler: Symphonie nº8 en mi bémol mineur «des Mille»
Licia Albanese, Eileen Farrell, Rose Bampton, Nan Merriman, Maxine Stellman, Jan Peerce, Robert Merrill, Norman Scott, Arturo Toscanini / NBC Symphony Orchestra & Chorus, Robert Shaw Chorale
RCA, 1949
Un enregistrement intéressant pour sa valeur historique, mais musicalement très décevant. Voir ici.

• Stockhausen: Klavierstück XIII «Luzifers Traum»
• Nono: ... sofferte onde serene...
- in Darmstadt Electronica
Lang Lang
DG, 2015
Le jeu tantôt brutal tantôt maniéré de Lang Lang n’a jamais été aussi convaincant que dans le contemporain radical. Voir ici.

Tüür : Lighthouse

Juha Kangas/Ostrobothnian Chamber Orchestra,1997
Allez savoir pourquoi, un morceau qui en appelle impérativement un autre !

Adams : Shaker Loops

Marin Alsop/Bournemouth Symphony Orchestra, juin 2003.

C'est du vent.
C'est le vent. Mais aux cordes !
C'est la ligne continue de la musique qui baigne toute chose, qui rencontre, ou pas, des obstacles, des jeux, des couloirs et des anches.
C'est l'éolienne assoupie qui grince mollement dans le vent alenti, et le souffle qui forcit assez pour pencher les roselières sans plus la réveiller
Ce n'est que le vent.
Mais aux Cordes !
Moi qui vient d'un pays où le ciel est roi, où les maisons sont bâties comme la proue des bateaux, pente du toit abaissée et angle du mur au nord-ouest comme un soc,
Là où dès qu'on se dresse on fait obstacle tant basse est la terre, je vous assure que cela me parle.
Ah ! Nord Médoc !
Quand me reverras-tu ?
Tu as voté extrême droite.
Vois la peau de mon c!Et tout de suite, en complément de programme :
Mendelssohn : symphonie N°4, Italienne.

Emmanuel Krivine/La Chambre Philharmonique, 2007.
Ach, ça me rappelle cet été 1991, où seul dans la grande maison je recherchTa gueule !mon âme.

Herbert Howells: Phantasy Quartet; Quatuor "In Gloucestershire"

Beethoven: symphonie no 9. Première écoute à vie de la neuvième sous ToscaMimi. Orchestre de la NBC, avec dans le finale les voix de Eileen Farrell, Nan Merriman, Jan Peerce et Norman Scott. Version très "Rex tremendae". Bonne prise de son. J'en suis au début du troisième mouvement et je crois que je vais te me la mettre parmi les meilleures sur une longue liste.

Georges Enesco: symphonies n°1 et 2 (orchestre philharmonique de Monte-Carlo, dir: Lawrence Foster).

Première écoute de ces deux symphonies. Pas mal du tout, surtout la deuxième ...

Je n’avais jusqu’à ce jour jamais apprécié plus que ça « shaker loops » de John Adams, mais je l’écoutais de temps en temps sans déplaisir non plus…en fond sonore.
Le superbe commentaire de Tod m’a donné envie de réécouter encore une fois, et j’ai senti le vent à mon tour, le vent léger qui transporte les senteurs du soir, celui qui calme les angoisses et fait que demain sera forcément beau, celui moins avenant aussi qui tourbillonne et projette des poussières dans les yeux, le vent quoi !  Merci Tod.

Adams : « Shaker Loops », Christopher Warren-Green, London Chamber Orchestra
Et sur ma lancée :
Adams : « Common Tones in Simple Time », Edo de Wart, San Francisco Symphony

Beethoven:Symphonie n°5 (Leibowitz)
Beethoven:Symphonie n°5 (Karajan 1948)

Enchainé les deux versions sans la moindre lassitude.

Comme pour le Sacre j'ai beau avoir écouté cette oeuvre 21546 fois, je suis toujours saisi par ce monument de musique.

Henri Dutilleux : Symphonie No. 1 (1951)/Jean-Claude Casadesus
Le Loup, fragments symphoniques (1953)/Georges Prêtre
Symphonie No. 2 (1959)/Michel Plasson

C'EST TROP BEAU !!!

Georges Enesco: symphonies n°3 (orchestre national de Lyon, Les éléments, dir: Lawrence Foster).

Georges Enesco: Troisième sonate pour violon et piano (Sokolov, Kosenko)

Fort intéressant tout cela … Faudra que je réécoute.

CD 10 de ¨L'Orgue français" (Marie-Claire Alain sur Erato). Des noels de Dandrieu, suites de Dagincourt, 3 Rhapsodies sur des cantiques bretons de Saint-Saens, 3 pices de Fauré et la Suite gothique de Boëllmann.

Steve Reich (1936–), Vermont Counterpoint pour 11 flutes (1982) *
Giacinto Scelsi (1905–1988), Ko-Lho pour flute et clarinette (1966)
Philippe Durville (1957–), After Effect pour flute en sol (1988)
York Höller (1944–), Moments musicaux pour flute et piano (1979)
Philippe Hurel (1955–), Eolia pour un flutiste (1982)
Jean-Marc Singier (1954–), Appendice pour flute et violoncelle (1983)
Philippe Manoury (1952–), Petit Aleph pour flute seule (1986)
Klaus Huber (1924–), To ask the Flutist pour flute seule (1966)
François Rossé (1945–), Mod’son 6 pour fulte en sol et violoncelle (1985)

        Pierre-André Valade, flute
        Rémi Lerner, clarinette
        Isabelle Veyrier, violoncelle
        Ichiro Nodaira, piano
        * 10 parties enregistrées par Lawrence Beauregard