Playlist (121)

xoph a écrit:

Antonio Vivaldi (1678-1741)
Concerto di ripieno do maggiore
Artemandoline Baroque Ensemble

watch?v=dPG13qnYT2A

il y a un excellent album du label Amon Râ consacré à cet instrument:



C'est dispo en streaming.

Également le bel album du label Pierre Verany par Florentino Calvo consacré exclusivement à la mandoline baroque.

NB Cet instrument intéressa depuis plus longtemps qu'on le penserait. Même le compositeur austère allemand Arnolt Schlick qui vécut
de 1460 et 1521 environs!

merci des infos, je note

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Partitas
Trevor Pinnock (clavecin David Jacques Way d'après Hemsch)

xoph a écrit:

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Partitas
Trevor Pinnock (clavecin David Jacques Way d'après Hemsch)

Ah oui? Ça tient le coup, face à Leonhardt II, Scott Ross (le seul de ses enregistrements que j'aime, finalement), Verlet ou Alard?

Quelques extraits tirés des dix volumes de la récente réédition de la collection ''El Órgano Histórico Español'' de feu Auvidis Valois
paru en 1992 en dix cd que je possède toujours comme à la prunelle de mes yeux, car la plus plus fameuse collection consacrée
à la musique espagnole pour orgue avec des instruments historiques parmi les plus célèbres et bien-sûr des solistes de très haut
calibres parmi les plus grands spécialistes de ce répertoire, comme Guy Bovet, Motserrat Torrent, Bernard Foccroulle, Lionel Rogg,
Francis Chapelet, Kimberly Marshall, La superbe Cristina Garcia Banegas, Elisa Freixo, José Luis González Uriol et Josep Maria Mas I Bonet.



C'est dispo avec Qobuz, Deezer Spotify.

Benedictus a écrit:

xoph a écrit:

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Partitas
Trevor Pinnock (clavecin David Jacques Way d'après Hemsch)

Ah oui? Ça tient le coup, face à Leonhardt II, Scott Ross (le seul de ses enregistrements que j'aime, finalement), Verlet ou Alard?

"Je suis totalement incompétente pour écrire quoi que ce soit sur l'interprétation des oeuvres de JS Bach, mon compositeur préféré" Nicole M (dans les commentaires sur la 2°version Pinnock sur un site marchand bien connu). Que de sagesse en si peu de mots...

Bon sinon, cette première version (je connais pas la seconde) tient assurément le coup. J'ai commencé par la Toccata de la 6ème (je commence souvent par là pour les partitas et j'y retourne pour te répondre): clavecin magnifique (profondeur et puissance des graves), du côté de la libre fantaisie avec mise en avant d'un caractère improvisé et aussi de motricité à contrario (ce que je trouve ne réussit pas Verlet, trop continûment dans le déséquilibre). Assez théâtral dans les déploiements successifs, de ce point de vue là moins "neutre" qu'Alard (que j'aime beaucoup), et bizarrement plus de poids (ce que j'aime) que chez Léohnardt II ( que je connais pas, mais je vais me corriger et viens d'écouter la toccata) . Pour moi assez proche de Ross (que j'aime) dans son esprit (mais avec un son différent, moins "clair", et moins incisif que Ross). J'aime beaucoup, et si cela ne se substitue bien sûr pas aux versions que tu cites: c'est vraiment loin de laisser indifférent. Il y a une chose qui m'agace (mais c'est assez général dans mon écoute du clavecin), ce sont les changements marqués de registrations (pas dans la toccata, mais sur l'ensemble, la gavotte sur cette même partita 6 par exemple après une très belle sarabande, proche de la toccata, et avant une gigue, à faire se lever les morts).
Sinon réécouté aussi pour cette toccata (Partita 6) Türeck: j'adore (pour la toccata): quelle si belle façon d’amener une telle dynamique et force en jouant pianissimo

Dukas:Ariane et Barbe Bleue (Jordan)

Verdi : Don Carlo (Solti / Bergonzi / Tebaldi / DFD / Bumbry / Ghiaurov / Talvela)

Les Tuyaux de la Nuit...





Au programme ce soir : N. Bruhns - M. Weckmann - G. Böhm - J.S. Bach

xoph a écrit:

Il y a une chose qui m'agace (mais c'est assez général dans mon écoute du clavecin), ce sont les changements marqués de registrations

Ça c'est parce que tu n'écoutes pas assez d'orgue baroque nord-allemand

Ludgerikirche de Norden (Allemagne, Basse-Saxe)


1) Nicolaus Bruhns (1665-1697) :

Praeludia en mi mineur
Praeludium en sol mineur
Praeludium en sol majeur
Nun komm der Heiden Heiland

= Bernard Foccroulle, orgue Schnitger de la Ludgerikirche de Norden

(Ricercar, octobre 1988)

Un legs ténu mais génial, une pierre de touche du répertoire hanséatique. Ici joué sur un instrument emblématique. Que du bonheur !  

Vue depuis la campagne, l'église de Marienmünster (Allemagne, Rhénanie-du-Nord-Westphalie)


2) Matthias Weckmann (1617-1674) :

Es ist das Heil uns kommen her, versets 1-7

= Friedhelm Flamme, orgue Möller de l'église abbatiale de Marienmüller

(CPO, juillet 2013)

Un des plus longs chapelets de choral du répertoire baroque, -le sixième verset dure à lui seul onze minutes.
Sur un instrument qui malgré son volume (44 jeux) et la largeur de son buffet s'épanouit avec aisance dans l'acoustique.
A noter la présence d'un Fagott 16' au clavier de Rückpositiv, à la sonorité d'anche plutôt douce.

Musique de chambre intime de Carl Philipp Emanuel Bach. Des oeuvres discrètes, raffinées.

L'église Sainte-Marie de Marienhafe (Allemagne, Frise orientale)


3) Georg Böhm (1661-1733) :

Freu dich sehr, o meine Seele

= Thiemo Janssen, orgue Holy de l'église Sainte-Marie de Marienhafe

(Nomine, 2013)

Érigé en 1711, un petit instrument baroque, l'un des mieux préservés de la région (sur la vingtaine de jeux qui le composent, quasiment tous sont intacts, sauf deux) et qui fut restauré en 1969 et 2010.
Très bien valorisé par cette choralpartita de Böhm, un des maîtres du genre.

Comme souvent chez Schmitt, une musique très conservatrice dans la composition, mais audacieuse et provocante. Dans cette optique, la pochette ne démérite pas. Superbe exécution et prise de son. À quand Oriane?

Mélomaniac a écrit:

Ludgerikirche de Norden (Allemagne, Basse-Saxe)


1) Nicolaus Bruhns (1665-1697) :

Praeludia en mi mineur
Praeludium en sol mineur
Praeludium en sol majeur
Nun komm der Heiden Heiland

= Bernard Foccroulle, orgue Schnitger de la Ludgerikirche de Norden

(Ricercar, octobre 1988)

Un legs ténu mais génial, une pierre de touche du répertoire hanséatique. Ici joué sur un instrument emblématique. Que du bonheur !  

Mais l'orgue vraiment fidèle pour restituer ces compositeurs est celui historique de Stralsund ou bien le petit du même facteur de
Saint-Jacques de Lübeck.

Centre ville d'Herzogenaurach et sa tour médiévale (Allemagne, -Bavière)


4) Georg Böhm (1661-1733) :

Ach wie nichtig, ach wie flüchtig
Freu dich sehr, o meine Seele

= Martin Neu, orgue Ahrend de l'église St. Otto d'Herzogenaurach

(Audite, mai 2008)

Un instrument situé en Franconie mais construit dans l'esthétique nord-allemande, en 2007 par les ateliers Ahrend.
Idéal pour servir ces deux délicieuses partitas d'un des grands maîtres du choral baroque.

Église Saint-Jacques de Lübeck (Allemagne, Schleswig-Holstein)


5) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Sonate en trio en mi bémol majeur, BWV 525
Fantaisie et Fugue en sol mineur, BWV 542

= Arvid Gast, orgue Schuke de l'église Saint-Jacques de Lübeck

(Audiomax, mai 2008)

Interprétation fluide de la Sonate, puis très nerveuse de ce diptyque foudroyant et tragique.
Rappelons que cette église rassemble plusieurs instruments : un petit positif, le Stellwagen historique, et ce grosse Orgel (1984) également d'esthétique baroque.
Extrait d'un disque qui les présente tous trois.

Ne pas omettre le plus prestigieux des trois:



Entendre cet orgue et celui plus gros du même facteur de Stralsund, dis-toi que c'est pratiquement ce que Buxtehude a connu, entendu, tout  autant pour les oreilles de ses élèves, Bruhns, Lübeck, Böhm... car l'orgue que Buxtehude y fut organiste était de même facture puisque du même facteur, étant Stellwagen.



C'est précieux, d'autant plus que Arhend n'a pas modifié par sa patte Renaissance!

Une très grande partition de Florent Schmitt. 6 mouvements organisés en 2 suites, d'une durée de 45 minutes. Schmitt amène son langage harmonique près de l'atonalité. Sans enfler les textures ni boursoufler la forme, le compositeur présente une suite dramatique incroyablement riche et colorée. L'Orchestre de Lorraine est enthousiasmant et la direction de Mercier vive et fouillée. Prise de son somptueuse. Un grand disque.

Chostakovitch: symphonie n° 5, Les Dissonances (sans chef)

deuxième écoute après achat de ce disque il y a une vingtaine de jours: enregistrement en public (pas la moindre toux à signaler cependant, prise de son presque identique à un enregistrement studio, quelques murmures plus supposés que vraiment entendus), la sensation d'un manque de "patate" dans les deux premiers mouvements, mais globalement très convaincant, très beau 3ème mouvement et magnifique final: un signe: les applaudissements n'interviennent que quatre à cinq secondes après la fin de l'oeuvre.  

Très beau vraiment.

Franz Schubert : Wanderer Fantaisie pour piano        1822 / Planès

Les Tuyaux de la Nuit...





Au programme ce soir : V. Lübeck - F. Tunder - F.C. Morheim - D. Buxtehude - J.S. Bach

L'abbaye Saint-Georges de Grauhof-Goslar (Basse-Saxe)


1) Vincent Lübeck (1654-1740) :

Praeludium en ut majeur
Praeludium en sol mineur
Praeludium en fa majeur
Praeludium en mi majeur
Praeludium en ré mineur
Praeludium en ut mineur
Praeludium en sol majeur

= Friedhelm Flamme, orgue Treutmann de l'église St Georg de Grauhof-bei-Goslar

(CPO, octobre 2005)

Un de mes orgues baroques préférés, qui donne beaucoup de corps à ce compositeur, mais aussi des couleurs aigres-douces qui lui conviennent bien.
L'image traduit mal l'imposant volume du buffet, mais regardez comment paraît petite la console,
au milieu sous le cul-de-lampe de la tourelle : ça vous donne idée des mensurations de ce joli bébé rose et joufflu.

Vue de la cour de l'Archevêché, la Cathédrale de Roskilde (Danemark)


2) Franz Tunder (1614-1667) :

Komm heiliger Geist, Herre Gott
Jesus Christus wah'r Gottes Sohn
Auf meinen lieben Gott
Herr Gott, dich loben wir

= Bernard Foccroulle, orgue Raphaëlis de la Cathédrale de Roskilde

(Ricercar, mai 2001)

Cathédrale d'Eichstätt (Allemagne, -Bavière)


3) Friedrich Christian Mohrheim (1718-1780) :

Ein feste Burg ist unser Gott
Jesu, der du meine Seele
Trio n°3 en sol mineur

= Hans Helmut Tillmanns, orgue Sandtner de la Cathédrale d'Eichstätt

(Danacord, juillet 2000)

Une silhouette élancée, pour ce buffet tout en hauteur qui rappelle l'esthétique de certains instruments du facteur Klais (Cathédrale de Trèves par exemple),
mais avec des plates-faces, et abrite environ 70 jeux.

Cathédrale de Lübeck (Allemagne, Schleswig-Holstein)


4) Dieterich Buxtehude (1637-1707) :

Passacaille en ré mineur, BuxWV 161
Erschienen ist der herrliche Tag, BuxWV 224

= Hans Helmut Tillmanns, orgue Marcussen de la Cathédrale de Lübeck

(Danacord, juillet 2000)

Une des plus poétiques interprétations de cette divine passacaille, avec celle de Walcha à Cappel.

Mélomaniac a écrit:

Cathédrale d'Eichstätt (Allemagne, -Bavière)


3) Friedrich Christian Mohrheim (1718-1780) :

Ein feste Burg ist unser Gott
Jesu, der du meine Seele
Trio n°3 en sol mineur

= Hans Helmut Tillmanns, orgue Sandtner de la Cathédrale d'Eichstätt

(Danacord, juillet 2000)

Une silhouette élancée, pour ce buffet tout en hauteur qui rappelle l'esthétique de certains instruments du facteur Klais (Cathédrale de Trèves par exemple),
mais avec des plates-faces, et abrite environ 70 jeux.

Franz Lehrndorfer a consacré un album à Reger sur ce bel instrument assez ressemblant par sa sonorité, au Beckerath de l'Oratoire,
mais huit jeux en moins et dépourvu d'une batterie d'anches en chamades. Mais ce ''Gros machin'' comme tu les qualifies( )
possède son 32' pieds en façade.

Tu connais cet album du feu label Calig?

Église Saint-Jacques de Lübeck (Allemagne, Schleswig-Holstein)


5) Dieterich Buxtehude (1637-1707) :

Toccata en fa majeur, BuxWV 157
Fugue en ut majeur, BuxWV 174
Ach Gott und Herr, BuxWV 177
Passacaille en ré mineur, BuxWV 161

= Armin Schoof, orgue Stellwagen de l'église Saint-Jacques de Lübeck

(Thorofon, septembre 2003-septembre 2004)

Buxtehude fut organiste dans une autre église de la cité lübeckoise, celle de Sainte-Marie.
Le savoureux instrument historique de la Jacobi Kirche reste un instrument idéal pour ce répertoire.

Yes!

La Dorfkirche de Warsow (Allemagne, Mecklenburg)


6) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Ach, was soll ich Sünder machen

= Dorothee Frei, orgue Driese de l'église de Warsow

(MDG, septembre 2000)

Une perle pour finir la soirée !
Un instrument de 1833, tout petit (seulement onze jeux sur un seul clavier et une soubasse au pédalier), qui ne paie pas de mine,
mais d'une faconde, d'une plénitude et d'une suavité extraordinaires !
L'italianita de cette choralpartita en ressort avec une plantureuse séduction.

Grâce soit rendue, encore une fois, au forum et à ses membres. Noël! Noël ! Hosanna au plus haut des Cieux ! (bon. Comme disait Emile Z : J'abuse...)
Mais écouté ce jour:

Yagushi AKUTAGAWA : Rapsodie pour Orchestre, Trinita Sinfonica et Ellora Symphonie.
Takuo Yausa et l'Orchestre Symphonique de Nouvelle Zélande, 2002.

  ça donne, ça pète, ça envoie du bois !
Je ne suis pas aussi fine mouche que vous...
Mais si on ne regarde pas la date des compositions, ça laisse le cul par terre.
Comme quoi, l'Evolution en Art .................
Il a toute sa place en Rubrique Gé !
Avec une petite entrée, certes, mais pour lui tout seul.

Franz Schubert
* Impromptu op.90 no.4
Arthur Rubinstein, piano

D'une pierre deux coups: Rubinstein (qui aurait eu 119 ans le 28) et Schubert dont c'est l'anniversaire aujourd'hui.

Alifie a écrit:

plenum a écrit:

Ouf que c'est dépassé ça...

Je ne signerais pas pour ses Brandebourgeois, mais sinon, je suis solidaire avec Ravélavélo, au titre des émotions de .

L'enregistrement mono laisse à désirer, certes, mais c'est vrai que j'ai beaucoup d'affection pour Baumgartner et le Festival de Lucerne qui sont assez représentatifs d'une époque aujourd'hui révolue.

Une interprétation très particulière de la 3ème symphonie: en perpétuelle mouvance, tant horizontale que verticale, à l'opposé de ce qu'on entend habituellement. Généralement les chefs et orchestres tendent à donner de ces oeuvres une image sonore unidimensionnelle. Ici on a l'impression d'un kaléidoscope non pas de couleurs primaires, mais de nuances intermédiaires. Ça change des 50 nuances de gris trop souvent entendues. Le rubato constant qu'il utilise dans le poco allegretto de la 3ème est étonnant et, à ma connaissance, unique. Prêtre fait la reprise du premier mouvement dans la 3ème, mais pas dans la 2èmes. Dans les deux cas il a tout-à-fait raison.

Enregistrements de concert réalisés dans la Philharmonie de Berlin en 2008 et 2011. C'est hors de France que Prêtre eut le plus de reconnaissance pour son art. Ces concerts berlinois sont de précieux témoignages de son art.

Alfonso De Ligori
* 17 Mélodies en version instrumentale
Simon Carpentier & Christian Thomas

tod a écrit:

Grâce soit rendue, encore une fois, au forum et à ses membres. Noël! Noël ! Hosanna au plus haut des Cieux ! (bon. Comme disait Emile Z : J'abuse...)
Mais écouté ce jour:

Yagushi AKUTAGAWA : Rapsodie pour Orchestre, Trinita Sinfonica et Ellora Symphonie.
Takuo Yausa et l'Orchestre Symphonique de Nouvelle Zélande, 2002.

  ça donne, ça pète, ça envoie du bois !
Je ne suis pas aussi fine mouche que vous...
Mais si on ne regarde pas la date des compositions, ça laisse le cul par terre.
Comme quoi, l'Evolution en Art .................
Il a toute sa place en Rubrique Gé !
Avec une petite entrée, certes, mais pour lui tout seul.

Dutilleux:Symphonie n°2 (Tortelier)

Le genre d'œuvre dont on ne se lasse pas.

Je n'avais jamais remarqué que les clochers de Lübeck étaient inclinés. C'est voulu ou non ?

...............................................

Ce matin:



Ensuite, silence radio pendant 3 semaines

arnaud bellemontagne a écrit:

Dutilleux:Symphonie n°2 (Tortelier)

Le genre d'œuvre dont on ne se lasse pas.  

 Et quelle version !

Oui, vraiment!

-------------

Wuorinen:concerto pour piano n°3 (Ohlsson/Blomstedt)

Fascinant.

P. I. Tchaïkovski
* Symphonie no.6 'Pathétique'
Chicago Symphony Orchestra
Claudio Abbado

ovni231 a écrit:

tod a écrit:

Grâce soit rendue, encore une fois, au forum et à ses membres. Noël! Noël ! Hosanna au plus haut des Cieux ! (bon. Comme disait Emile Z : J'abuse...)
Mais écouté ce jour:

Yagushi AKUTAGAWA : Rapsodie pour Orchestre, Trinita Sinfonica et Ellora Symphonie.
Takuo Yausa et l'Orchestre Symphonique de Nouvelle Zélande, 2002.

  ça donne, ça pète, ça envoie du bois !
Je ne suis pas aussi fine mouche que vous...
Mais si on ne regarde pas la date des compositions, ça laisse le cul par terre.
Comme quoi, l'Evolution en Art .................
Il a toute sa place en Rubrique Gé !
Avec une petite entrée, certes, mais pour lui tout seul.

Sans trop te tenir la main, je crois qu'il t'incombe de faire entrer Akutagawa dans la nomenclature alphabétique des compositeurs de ce forum, non ?
Et comme tu lui as déjà troussé une jolie bio, il ne t'en coûtera qu'un copier/coller.
Ce serait bien.

Dutilleux:L'arbre des songes (Chalier/Tortelier)

arnaud bellemontagne a écrit:

Dutilleux:Symphonie n°2 (Tortelier)

Le genre d'œuvre dont on ne se lasse pas.  

Parfaitement d'accord !

La famille Forqueray
(et  un peu Couperin et Duphly)
Justin Taylor,

Clavecin: Rückers - Hemsch - Sidey
Hommages: Olivier Baumont, Blandine Rannou, Anthony Sidey, Frédéric Bal, Frédéric Hass, Skip Sempé, Béatrice Martin, ... pour ceux qui me deviennent (presque) familiers
En arrière plan: Leonhardt (notamment par l'inclusion de Couperin et Duphly)

Premier album de lauréat? non simplement excellent et très envie de l'entendre dans Couperin (superbe Forqueray justement)
Premier album consensuel? un peu dans la prise de son du clavecin (beaucoup de grave, beaucoup de réverbération, comme si on voulait estomper tout côté incisif ou cinglant au risque de perdre l'aérien et les sons cristallins et de (se) noyer)




PS fil Forqueray https://classik.forumactif.com/t2129p50-antoine-et-jean-baptiste-forqueray#1077725

Quel bel instrument et Still est souverain!

Dutilleux: Tout un monde lointain (Tortelier)

Ludwig van Beethoven
* Triple Concerto
Ma-Mutter-Zelter
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
* Symphonie no.7
Philharmonie de Berlin
Karl Böhm
* Trio op.70 no.2
Kempff-Szeryng-Fournier

Les Tuyaux de la Nuit...





Au programme ce soir :   G. Böhm - V. Lübeck - J.S. Bach - J.C.H. Rinck - F. Mendelssohn