Playlist (135)

George Gershwin
* An American in Paris
Jesus Sanroma, piano
Pittsburg Symphony Orchestra
William Steinberg

Gustav Mahler
* Symphonie no. 5
Maazel / Philharmonie de Vienne

Karol Beffa
Improvisations

Visages d'enfants
L'oiseau prophète
Piano bar
Prélude, choral et Franck
Sarcasmes
The snow is dancing
Attente
Tempête
Prière pour Jean-Sébastien

Label Intrada

arnaud bellemontagne a écrit:

Mélo  

greg skywalker a écrit:

grâce à Mélo

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

cette musique a été écrite pour accompagner un bon cigare

Je suis fan de ta prose

J S Bach
* Suite anglaise no. 6
Angela Hewitt, piano
DG, 1986

L. v. Beethoven
Ouvertures:
* Fidelio
* Leonore III
* Les Ruines d'Athènes
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
(DG, 1965)

• Gaetano DONIZETTI : Maria Stuarda [Acte I]
[Antonino Fogliani, Orchestre et chœur de la Scala ; Anna Caterina Antonacci, Mariella Devia, Paola Gardina, Francesco Meli, Simone Alberghini, Piero Terranova — Arthaus Musik/RAI/NHK, 2008]
        Heureusement qu'il y a ce duo final, pour récompenser mes efforts. C'est pénible, pour moi, comme musique (c'est la deuxième fois que j'écoute l'œuvre et je ne m'y fais pas). Je ne vais pas plus loin ce soir. C'est à mes oreilles d'une platitude d'inspiration terrible, tout me passe dessus sans m'affecter, la musique est antidramatique au possible, tout se ressemble, sans variété ou atmosphère différenciée ; ça n'est même pas un problème d'inspiration mélodique (il y a des mélodies, et elles ne sont pas désagréables, mais rien ne me marque, ne s'imprime), mais c'est que c'est tout plat. Cette confrontation, cependant, est un sommet, il faut bien le reconnaître. Mais malgré tout, il y a quand même pour moi un grand fossé entre les Rossini seria que je connais et ce Donizetti, auquel il manque cette poussée qu'on trouve chez le premier cité.
        Côté interprétation, je n'aime pas beaucoup Devia que je trouve toujours aussi placide. La voix est dure, mais pas particulièrement ferme non plus. Par contre, les aigus sont splendides. Enfin, je suis sévère, c'est tout à fait convenable, mais je préfère Gruberova dans le studio Patané, Gencer et Zampieri dans les extraits live que je connais, plus engagées. Anna Caterina Antonacci, par contre, est superbe de présence, absolument terrifiante de sévérité. Elle parvient à donner à son personnage une profondeur psychologique remarquable. La voix n'est déjà plus très belle, mais c'est presque un baume à mes oreilles face à Devia et la diction, les graves, la technique sont quand même d'une classe immense. J'ai énormément aimé Paola Gardina dans le petit rôle d'Anna Kennedy, la voix est moelleuse, ductile et elle fait exister son personnage de pas grand chose. Ce que fait Meli est tout à fait honnête ; les voix plus graves ne sont pas très marquantes.  Belle direction !
        La mise en scène de Pizzi est très cuir...

Adalbéron a écrit:

• Gaetano DONIZETTI : Maria Stuarda [Acte I]
[/url]
        [...] C'est pénible, pour moi, comme musique (c'est la deuxième fois que j'écoute l'œuvre et je ne m'y fais pas). Je ne vais pas plus loin ce soir. C'est à mes oreilles d'une platitude d'inspiration terrible, tout me passe dessus sans m'affecter, la musique est antidramatique au possible, tout se ressemble, sans variété ou atmosphère différenciée ; ça n'est même pas un problème d'inspiration mélodique (il y a des mélodies, et elles ne sont pas désagréables, mais rien ne me marque, ne s'imprime), mais c'est que c'est tout plat.

Ça fait quand même plaisir de lire ce genre de choses de la part de quelqu'un qu'on ne peut pas soupçonner de condescendance voire de mépris à l'égard du belcanto!

Adalbéron a écrit:

La mise en scène de Pizzi est très cuir...

Léo Delibes
* Coppélia (suite orchestrale)
Orchestre de la Radio Belge / Franz André
LP Telefunken (London Records)



C'est nerveux, un brin fanfaron; écoute intéressante, en complément à la version Karajan...

Mélomaniac a écrit:

Rassis : je ne te permets pas !
Tout le monde ne se plaint pas de ma vigueur que les hectolitres ans n'ont en rien entamée  
Moi qui pensais te dédier la dernière partie du programme, je retire la souscription

S'agissant d'une personne, il fallait bien sûr l'entendre dans l'acception (litt., selon Bob) «pondéré.» Ce n'est pas ma faute si tu as spontanément imaginé que l'on pouvait t'appliquer l'autre acception.

Mélomaniac a écrit:

Comme nous disait en avril dernier le Sieur Benedictus, voilà « une lecture très élancée, sans temps mort et plutôt dégraissée ; la matière orchestrale est magnifique : aucune surcharge, aucune opacité ». On pourrait gloser mais l'essentiel est dit.

greg skywalker a écrit:

Des symphonies "gentilles" dirait Benedictus .

Plus ça va, plus se confirme cette impression d’être comme une figure de l’instance répressive dans l’imaginaire de mes petits camarades du forum.  

Cololi a écrit:

Je suis fan de ta prose
Tellement vrai !!

Heureusement que tu es là!

Ce soir:

• Maurice Emmanuel: Salamine:

Flore Wend, Bernard Demigny, Jean Giraudeau, Joseph Peyron, André Vessières, Lucien Lovano, Tony Aubin / Orchestre radio-symphonique de la RTF, Chœurs de la RTF / René Alix
Paris, III.1958
Fy / Solstice
J’ai adoré! Sans être forcément géniale (dans la même veine, Les Choéphores de Milhaud ou Les Perses de Prodromidès sont sans doute musicalement plus frappants), l’œuvre se tient remarquablement bien - et surtout Demigny, Giraudeau, Peyron, Vessières, c’est vraiment une heure d’exaltation continue pour les amateurs de déclamation!

J’ai écouté, par curiosité et après en avoir entendu le plus grand bien, quoiqu’a priori Haendel ne soit pas ma tasse de thé, la Lucrezia de Desandre, Haïm et le Concert d’Astrée qui vient de paraître.
Eh bien, c’est merveilleux ! J’ai toujours aimé Desandre, mais je n’ai jamais été frappé à ce point par une de ses interprétations, ce mordant et ce goût du mot assez incroyables ! A peine peut-on lui reprocher une certaine dureté dans les aigus, mais c’est par ailleurs si intelligent et sensible qu’on peut n’en avoir cure... Haïm tend tout ça avec de la volubilité et du tranchant. C’est exquis.
Je ne connaissais pas cette jolie cantate, j’écoute maintenant Kozená et Gens et puis le reste du CD, quand même... .

Sibelius : Symphonie n°3 (Rattle Berlin)

Cette coda empreinte de majesté et de grandeur est un des plus beaux moments de Sibelius.

Benedictus a écrit:

Adalbéron a écrit:

• Gaetano DONIZETTI : Maria Stuarda [Acte I]
[/url]
        [...] C'est pénible, pour moi, comme musique (c'est la deuxième fois que j'écoute l'œuvre et je ne m'y fais pas). Je ne vais pas plus loin ce soir. C'est à mes oreilles d'une platitude d'inspiration terrible, tout me passe dessus sans m'affecter, la musique est antidramatique au possible, tout se ressemble, sans variété ou atmosphère différenciée ; ça n'est même pas un problème d'inspiration mélodique (il y a des mélodies, et elles ne sont pas désagréables, mais rien ne me marque, ne s'imprime), mais c'est que c'est tout plat.

Ça fait quand même plaisir de lire ce genre de choses de la part de quelqu'un qu'on ne peut pas soupçonner de condescendance voire de mépris à l'égard du belcanto!

Adalbéron a écrit:

La mise en scène de Pizzi est très cuir...

Mr Requiem, je vais vous installer dans une de nos cages cloutées. La radio intégrée diffusera l'intégrale de TOUS les opéras de Donizetti en boucle

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°3 (Rattle Berlin)

Cette coda empreinte de majesté et de grandeur est un des plus beaux moments de Sibelius.

Je n'y ai jamais porté attention avant lecture de ton commentaire.
Je relance l'écoute avec la version Gibson / Écosse (LP Saga).

luisa miller a écrit:

Benedictus a écrit:

Adalbéron a écrit:

• Gaetano DONIZETTI : Maria Stuarda [Acte I]
[/url]
        [...] C'est pénible, pour moi, comme musique (c'est la deuxième fois que j'écoute l'œuvre et je ne m'y fais pas). Je ne vais pas plus loin ce soir. C'est à mes oreilles d'une platitude d'inspiration terrible, tout me passe dessus sans m'affecter, la musique est antidramatique au possible, tout se ressemble, sans variété ou atmosphère différenciée ; ça n'est même pas un problème d'inspiration mélodique (il y a des mélodies, et elles ne sont pas désagréables, mais rien ne me marque, ne s'imprime), mais c'est que c'est tout plat.

Ça fait quand même plaisir de lire ce genre de choses de la part de quelqu'un qu'on ne peut pas soupçonner de condescendance voire de mépris à l'égard du belcanto!

Adalbéron a écrit:

La mise en scène de Pizzi est très cuir...

Mr Requiem, je vais vous installer dans une de nos cages cloutées. La radio intégrée diffusera l'intégrale de TOUS les opéras de Donizetti en boucle

Il suffirait de le coincer dans le décor de cette mise en scène de Pizzi...

Je dois avouer que j'avais beaucoup aimé cette mise en scène
Et Devia et Antonacci aussi...
Pour l'oeuvre, elle fonctionne parce qu'il y a des bêtes de scène dedans... sinon dur dur.
Mais la semaine prochaine, on aura DiDonato au TCE!

Visuellement, ce n'est pas mal (pour ce qu'on peut voir sur ce phonogramme), à côté de certaines horreurs!

Johannes Brahms
* Concerto no. 2
Emil Gilels, piano
Philharmonie de Berlin
Eugen Jochumn

Fauré: Quelques mélodies/Guilmette, Boulianne, Figueroa, Boucher, Godin

Benedictus a écrit:

greg skywalker a écrit:

Des symphonies "gentilles" dirait Benedictus .

Plus ça va, plus se confirme cette impression d’être comme une figure de l’instance répressive dans l’imaginaire de mes petits camarades du forum.  

Instance répressive ?  Sürement non .  plutôt des posts bien argumentés  avec une personnalité musicale très affirmée  comme DLM ou Mélo .

Suite à la série "mes coups de coeur 2018"
Je commence par un "vieux" diapason d'or , mais neuf à mes oreilles


Striggio Missa Ecco si beato giorno    (en 40 voix)   I Fagiolini / Hollingworth
Je suis sensible aux oeuvres de la renaissance (1566)  hautement polyphoniques .  il y  a aussi une version Niquet .

greg skywalker a écrit:

Instance répressive ?  Sürement non .  plutôt des posts bien argumentés  avec une personnalité musicale très affirmée  comme DLM ou Mélo .

et puis

greg skywalker a écrit:

Spoiler:

Striggio Missa Ecco si beato giorno    (en 40 voix)   I Fagiolini / Hollingworth

I Fagiolini? C'est une chorale de petits braillards qui imitent Franco Fagioli?

Benedictus a écrit:

greg skywalker a écrit:

Instance répressive ?  Sürement non .  plutôt des posts bien argumentés  avec une personnalité musicale très affirmée  comme DLM ou Mélo .

et puis  

greg skywalker a écrit:

Spoiler:

Striggio Missa Ecco si beato giorno    (en 40 voix)   I Fagiolini / Hollingworth

I Fagiolini? C'est une chorale de petits braillards qui imitent Franco Fagioli?

Non , sur la photo du groupe , je trouve quelques barbus et des poitrines généreuses

Moins monumental que Striggio précédents ,doux euphémisme , un bijou de Boccherini  
Luigi Boccherini  Stabat Mater   (1782)    Ensemble 415/ Chiara Banchini  agnès mellon
Comment resister la grâce et le charme de cet Stabat Mater de chambre (un quintette à cordes , une soprano) ?

Merci à DML pour avoir conseiller cette oeuvre vocale de chambre (même effectif  de Boccherini  ,juste un quintette remplacé par un sextuor à cordes ):

Zemlisky  Malblumen blühten überall   tirée d'album :

Louis-Claude Daquin
Nouveau Livre de Noëls
* Les Douze Noëls
Raymond Daveluy, orgue Beckerath de l'Oratoire Saint-Joseph de Montréal
CD Analekta, 1995



Sans être trop festive, ce qui serait prématuré à cette date-ci, rien n'empêche l'écoute de ces Noëls.

Schubert: String Quintet - Schoenberg: Verklärte Nacht   par Janine Jansen & co
J'adore cette oeuvre de Schönberg depuis la première écoute il y a 30 années (Karajan/Berlin version orchestre).
La version originale pour sextuor à cordes renforce le coté expressioniste et décadent . Très belle version ! En prime le fameux Quintette à cordes de Schubert dans une version très honorable.Bonne pioche !

Arvo Pärt
Stabat Mater

RIAS Kammerchor & Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin & Kristjan Järvi

Label Sony

charles.ogier a écrit:

Arvo Pärt
Stabat Mater

RIAS Kammerchor & Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin & Kristjan Järvi

Label Sony

Une oeuvre superbe, pas dans la version que je connais (ECM).

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

Arvo Pärt
Stabat Mater

RIAS Kammerchor & Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin & Kristjan Järvi

Label Sony

Une oeuvre superbe, pas dans la version que je connais (ECM).

Nadia Boulanger: Mélodies/Cabell, Shrader, Crossley-Mercier

+

Doute: chef d'œuvre!

Ce soir:

• Stenhammar: Quatuors à cordes nº1 en ut majeur, op. 2 (1894) (a) et nº2 en ut mineur, op. 14 (1896) (b):

Quatuor Stenhammar
Stocksund, Petrus Kyrkan, IX(b) & XII(a).2013
BIS
Décidément les quatuors de Stenhammar forment un magnifique corpus! Voir ici.

• Jérôme Combier: Respirer l’ombre (2005) pour flûte, clarinette, guitare, percussions, piano, alto et violoncelle:

Guillaume Bourgogne / Ensemble Cairn
Paris, II & III.2007
æon
Une découverte. En dialogue avec l’installation de Penone, une brève mais très belle œuvre contemporaine, qui exalte la matérialité bruissante des vents et des cordes (c’est une musique de textures et de gestes: frottements, souffles…), tantôt très incarnée (la prégnance rythmique presque jazzy de la section centrale) tantôt au contraire en suspension, proche du silence.

Piotr I. Tchaikovsky (1840-1893) :

Concerto n°1 en si bémol mineur, Op. 13

= Bruno Rigutto, piano ; Yuri Ahronovitch, Orchestre national de Monte-Carlo

(Decca, mai 1977)

Belle version, ample et majestueuse, captée dans l'excellente acoustique de la Salle Garnier de la Principauté.
Rigutto maîtrise tant la technique que la sensibilité qui animent un discours de premier ordre.
Certes, pas de quoi détrôner les innombrables références de la discographie, mais l'interprétation vaut le coup d'oreille,
notamment dans le Finale que le chef russe dirige avec un élan farouche.

L'église St. Nikolaihof de Bardowick (Allemagne, Basse-Saxe)


Georg Muffat (1653-1704) :

Toccata settima

= Joachim Vogelsänger, orgue Schuke de l'église St. Nikolaihof de Bardowick

(Nomine, août 2014)

Quel magnifique écrin rural pour cette église qui remonte au début du XV° siècle !
L'orgue original date de 1436, hélas au fil du temps les tuyaux furent frappés de la peste de l'étain.
Toutefois, quatre jeux (bourdon 8', prestant 4', rohrflôte 4', octave 2') purent être préservés,
et s'avèrent d'authentiques témoins de la facture médiévale tardive !
Ces rescapés ont été intégrés dans l'instrument reconstruit par les ateliers Schuke en 2013,
abrité derrière des volets peints par Andrej Becker, Lünebourgeois d'origine russe.
En l'état, l'instrument compte neuf jeux sur un clavier et pédalier, accordés au tempérament mésotonique,
qui garantit une saveur archaïque à cette Toccata de Muffat.

Sibelius : Symphonie n°5 (Rattle Berlin)

Je poursuis mes coups de coeur 2018  , coté musique de chambre .

Déjà , un "vieux" cd paru en 2001 , à déguster de A à Z centré sur la musique de chambre française début du XXème .


Petersen Quartett  juliane banse,rieger piano    :   Milhaud quatuor n°1 ;Lekeu : Nocturne ,Fragment;Chausson chanson perpétuelle;Ravel Quatuor à cordes

Spoiler:

Un Quatuor de Mihlaud (1912), un Mihlaud avant le Mihlaud usant la polytonalité . c'est plutôt dans la veine de Debussy .
Après ce quatuor , un poème de Lekeu avec un accompagnement chambriste (quatuor et piano) , un beau Fragment de la cantate "Andromède" et enfin la "Chanson perpétuelle" de Chausson .

PLus recent , sortie en 2009, une belle version du Quatuor à cordes op7 de Schönberg par le quatuor Tetzlaff

L'intensité transmise par le quatuor Tetzlaff fait que les 45 minutes de Schönberg sont passionantes ! Meilleur que les Prazak , à mon goût (je ne connais pas laSalle et les Juillard )

Hindemith : Sonate op11 n°4 pour alto et piano  ( tiré de l'album "Bratsche !" par Antoine Tamestit)

Après succombé à la sonate de rebecca Clarke , une autre sonate pour alto qui vaut le coup ! Cette sonate sonne français .
Autre découverte de cet cd  le concerto pour alto , "Der Schwandreher" d'après des chansons populaires , nimbé de nostalgie .


Enfin , la déliceuse mélodie de salon : le mouvement lent de la sonate pour violon et piano de Gabriel Pierné
tirée de l'album "La Sonate de Vinteuil" maria & nathalia Milstein

Spoiler:

greg skywalker a écrit:

PLus recent , sortie en 2009, une belle version du Quatuor à cordes op7 de Schönberg par le quatuor Tetzlaff

L'intensité transmise par le quatuor Tetzlaff fait que les 45 minutes de Schönberg sont passionantes ! Meilleur que les Prazak , à mon goût (je ne connais pas laSalle et les Juillard )

Très bien aussi par les Diotima

Eusèbe a écrit:

greg skywalker a écrit:

PLus recent , sortie en 2009, une belle version du Quatuor à cordes op7 de Schönberg par le quatuor Tetzlaff

Très bien aussi par les Diotima

Sauf erreur de ma part , les Diotima enregistre seulement le Quatuor n°2 avec voix (avec sandrine piau chez alpha ) , l'opus 7 c'est le quatuor n°1 .
le 2 avec sandrine Piau je vais écouter , j'aime beaucoup sandrine Piau  

Carlo Gesualdo
6ème livre de madrigaux à 5 voix

Se la mia morte brami
Belta, poi che t'assenti
Tu piangi, o Filli mia
Resta di d'armi noia
Chiaro risplender suole
Io parto e non piu dissi
Mille volte il di moro
O dolce mio tesoro
Deh come invan sospiro
Io pur respiro in cosi gran dolore
Alme d'amor rubelle
Candido e verde fiore

Collegium Vocale Gent & Philippe Herreweghe
Thomas Dunford (luth)

Label Outhere music

Etonnante intelligence.

greg skywalker a écrit:

Hindemith : Sonate op11 n°4 pour alto et piano  ( tiré de l'album "Bratsche !" par Antoine Tamestit)

Après succombé à la sonate de rebecca Clarke , une autre sonate pour alto qui vaut le coup ! Cette sonate sonne français .
Autre découverte de cet cd  le concerto pour alto , "Der Schwandreher" d'après des chansons populaires , nimbé de nostalgie .

greg skywalker a écrit:

Eusèbe a écrit:

greg skywalker a écrit:

PLus recent , sortie en 2009, une belle version du Quatuor à cordes op7 de Schönberg par le quatuor Tetzlaff

Très bien aussi par les Diotima

Sauf erreur de ma part , les Diotima enregistre seulement le Quatuor n°2 avec voix (avec sandrine piau chez alpha ) , l'opus 7 c'est le quatuor n°1 .
le 2 avec sandrine Piau je vais écouter , j'aime beaucoup sandrine Piau  

Non, non, les Diotima ont fait une intégrale chez Naïve, l'op. 10 avec Piau, mais aussi l'op. 7, les op. 30 et 37 (que je connais beaucoup moins bien), et les quatuors de jeunesse sans n° d'opus. Ca vaut vraiment le coup, d'autant que le coffret compte aussi les oeuvres de quatuor de Berg et Webern!

Eusèbe a écrit:

greg skywalker a écrit:

Eusèbe a écrit:

greg skywalker a écrit:

PLus recent , sortie en 2009, une belle version du Quatuor à cordes op7 de Schönberg par le quatuor Tetzlaff

Très bien aussi par les Diotima

Sauf erreur de ma part , les Diotima enregistre seulement le Quatuor n°2 avec voix (avec sandrine piau chez alpha ) , l'opus 7 c'est le quatuor n°1 .
le 2 avec sandrine Piau je vais écouter , j'aime beaucoup sandrine Piau  

Non, non, les Diotima ont fait une intégrale chez Naïve, l'op. 10 avec Piau, mais aussi l'op. 7, les op. 30 et 37 (que je connais beaucoup moins bien), et les quatuors de jeunesse sans n° d'opus. Ca vaut vraiment le coup, d'autant que le coffret compte aussi les oeuvres de quatuor de Berg et Webern!  

ok , mea culpa . J'avais cherché sur site amazon et le site du quatuor Diotima sans succès ...

Bruno Luong a écrit:

greg skywalker a écrit:

Hindemith : Sonate op11 n°4 pour alto et piano  ( tiré de l'album "Bratsche !" par Antoine Tamestit)

Après succombé à la sonate de rebecca Clarke , une autre sonate pour alto qui vaut le coup ! Cette sonate sonne français .
Autre découverte de cet cd  le concerto pour alto , "Der Schwandreher" d'après des chansons populaires , nimbé de nostalgie .

Je suis assez Fan de Tamestit      le concerto d'alto de Widmann par exemple et j'ai écouté le Walton sur youtube : fantastique  

Bartok: 14 bagatelles opus 6/Kocsis



Bartok: 2 élégies opus 8b/Kocsis

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Concerto n°1 en ut majeur, Op. 15

= Wilhelm Backhaus, piano ; Hans Schmidt-Isserstedt, Orchestre philharmonique de Vienne

(Decca, avril 1958)

 On pourrait craindre que le vieux lion de 74 printemps ne soit plus à la hauteur des enjeux techniques de ce fougueux opus,
mais entendre ses rageurs solos dans l'Allegro con brio, sa pugnacité dans le Finale, suffit à rassurer et rappelle qu'il passa sa vie sur l'œuvre beethovénien.
Orchestre magnifique, guidé par un chef qui anime sans relâche, créant du beau et du grand à chaque mesure.

Surplombant un bras du Danube, l'abbaye bénédictine de Melk (Basse-Autriche)


Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Prélude et Fugue en ut majeur, BWV 547
Pastorale en fa majeur, BWV 590

= Peter Hurford, orgue Hradetzky de l'abbaye de Melk

(Argo, septembre 1978)

Pour son intégrale Bach, l'organiste anglais s'était arrêté en Basse-Autriche pour graver quelques pièces à la Cathédrale de Sankt Pölten, mais aussi
dans cette majestueuse abbaye qui abrite un orgue de 1970 (45 jeux sur trois claviers & pédalier), installé dans un buffet baroque remontant aux années 1730.

N.Boulanger: Mélodies/Shrader, Cabell (CD 2)

JS Bach concerto pour violons les habituels BWV 1041-1043 + un arrangement BWV 1056R
Shunske Sato, Zefira Valova
Il Pomo D'oro

En mode baroque

Sibelius : Symphonie n°6 (Rattle Berlin)

watch?v=9IP4GTRJdPo

entre (6:10) et (6:22) j'entends Claude-Achille et vous ?