Playlist (141)

Reich: Drumming, Six pianos, Music for Mallet Instruments, Voices and Organ (Reich and Musicians).

C'est très, très, très long... J'avoue que j'ai dû faire des pauses pour ne pas céder à mon envie de casser toute ma vaisselle .

Lindberg: Sculpture pour orchestre (2005) (Finnish Radio Symphony Orchestra, Oramo).

Lindberg: Campana in aria pour cor et orchestre (1998) (Esa Tapani, Finnish Radio Symphony Orchestra, Oramo).

Lindberg: Concerto pour orchestre (2003) (Finnish Radio Symphony Orchestra, Oramo).

Un peu hypercalorique comme musique ...

Deux très beaux disques de musique française, par de beaux orchestres



Très différent de Martinon, qui était jusque là ma référence dans ces oeuvres. Beaucoup de légèreté et d'aération, avec un orchestre cristallin et chatoyant.



Pas ce que je préfère chez Ravel dans l'absolu, mais on retrouve les couleurs des pupitres lillois et la direction nette et contrastée de Bloch.

Henry Desmarest : Usque quo domine        1708 / Les Arts Florissants (Christie)

Henry Desmarest : Lauda Jerusalem        1700-10 / Les Arts Florissants (Christie)
 
Henry Desmarest : Domine, ne in furore        1700-10 / Les Arts Florissants (Christie)

Youpie !

Benedictus a écrit:

• Tichtchenko:

Igor Blazhkov / Orchestre de Chambre du Théâtre Kirov d’Opéra et de Ballet
Leningrad, 1972
Northern Flowers

À la réécoute, j’ai l’impression de commencer à m’y repérer un peu: en fait, j’ai l’intuition que cette symphonie chambriste fonctionne davantage comme certaines sonates pour piano; c’est à la fois assez épuré (et très beau), mais avec des parties expérimentales assez surprenantes.

C'est le moins que l'on puisse dire...

Spoiler:

Mais t'inquiète, j'écris aussi comme ça

Les Pianos de la Nuit...






Au programme ce soir :   P.I. Tchaikovsky – M. Ravel – L. Beethoven – N. Burgmüller – S. Rachmaninov – R. Schumann

1) Piotr I. Tchaikovsky (1840-1893) :

Concerto n°1 en si bémol mineur, Op. 13

= Martha Argerich, piano ; Claudio Abbado, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, live décembre 1994)

Bonne version, avec quelques redoutables prestidigitations de clavier qui avale la partition avec un appétit d'ogresse.
A tout prendre, je préfère la prestation d'Argerich avec le Royal Philharmonic et Dutoit (son second mari), chez DG également.
Ici rien d'impérissable en raison d'une prise de son trop mate qui dessert le brio de l'œuvre, et d'un orchestre certes de premier plan
mais qui se contente de routine voire s'assoupit dans des moments bien fades (la flûte falote dans le Finale).
La Philharmonie berlinoise semble insufisamment impliquée, et le chef italien ne parvient pas à vivifier ce concerto,
du moins à la hauteur des enjeux et à l'aune d'une discographie déjà bien fournie.

2) Maurice Ravel (1875-1937) :

Concerto en sol

= Nicole Henriot-Schweitzer, piano ; Charles Munch, Orchestre symphonique de Boston

(RCA, mars 1958)

Certes l'interprétation de l'Adagio paraît un peu pâle, presque trop décantée, non comme une source ruisselante mais palustre et calme.
Le Presto final semble un brin malaisé, comme si le flot se trouvait contrarié dans son jaillissement : rien de rédhibitoire mais avec un orchestre aussi virtuose
on s'attendrait à une réelle pyrotechnie, trop timide et calculée ici, malgré la verdeur de la palette.
Quel Allegramente toutefois ! une boîte à malice où Munch dose fanfaronnade et candeur, zestée d'un humour qui nous rappelle le Stravinsky de la période vaudoise.
Rien que pour cette pétulante lecture du premier mouvement, cette version conserve sa place au panthéon discographique, toujours dominé par François/Cluytens.

Aujourd’hui:

• Brossard: In convertendo Dominum:

Delphine Collot, Catherine Padaut (dessus), Jean-Paul Fouchécourt (haute-contre), Gilles Ragon (taille), Olivier Lallouette (basse-taille), Jérôme Corréas (basse), Christophe Coin / Ensemble Baroque de Limoges, Chœur de Chambre Accentus / Laurence Equilbey
Paris, VI.1995
Astrée / Auvidis

• Schoeck: Quatuor à cordes en ut majeur, op. 37:

Quatuor Minguet
Kassel-Harleshausen, X.1995
MDG

• Mondonville: Cœli enarrant:

Catherine Padaut, Guillemette Laurens (dessus), Rodrigo del Pozo (haute-contre), Jérôme Corréas (basse-taille), Christophe Coin / Ensemble Baroque de Limoges, Chantres de la Chapelle / Olivier Schneebeli
Paris, III.1997
Astrée / Auvidis

• Tichtchenko: Quatuor à cordes nº3, op. 47:

Quatuor S.I. Taneyev
St Petersbourg, 1976
Northern Flowers

Que du bonheur, quoi.

3) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°5 en ut mineur, Op. 10 n°1

= Alfred Brendel, piano

(Philips, juin 1977)

Anaxagore a écrit:

Reich: Drumming, Six pianos, Music for Mallet Instruments, Voices and Organ (Reich and Musicians).

C'est très, très, très long... J'avoue que j'ai dû faire des pauses pour ne pas céder à mon envie de casser toute ma vaisselle .

Oui Drumming est trop long...notamment les deux premières parties.En revanche je trouve Six Pianos et Music for Mallet fascinants.

Eusèbe a écrit:

Deux très beaux disques de musique française, par de beaux orchestres



Très différent de Martinon, qui était jusque là ma référence dans ces oeuvres. Beaucoup de légèreté et d'aération, avec un orchestre cristallin et chatoyant.

Oui, vraiment un très beau disque tout en transparence orchestrale, le complément idéal (par contraste) à Martinon.

4) Friedrich Burgmüller (1806-1874) :

Vingt-cinq Études faciles et progressives, Op. 100

= Philippe Entremont, piano

(CBS, octobre 1973)

La Candeur, Courant limpide, Tendre fleur, Consolation, Babillarde, Harmonie des anges, L'Hirondelle...
Des titres qui avouent la poésie simple et la technique sommaire de ces charmantes piécettes.

5) Sergueï Rachmaninov (1873-1943) :

Fantaisie-Tableaux, Op. 5
Suite n°2, Op. 17

= Güher & Süher Pekinel, pianos

(DG, juillet-novembre 1980)

Benedictus a écrit:

Aujourd’hui:

• Schoeck:

Quatuor Minguet
Kassel-Harleshausen, X.1995
MDG

• Mondonville:

Catherine Padaut, Guillemette Laurens (dessus), Rodrigo del Pozo (haute-contre), Jérôme Corréas (basse-taille), Christophe Coin / Ensemble Baroque de Limoges, Chantres de la Chapelle / Olivier Schneebeli
Paris, III.1997
Astrée / Auvidis

Que du bonheur, quoi.

Deux disques chéris.
Ce qui me rend évidemment curieuse des deux autres ...

6) Robert Schumann (1810-1856) :

Waldszenen, Op. 82

= Clara Haskil, piano

(Philips, mai 1954)

Gesualdo da Venosa: sixième livre des Madrigaux (1613)
Alan Curtis / Le complexe baroque
Gesualdo: Livre VI des Madrigaux à 5 voix

Réédition du premier CD du dernier livre des madrigaux par Alan Curtis,du sulfureux prince de Vénosa,(1566-1613) ( qui avait tué sa première femme et son amant.Personnage trouble et très complexe, personnalité fascinante et parfois incompréhensible,qui a déjà fait l 'objet, de plusieurs  opéras contemporains .Schnittke, Hummel , Sciarrino , Dalbavie et d'autres.
C'est dire si ces madrigaux sont complexes et étonnamment libres ,expressifs et parfois dissonnants .On est pourtant ,facilement séduit par ces superbes 23 madrigaux,composés et publiés par Carlo Gesualdo en 1611 , dont quelques uns ,dans cette version,ont été remplacés par des instrument.Un choix que justifie aisément Alan Curtis ( 1934- 2015) célèbre pionnier de la musique baroque. C'est très beau, même si ce n'est pas pour moi, la version définitive,on reste un peu sur un manque ,du moins moi,désolé de parler de mon goût, car je suis partagé entre l'envie de dire beaucoup de bien de cet album et aussi le besoin d'aller d'aller vers d'autres versions. Je vais renvoyer pour ne pas dire de bêtises, à Wikipedia sur ces oeuvres d'une modernité incroyable.c'est une très belle découverte et surtout vive les versions différentes.https://fr.wikipedia.org/wiki/Sixi%C3%A8me_livre_de_madrigaux_(Carlo_Gesualdo)


Pour en savoir plus sur ce personnage étonnant.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Carlo_Gesualdo

Suivant l 'avis d'un mélomane qui vantait ce disque en parlant de " performances époustouflantes d'œuvres époustouflantes "
j'ai acheté ce cd , j'avoue que je suis plutôt déçu, non sur la musique, mais sur l'annonce qui en avait été faite, il n'y a vraiment rien d'époustouflant dans ce duel (pas à mort hélas) entre le piano et l'orchestre, je dirais même que c'est assez sage et convenu  .J 'ai ensuite regardé ce que voulait dire antiphonie  qui est un terme musical " Procédé d'exécution en alternance, entre deux chœurs, dans les liturgies chrétiennes." Et là pas de problème, on s'y retrouve ,c'est bien ça,même si je fais semblant d'y comprendre quelque chose,il y a du métier derrière tout ça  .L'oeuvre qui suit Slow frieze, est un peu du même genre,sans démesure .Panic me séduirait plus , bon dès qu'il y a un saxophone,on ne s'ennuie jamais,c'est obligé de rêver ou swinguer un peu , bon j'irais pas jusqu'à là, mais c'est plus vivant;Crowd,c'est un peu l'achèvement final,de ce disque,au moral comme au physique, avec une oeuvre pour harpe, assez bien jouée,il y a un climat c'est sûr.Bref ,il n'y a rien qui pète le feu dans ces oeuvres, elles appartiennent bien à leur époque sans plus, ni moins,pas de quoi en faire un plat.

Yuri Kasparov : Concerto pour hautbois et orchestre (1988)
Sergei Velikanov / MCME (Vladimir Ponkin)
Edison Denisov : Concerto pour hautbois et orchestre (1986)
Fabian Menzel / RSO Frankfurt (Dmitri Kitaenko)

arnaud bellemontagne a écrit:

Oui Drumming est trop long...notamment les deux premières parties.En revanche je trouve Six Pianos et Music for Mallet fascinants.

J'ai en effet mieux accroché à Six Pianos et à Music for Mallet. Et je comprends la fascination dont tu parles. Mais tout repose malgré tout sur la mise en oeuvre mécanique d'un principe simple: le déphasage et ... on a vite fait le tour des ressources du procédé. En bref, je ne pense pas que je pourrais écouter de telles oeuvres dix fois de suite .

Krzysztof Meyer : Concerto da camera per oboe, percussione e archi (1972)
Diethlems Jonas / NOSPR Katowice (Ruben Silva)
Włodzimierz Kotoński : Concerto pour hautbois et orchestre (1972)
Lothar Faber / NOSPR Katowice (Matthias Bamert)
Krzysztof Penderecki : Capriccio per oboe e archi (1965)
Burkhard Glaetzner / Dresdner Philharmonie (Herbert Kegel)

Joan Guinjoan : Ab origine pour orchestre        1974 / OBC (Pons)
 +
Joan Guinjoan : Trama pour orchestre        1983 / OBC (Colomer)

Joan Guinjoan : Concerto pour piano et orchestre        1983 / Ituarte, OBC (Martínez-Izquierdo)
 /  +
Michel-Richard de Lalande : Deitatis majestatem        1682 / Le Poème Harmonique (Dumestre)

Michel-Richard de Lalande : Ecce nunc benedicite        1683-89 / Le Poème Harmonique (Dumestre)

Michel Richard de Lalande : Te deum        1684 / Le Poème Harmonique (Dumestre)

Jean Sibelius
* Symphonies nos. 4 & 5
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
1 CD EMI, 1976



Je n'ai pas encore trouvé mieux comme interprétation de la Quatrième.
Peut-être Blomstedt que je n'ai pas encore écouté.

Oriane a écrit:

Benedictus a écrit:

Spoiler:

Deux disques chéris.
Ce qui me rend évidemment curieuse des deux autres ...

Brossard, c'est sensiblement antérieur - si tu aimes les pages un peu italianisantes de Campra ou de Charpentier (mais italianisantes XVIIᵉ, hein: pas les figuralismes vivaldiens de Mondonville), ça devrait te plaire (cela dit, je pense que les Leçons des morts devraient te parler davantage.)

Pour le 3ᵉ Quatuor de Tichtchenko, c'est le Tichtchenko «moderniste», une façon très personnelle de construire un discours un peu énigmatique par l'accumulation et les recompositions de plus en plus complexes et dissonantes d'éléments musicaux d'une beauté très simple, avec des effets «cinétiques» assez frappants. Je trouve ça très beau, mais je ne sais pas si ça te plaira ou non.

Anaxagore a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Oui Drumming est trop long...notamment les deux premières parties.En revanche je trouve Six Pianos et Music for Mallet fascinants.

J'ai en effet mieux accroché à Six Pianos et à Music for Mallet. Et je comprends la fascination dont tu parles. Mais tout repose malgré tout sur la mise en oeuvre mécanique d'un principe simple: le déphasage et ... on a vite fait le tour des ressources du procédé. En bref, je ne pense pas que je pourrais écouter de telles oeuvres dix fois de suite .

Oui je comprends, pour pleinement apprécier l'expérience il faut s'abandonner à la dimension "transe et hypnose" de cette musique...c'est sûr que si on cherche un développement à la Brahms faudra repasser.

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Debussy : Khamma (Martinon)

Une oeuvre que je devrais écouter plus souvent.C'est vraiment chouette.

Philip Glass
Quintette piano "annunciation"

Quartet Brooklyn Rider & Paul Barnes

Label Orange Moutain Music

Pas de surprise.

Vu sur CSS :

Ekkehard - JohannJoseph Abert (Peter Falk dir.)
De la très belle musique en effet, et la voix de Jonas...

Penelope - Rolf Liebermann (George Szell dir.)
J'ai été complètement séduit ! Il y a tellement de choses folles, comme le piano qui joue du ragtime (?) dans le quatuor des prétendants avinés (du moins, ils beuglent fort !), l'angoissant final de l'acte I, le silence terrible dans lequel se produit le dévoilement d'Ulysse et le long duo inquiétant qui clôt l'opéra !!! J'ai prévu de réécouter cela rapidement. Mais, car il y a un mais, où se procurer le livret, si cela était possible ? L'original allemand me suffirait, même si un support anglais ou français ne serait pas de refus.
Quel dommage qu'il n'existe pas d'enregistrement plus récent. Ça fait à peine plus d'une heure, et c'est complètement électrisant...

Friedrich Goldmann : Concerto pour hautbois et orchestre (1978/79)
Fabian Menzel / RSO Frankfurt (Dmitri Kitaenko)
Bruno Maderna : Concerto pour hautbois et orchestre nº3 (1973)
Fabian Menzel / RSO Saarbrücken (Michael Stern)

Henri Pousseur (1929-2009)
Early Experimental Electronic Music 1954-61
Séismogrammes I, II
Scambi
Rimes 1,2 version Boulez
Rimes 1,2,3 version Maderna
Trois visages de Liège  
Éléments de trois visages de Liège

choisir sa place:

Ah, c'était encore l'époque où les compositeurs savaient encore s'amuser...

Comme disait Sergei, rien de telle qu'une suggestion, surtout si elle est diabolique

Après Strauss collabo, je vous propose Wagner chambriste. Acte Préalable a publié un CD de quatuors à cordes par des compositeurs en ayant commis un seul (quatuor, pas CD) dans leur carrière, un peu comme Sterling a fait pour Dente et Hallberg avec les symphonies.* Et les noms sont les "célèbres" Zygmunt Stojowski, Wladyslaw Tarnowski, Eugeniusz Morawski (on a des poèmes symphoniques et pièces vocales de lui, c'est intéressant, et son histoire personnelle encore plus) et surtout, l'affreux Richard W. !
Pas d'affolement, il ne s'agit que d'un mouvement de quatuor, reconstruit, une miniature faite pour divertir Louis II qui venait de payer ses dettes et l'hébergeait à titre gracieux, dit la notice. 13 minutes inspirées du finale de Siegfried. Ça ne change pas une vie mais c'est charmant. Les autres quatuors sont plus nourrissants. Le Tarnwoski de facture assez classique est néanmoins très agréable, les variations de Stojowski sont vraiment plaisantes, et le quatuor de Morawski est, comme ses poèmes symphoniques, plutôt sombre dans l'ensemble, et surtout contemplatif, avec de belles couleurs

*En vérité, dans le cas de Morawski, il s'agit du seul quatuor restant sur les 7 qu'il avait composés.

P. I. Tchaïkovski
* Symphonie no. 6 'Pathétique'
Philharmonia Orchestra
Vladimir Ashkenazy
1 CD 'Great Composers' Time Life / London

Un beau disque, un beau récital, une respiration,une voix claire et distincte, qui vit, vibre et nous entraîne, avec une accompagnatrice (Jacqueline Bonneau ) dans le même ton,on est dans l 'intime et la confession , bref la belle époque du chant français

Emeryck a écrit:

Michel-Richard de Lalande : Deitatis majestatem        1682 / Le Poème Harmonique (Dumestre)

Michel-Richard de Lalande : Ecce nunc benedicite        1683-89 / Le Poème Harmonique (Dumestre)

Michel Richard de Lalande : Te deum        1684 / Le Poème Harmonique (Dumestre)

Qui est-ce qui vous a fait du mal ?

Gustav Mahler
* Symphonie no. 1
Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise
Rafael Kubelik
1 cd DG, 1968

Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville : Coeli enarrant        1749 / Chantres de la Chapelle, Ensemble Baroque de Limoges (Coin)
 +
Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville : Venite exultemus        1743 / Chantres de la Chapelle, Ensemble Baroque de Limoges (Coin)
 +
Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville : Jubilate deo        174? / Chantres de la Chapelle, Ensemble Baroque de Limoges (Coin)

Franz Liszt : Sonate pour piano        1853 / Lewis

Ravélavélo a écrit:

Gustav Mahler
* Symphonie no. 1
Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise
Rafael Kubelik
1 cd DG, 1968

Ma version tradi préférée! (J'en avais parlé ici.)

Béla Bartók
* Musique pour cordes, percussions et célesta
Orchestre de chambre Ferenc Liszt
János Rolla
1 CD Harmonia Mundi 'Musique d'abord', 1992



Je viens de le recevoir, l'oeuvre manquait dans ma discothèque.
Pris d'une petite nostalgie de l'Écoute comparée qui lui était consacrée, j'ai commandé cette version qui n'y figurait pas.

Benedictus a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Gustav Mahler
* Symphonie no. 1
Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise
Rafael Kubelik
1 cd DG, 1968

Ma version tradi préférée! (J'en avais parlé ici.)

Oui, une version qui reste tout à fait recommandable et cette symphonie est selon moi la plus facile d'écoute.
Heureux qu'elle te plaise et que nos goûts se rejoignent...
Mélomaniac suggère la version Giulini / Chicago (EMI), la version suggérée par Bruno Luong avec Les Siècles pique aussi ma curiosité.
Je surveille les bonnes affaires pour rajouter ces doublons.

Mefistofele a écrit:

Vu sur CSS :

Ekkehard - JohannJoseph Abert (Peter Falk dir.)
De la très belle musique en effet, et la voix de Jonas...

Penelope - Rolf Liebermann (George Szell dir.)
J'ai été complètement séduit ! Il y a tellement de choses folles, comme le piano qui joue du ragtime (?) dans le quatuor des prétendants avinés (du moins, ils beuglent fort !), l'angoissant final de l'acte I, le silence terrible dans lequel se produit le dévoilement d'Ulysse et le long duo inquiétant qui clôt l'opéra !!! J'ai prévu de réécouter cela rapidement. Mais, car il y a un mais, où se procurer le livret, si cela était possible ? L'original allemand me suffirait, même si un support anglais ou français ne serait pas de refus.
Quel dommage qu'il n'existe pas d'enregistrement plus récent. Ça fait à peine plus d'une heure, et c'est complètement électrisant...

Oui, de très gros coups de cœur ! Œuvres marquantes, et puis chanteurs assez fous aussi.

Hier:

• Sibelius: Symphonie nº7 en ut majeur, op. 105:

Sakari Oramo / City of Birmingham Symphony Orchestra
Birmingham, I.2003
Erato

Une lecture à la fois totalement exaltante, et d’une très forte singularité interprétative. Voir ici.

• Berg: 7 frühe Lieder:

Lucia Popp (soprano), Irwin Gage (piano)
Ismaning, V.1991
RCA Victor

La voix de Lucia Popp dans cette œuvre-là, c’est quelque chose de tellement enivrant...
J’en dirai davantage quand j’aurai écouté la totalité du disque (où il y a, en plus de l’op. 2 de Schoenberg et des Ophelia-Lieder de Strauss, des Pfitzner et des Schreker!)

Einojuhani Rautavaara (1928-1924)
Œuvres pour violoncelle et piano
Sonata for cello and piano n°1
Two preludes and fugues
Sonata for cello solo
Song of my heart
Sonata for cello and piano n°2
Polska

Tanja Tetzlaff, violoncelle
Gunilla Süssmann, piano

voyons voir : en 58 Rautavaara avait 30 ans, à peine croyable.


---------
Gabriel Fauré (1845-2016)
Elégie

Jacqueline du Pré, violoncelle
Gerald Moore, piano

Pourquoi: ? Rautavaara, ce n'est pourtant pas franchement inintelligible...

Benedictus a écrit:

Pourquoi: ? Rautavaara, ce n'est pourtant pas franchement inintelligible...

J'avais ajouté : voyons voir : en 58 Rautavaara avait 30 ans, à peine croyable. Trop intelligible peut-être (je suis un peu psychorigide sur les néos, même quand c'est beau. D'où l'hommage à Fauré qui suivait. J'ai sûrement une image bien vieillotte, et assez peu éclairée, de la musique presque contemporaine. Mais ce n'est pas dans cette veine que je souhaite aller)

Benedictus a écrit:

• Berg:

Lucia Popp (soprano), Irwin Gage (piano)
Ismaning, V.1991
RCA Victor

La voix de Lucia Popp dans cette œuvre-là, c’est quelque chose de tellement enivrant...  
J’en dirai davantage quand j’aurai écouté la totalité du disque (où il y a, en plus de l’op. 2 de Schoenberg et des Ophelia-Lieder de Strauss, des Pfitzner et des Schreker!)

Oui, très très beau disque!

xoph a écrit:

Henri Pousseur (1929-2009)
Early Experimental Electronic Music 1954-61
Séismogrammes I, II
Scambi
Rimes 1,2 version Boulez
Rimes 1,2,3 version Maderna
Trois visages de Liège  
Éléments de trois visages de Liège

choisir sa place:

Elle est géniale cette photo !
Merci xoph

Pyotr Ilyich Tchaikovsky (1840-1893) : Concerto pour piano n°1
Mikhaïl Rudy, Leningrad Philharmonic Orchestra / Mariss Jansons
EMI Classics (1991)