Playlist (145)

Ah, merci bien ! En effet, cela décrit tout à fait la mouvance stylistique, dont j'ignorais tout. Au moins, j'aurai un label pour l'avenir.

Mefistofele a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Pour info The Lamb Lies Down On Broadway est un fameux morceau de la période 70's du groupe de rock Genesis.

Ah, merci ! La notice les liste, ainsi que Deep Purple et Jimi Hendrix, mais à part leur nom, j'avoue mon ignorance à leur égard.

Il n'y a pas à rougir.

@Ravelavelo :

---------

Toute cette semaine :

Schmidt : Les 4 symphonies (Jarvi)


J'aime beaucoup. J'en parlerai plus en détail.

6) Claude Debussy (1862-1918) :

La Mer

= Georg Solti, Orchestre symphonique de Chicago

(Decca, mai 1976)

Mahler: Le Chant de la terre/De Leeuw

7) Jacques Offenbach (1819-1880) :

La Belle Hélène, -Ouverture
Orphée aux Enfers, -Ouverture

= Paul Paray, Orchestre symphonique de Detroit

(Mercury, avril 1959)

arnaud bellemontagne a écrit:

Toute cette semaine :

Schmidt : Les 4 symphonies (Jarvi)


J'aime beaucoup. J'en parlerai plus en détail.

Liszt: Lieder/Cooke

arnaud bellemontagne a écrit:

Mefistofele a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Pour info The Lamb Lies Down On Broadway est un fameux morceau de la période 70's du groupe de rock Genesis.

Ah, merci ! La notice les liste, ainsi que Deep Purple et Jimi Hendrix, mais à part leur nom, j'avoue mon ignorance à leur égard.

Il n'y a pas à rougir.

@Ravelavelo :

---------

Toute cette semaine :

Schmidt : Les 4 symphonies (Jarvi)


J'aime beaucoup. J'en parlerai plus en détail.

J'ai écouté seulement la 3° pour le moment. C'est vraiment pas mal.

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
• Cantate BWV 114 "Ach, lieben Christen, seid getrost"

Masaaki Suzuki / Bach Collegium Japan

Antonio Vivaldi : Concerto in mi bemolle maggiore RV 253 La Tempesta di Mare pour violon, cordes et basse continue
Aureliano Cattaneo : Estroso pour violon, flute à bec, cordes, théorbe et clavecin
Antonio Vivaldi : Concerto in sol minore RV 157 pour cordes et basse continue
Luca Francesconi : Spiccato il volo pour violon seul
Antonio Vivaldi : Concerto in do maggiore RV 191 pour violon, cordes et basse continue
Simone Movio : Incanto XIX pour flute à bec, violon et cordes
Antonio Vivaldi : Concerto in mi minore RV 550 pour quatre violons, cordes et basse continue
Marco Stroppa : Dilanio avvinto pour flute à bec et deux violons
Giovanni Sollima : Moghul pour violon, flute à bec, cordes et basse continue
Antonio Vivaldi : Concerto in re maggiore RV 208 Il Grosso Mogul pour violon, cordes et basse continue
Béla Bartók : Szól a Duda pour flute à bec et violon

Patricia Kopatchinskaja, violon
Il Giardino Armonico (Giovanni Antonini, flute à bec et direction)

luisa miller a écrit:

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

J.S.Bach
Les variations Goldberg

Zhu Xiao-Mei

Label Mirare

Je poursuis l'écoute des variations Goldberg

Un enregistrement qui m'intéresse beaucoup, pas eu la chance de l'écouter, très rare et dispendieux à l'achat en ligne. par contre j'ai lu son autobiographie: La rivière et son secret: des camps de Mao à Jean-Sébastien Bach; le destin d’une femme d’exception.
Bonne écoute...

On a eu le privilège de l'avoir à Poitiers . C'était juste sublime . Quant à son autobiographie je l'ai depuis quelques années dans ma bibliothèque ; j'ai rarement lu un livre aussi poignant et difficile. Quelle leçon de vie et de courage elle nous donne. Cette femme là on ne peut que l'admirer, non seulement en tant qu'Artiste, mais aussi en tant qu'Etre Humain

T'es bien chanceuse de l'avoir vue et entendue...
Côté lecture, ce qui se rapproche le plus du témoignage de Xiao-Mei. probablement celui de Lang Lang (pas encore lu): Le piano absolu ou encore les Variations sauvages d'Hélène Grimaud.
Contrairement à ce qu'on peut penser, ces trois pianistes ne l'ont pas eu facile.
Merci pour ton commentaire, Luisa.

Ravélavélo a écrit:

luisa miller a écrit:

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

J.S.Bach
Les variations Goldberg

Zhu Xiao-Mei

Label Mirare

Je poursuis l'écoute des variations Goldberg

Un enregistrement qui m'intéresse beaucoup, pas eu la chance de l'écouter, très rare et dispendieux à l'achat en ligne. par contre j'ai lu son autobiographie: La rivière et son secret: des camps de Mao à Jean-Sébastien Bach; le destin d’une femme d’exception.
Bonne écoute...

On a eu le privilège de l'avoir à Poitiers . C'était juste sublime . Quant à son autobiographie je l'ai depuis quelques années dans ma bibliothèque ; j'ai rarement lu un livre aussi poignant et difficile. Quelle leçon de vie et de courage elle nous donne. Cette femme là on ne peut que l'admirer, non seulement en tant qu'Artiste, mais aussi en tant qu'Etre Humain

T'es bien chanceuse de l'avoir vue et entendue...
Côté lecture, ce qui se rapproche le plus du témoignage de Xiao-Mei. probablement celui de Lang Lang (pas encore lu): Le piano absolu ou encore les Variations sauvages d'Hélène Grimaud.
Contrairement à ce qu'on peut penser, ces trois pianistes ne l'ont pas eu facile.
Merci pour ton commentaire, Luisa.

Sans doute, encore que je ne connaisse ni Lang Lang (dont je déteste le style très / trop robotisé) ni Hélène Grimaud, mais les deux autres n'ont pas connu la vie, ou plutôt la survie, dans les camps de Mao pendant 5 ans comme Zhu Xiao Mei. Cela étant dit, ça n'empêche pas les difficultés ni des vies pas évidents

Helmut Lachenmann : „... zwei Gefühle...“, Musik mit Leonardo pour récitant et ensemble (1992)
John Dowland : Weepe you no more, sad fountaines (1603)
Dmitri Kourliandski : possible places pour violon et orchestre (2020)
Heinrich Ignaz Biber : Battalia pour cordes et basse continue (1673)
Giacinto Scelsi : Anahit pour violon et 18 instruments (1965)

Patricia Kopatchinskaja, violon
Helmut Lachenmann, récitant
SWR Symphonieorchester (Teodor Currentzis)

L. v. Beethoven
* Symphonie no.3 'Eroica'
The London Classical Players
Roger Norrington (coffret EMI, 1988)

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

J.S.Bach
Les variations Goldberg

Zhu Xiao-Mei

Label Mirare

Je poursuis l'écoute des variations Goldberg

Un enregistrement qui m'intéresse beaucoup, pas eu la chance de l'écouter, très rare et dispendieux à l'achat en ligne. par contre j'ai lu son autobiographie: La rivière et son secret: des camps de Mao à Jean-Sébastien Bach; le destin d’une femme d’exception.
Bonne écoute...

luisa miller a écrit:

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

J.S.Bach
Les variations Goldberg

Zhu Xiao-Mei

Label Mirare

Je poursuis l'écoute des variations Goldberg

Un enregistrement qui m'intéresse beaucoup, pas eu la chance de l'écouter, très rare et dispendieux à l'achat en ligne. par contre j'ai lu son autobiographie: La rivière et son secret: des camps de Mao à Jean-Sébastien Bach; le destin d’une femme d’exception.
Bonne écoute...

On a eu le privilège de l'avoir à Poitiers . C'était juste sublime . Quant à son autobiographie je l'ai depuis quelques années dans ma bibliothèque ; j'ai rarement lu un livre aussi poignant et difficile. Quelle leçon de vie et de courage elle nous donne. Cette femme là on ne peut que l'admirer, non seulement en tant qu'Artiste, mais aussi en tant qu'Etre Humain

Une vie vraiment difficile, mais une vocation constante.
Ceci fait réfléchir sur notre propre histoire.

Et une interprétation que je préfère à celle de L.L.

J'ai passé le weekend à écouter les Mahler Rosbaud et je peux dire waouh ! Quelques caractères, aussi personnel que Kondrachine. La 9e est prise à une vitesse folle. La forme de la 7e n'est jamais aussi limpide et convaincante. C'est méchant mais toujours bien maitrisée.

Ca c'est le coffret Mahler évennement.

Miam!

Merci de l'avoir signalé.

Hans Rott : Symphonie n° 1 en mi majeur - hr Sinfonie Orchester Frankfurt, Paavo Järvi



Voilà qui me parle autrement que le compositeur post-romantique du moment du forum (ce n'est pas faute d'avoir essayé Franz Schmidt et de vous lire sur la question; ça ne passe pas du tout chez moi   ). J'avais déjà essayé Rott il y a quelques temps, ça m'avait plutôt plu et je prends plaisir à y revenir. Je ne répéterai pas ce qui a déjà été dit sur le forum sur ce que représente une telle œuvre en 1880. Mais c'est vraiment une œuvre pour laquelle on succombe finalement assez facilement. Même les longueurs du fugato du thème brahmsien de la deuxième partie du finale - tout à fait le genre de développement que je peux souvent trouver indigeste dans le post-romantisme - passent en fin de compte si on considère l'évolution magistrale du mouvement.

Jean-Pierre Guézec : Architectures colorées pour 15 musiciens (1964)
Jean-Pierre Guézec : Ensemble multicolore pour 18 musiciens (1965)
Jean-Pierre Guézec : Textures enchainées pour 16 musiciens (1967)
Ensemble Parcours 27 XXI (Jean-Claude Bernède)

Jean-Pierre Guézec : Assemblages pour 28 musiciens (1967)
Orchestre national de l’ORTF (Ernest Bour)

Jean-Pierre Guézec : Successif-simultané pour 12 cordes (1968)
Orchestre de chambre de Toulouse (Louis Auriacombe)

Aujourd’hui:

• Charpentier: Méditations pour le Carême, H 380-389:

Louis-Noël Bestion de Camboulas (orgue, clavecin) / Ensemble Les Surprises: Paco Garcia (haute-contre), Martin Candela (taille), Étienne Bazola (basse-taille), Juliette Guignard (viole de gambe), Étienne Galletier (théorbe)
Paris, IX.2019
Ambronay

Réalisation absolument majeure! Les choix interprétatifs et les qualités (la déclamation, le grain) de Camboulas et son ensemble donnent toute la mesure de ce chef-d’œuvre singulier. Voir ici.

Iskender a écrit:

Voilà qui me parle autrement que le compositeur post-romantique du moment du forum (ce n'est pas faute d'avoir essayé Franz Schmidt et de vous lire sur la question; ça ne passe pas du tout chez moi   ).

Ah, mais il faut dire aussi que Schmidt, sans en avoir l'air, c'est plus spécial (le côté parfois extrêmement formaliste, l'apparente contradiction entre une expression très lumineuse et un langage très sinueux et élusif), nettement plus tardif aussi, que le postromantisme de Rott, qui a la force d'une évidence.

Je crois me souvenir que Rubbra ne te parle pas trop, non plus?

Pourtant la 1ere de Schmidt et Rott se ressemblent beaucoup. Pour j'admets qu'on peut trouver plus de "tunes" immédiates dans Rott.

lulu a écrit:

Helmut Lachenmann : „... zwei Gefühle...“, Musik mit Leonardo pour récitant et ensemble (1992)
John Dowland : Weepe you no more, sad fountaines (1603)
Dmitri Kourliandski : possible places pour violon et orchestre (2020)
Heinrich Ignaz Biber : Battalia pour cordes et basse continue (1673)
Giacinto Scelsi : Anahit pour violon et 18 instruments (1965)

Patricia Kopatchinskaja, violon
Helmut Lachenmann, récitant
SWR Symphonieorchester (Teodor Currentzis)

Spoiler:

On t'a pas vu à l'after, lulu

Benedictus a écrit:

Je crois me souvenir que Rubbra ne te parle pas trop, non plus?

Non plus, en effet. Alors que Bax, oui.

Clara Iannotta :
Dead wasps in the jam-jar (iii) pour quatuor à cordes préparé et ondes sinusoïdales (2017–18)
You crawl over seas of granite pour quatuor à cordes désaccordé amplifié (2019–20)
A Failed Entertainment pour quatuor à cordes (2013)
Earthing – dead wasps (obituary) pour quatuor à cordes, transducteur et électronique (2019)

JACK Quartet

Oxana Omelchuk :
Sieben Intraden pour ensemble (2004)
Ensemble für Neue Musik Sankt Peter (Johathan Stockhammer)

Böhmisches Lied – 3. Versuch (2017) pour viole d’amour (2017)
Annegret Mayer-Lindbergh

Quodlibet pour 8 instruments (2006)
Ensemble Musikfabrik

Wow and Flutter pour deux trombones et ensemble (2018)
Matthias Muche, Daniel Riegler / Studio Dan Wien

Intermezzo 1 pour basse et percussion (2018)
Intermezzo 2 pour basse et thérémine (2018)
Intermezzo 3 pour basse et boite à musique (2018)
Intermezzo 4 pour basse et synthétiseur (2018)
Postludium pour basse et synthétiseur (2018)
Constantin Herzog / Oxana Omelchuk

Roussel : Symphonie n°1 (Dutoit)

Délicieusement debussyste.

J.S.Bach
Les variations Goldberg

Murray Perahia

Label Sony

• Stefan: „Liebeszauber“ pour baryton et orchestre¹. Musique pour orchestre en un mouvement. Musique pour violon et orchestre²:

Dietrich Fischer-Dieskau (baryton)¹, Hans Maile (violon)², Hans Zender / Radio-Symphonie-Orchester Berlin
Berlin, IV.1983
Schwann

Heureuses retrouvailles! J’aime beaucoup la netteté et l’énergie de Zender qui articule le discours et contraste les textures, évitant de verser dans le style invertébré-flou (un peu le problème de Caetani capté par Chandos.)

• Haydn: Quatuor à cordes en ut majeur, op. 76 n°3 «L’Empereur»:

Quatuor Chiaroscuro: Alina Ibragimova, Pablo Hernán Benedí (violons), Emilie Hörnlund (alto), Claire Thirion (violoncelle)
Brême, XII.2017
BIS

Lecture très singulière, voire étrange - très mobile, avec de surprenants contrastes dans la façon même de construire la sonorité, entre des attaques très denses aux des accents presque méchants, et des moments insaisissables où le son semble fuyant, élusif, dégingandé. Il faudra que je réécoute pour essayer de comprendre où ça va, comment ça fonctionne - et accessoirement ce que j’en pense.

mabuse a écrit:

Voix off: Teodor et grand-père Helmut sont heureux de se retrouver. En respectant certaines règles, ils peuvent à nouveau se voir, se parler mais aussi rire et s’amuser ensemble. Le virus circule toujours. Quand on aime ses proches, on ne s’approche pas trop. 9 personnes sur 10 qui décèdent de la Covid-19 ont plus de 65 ans…

Grand-Père Helmut: Oh, la barbe, de la distanciation sociale et des masques! De toute manière, des clusters, ça fait des années qu’il y en a déjà plein ma musique…

N. B. : Les photos de Helmut Lachenmann et Teodor Currentzis ont été prises le 14 février 2020 à Stuttgart. A l'époque il n'y avait pas encore eu de cas déclaré positif au Covid-19 au Bade-Wurtemberg. Le premier cas y a été annoncé le 25 février.

Ah, pardon, sans doute me faut-il donc préciser: mon but était seulement de plaisanter, et en aucun cas de suggérer des accointances réelles entre Lachenmann et le mouvement des anti-masques (ou ne serait-ce qu’une simple négligence du compositeur à l’égard des gestes-barrière.)

Bruckner : Symphonie n°2 (Konwitschny)

Naomi Pinnock :
String Quartet No. 2 (2012)
Quatuor Bozzini

Words pour baryton et ensemble (2011)
Omar Ebrahim
London Sinfonietta (Beat Furrer)

Lines and Spaces pour piano (2015)
Richard Uttley

Music for Europe pour flute, clarinette, percussion, piano et harpe (2016)
Ensemble Adapter

Aujourd’hui, deux immenses cycles de lieder postromantico-décadents avec cordes:

• Wellesz: Sonnette der Elizabeth Browning, pour soprano et orchestre à cordes, op. 52:

Regina Klepper (soprano), Roger Epple / Deutsches Symphonie-Orchester Berlin
Berlin-Dahlem, XI.2002
Capriccio

À mes sens un des sommets du genre: des climats et une écriture d’une intensité folle, mais remarquablement tenue et tendue (pas du tout dégoulinant). Interprétation idéale. Voir ici.

• Schoeck: Notturno pour baryton et quatuor à cordes, op. 47:

Christian Gerhaher (baryton), Quatuor Rosamunde
Neumarkt, XII.2007
ECM New Series

Énième réécoute de ce chef d’œuvre absolu. Interprétation très dense - et très belle (même si ce n’est pas encore ma préférée.) Voir ici.

Zeynep Gedizlioğlu :
Sights of Now pour deux pianos et quatuor à cordes (2013–17)
Yukiko Sugawara, Tomoko Hemmi, Quatuor Diotima

Jetzt – mit meiner linken Hand pour ensemble (2014)
Klangforum Wien (Leonhard Garms)

Verbinden und Abwenden pour ensemble et orchestre (2016)
Ensemble Modern, hr-Sinfonieorchester (Ilan Volkov)

Kelimeler pour cinq voix (2013–14 / 2017)
Neue Vocalsolisten Stuttgart

Blick des Abwesenden pour piano et orchestre (2018)
Tamara Stefanovich / hr-Sinfonieorchester (Jonathan Stockhammer)

Schoeck: Notturno/Tüller

Dimitri Chostakovich
* Symphonie no.8
Atlanta Symphony Orchestra
Yoel Levi



Pas nécessairement la symphonie auquelle j'accroche le plus, mais j'aime le début du premier mouvement.

Bax : Symphonie n°6 - New Philharmonia orchestra, Norman Del Mar
***


Histoire de changer de la 5 que j'écoute à peu près toutes les semaines depuis quatre mois. J'aime aussi cette n°6. Lyrita, toujours excellent : on sent que l'enregistrement a quelques années, mais pour autant c'est clair, dynamique, et au bénéfice de cette musique.

Roussel : Symphonie n°2 (Martinon)


Peut-être sa meilleure.

Iskender a écrit:

Bax : Symphonie n°6 - New Philharmonia orchestra, Norman Del Mar
***


Histoire de changer de la 5 que j'écoute à peu près toutes les semaines depuis quatre mois. J'aime aussi cette n°6. Lyrita, toujours excellent : on sent que l'enregistrement a quelques années, mais pour autant c'est clair, dynamique, et au bénéfice de cette musique.  

arnaud bellemontagne a écrit:

Roussel : Symphonie n°2 (Martinon)


Peut-être sa meilleure.

Aujourd’hui:

• Trojahn: Fünf See-Bilder (1979-83) pour mezzo-soprano et orchestre:

Trudeliese Schmidt (mezzo-soprano), Manfred Trojahn / Radio-Symphonie-Orchester Berlin
Berlin, XI.1991
CPO

Un chef-d’œuvre de la Neue Einfachheit, plus sensiblement ancré dans le symphoniste postromantique que les œuvres de Rihm ou von Bose. Voir ici.

Clemens Gadenstätter :
schniTt pour ensemble (1993–95)
Klangforum Wien (Dominique My)

Versprachlichung pour 8 instruments et bande (1992)
Klangforum Wien (Johannes Kalitzke)

Musik für Orchesterensembles (1990)
ORF Radio-Symphonieorchester Wien (Arturo Tamayo)

lulu a écrit:

Clemens Gadenstätter

Tu le situerais plutôt où, lui, quant à l'esthétique et au langage?

j’en avais un mauvais souvenir (genre... autrichien)... j’ai été un peu surpris, c’est coul en fait... j’ai vu qu’il a notamment été élève de Lachenmann, ça situe un peu, même si sa musique garde un côté plus frontal/complaisant (autrichien quoi)... disons un intermédiaire entre Neuwirth et Lachenmann quoi.

d’ailleurs :

Clemens Gadenstätter :
Fluchten / Agorasonie 1 pour deux pianos, percussion et orchestre (2009)
Johanna Grobner, Veronika Trisko
Josef Gumpinger, Gerhard Windbacher
ORF Radio-Symphonieorchester Wien (Pascal Rophé)

auf takt pour orchestre (1997/99)
ORF Radio-Symphonieorchester Wien (Arturo Tamayo)

ballade 1 pour voix et piano (1997)
Anna Maria Pammer / Florian Müller

Merci! (Donc pas forcément prioritaire pour moi mais à tenter.)

Sinon, tu as repéré des trucs susceptibles de me plaire dans les sorties contemporaines récentes? (J'avoue que j'ai de plus en plus de mal à situer ce qui sort chez Neos, Kairos ou Col legno.)

je suis pas trop non plus... j’ai rien remarqué de particulièrement notable et calibré pour toi pour l’instant.

Merci. Je vais donc pouvoir écluser mes monographies Neue Einfachheit.

parfait.

mais sinon c’est vrai que je peux être un peu perdue dans les parutions récentes moi aussi... parce que mes grilles de lectures sont surtout calibrées pour la musique contemporaine disons soit de 1945/50 à 1965/70 soit 1965/70 à 1990/2000, or après ça devient beaucoup plus délicat de tracer des lignes je trouve... peut-être que la « pluralité » et l’absence d’écoles tant vantée elle se produit seulement maintenant... ou alors c’est juste le manque de recul...