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Alifie a écrit:

Au passage, bravo à Randall, qui a réussi à poster pendant ce mini-débat un film (le Rivette) avec Rohmer acteur.

Y en a eu au moins un qui a relevé !

Alifie a écrit:

De mon point de vue, toute cette discussion, comme les précédentes, a été plutôt intéressante ... sauf peut-être pour toi, Parsifal, qui a l'impression de repasser sur le grill à chaque fois qu'un nouvel intervenant rebondit sur le sujet (et je suis le 1er à t'avoir relancé, donc mea culpa). Je crois qu'on a bien compris maintenant (ouf, vas-tu dire) que Rohmer, c'est en quelque sorte pour toi l'anti-cinéma et que dès lors, tu as souvent envie de le chambrer (on ne s'en prive pas pour d'autres réalisateurs, c'est aussi un des plaisirs, bien innocent, du fil).

Au passage, bravo à Randall, qui a réussi à poster pendant ce mini-débat un film (le Rivette) avec Rohmer acteur.

Le Rivette que j'ai trouvé. Non mais. Dis, tu ferais mieux de te pencher sur la nouvelle énigme. On compte sur tes sur-talents de cinépathe pour dépatouiller le bazar.

Mes modestes dispositions de gougleur ne m'ont pas permis de trouver le film avec l'adresse. Je vais donc aller t'asticoter un peu sur le fil.

Les yeux qui fascinent a écrit:

Parsifal a écrit:

...
je ne préfére même pas relever

Comme le souligne Cololi, il est évident que le lycéen fan de stallone ce n'est pas toi — d'ailleurs, j'ai failli mettre vandamme à la place de stallone mais je me suis dit que les films avec vandamme et rohmer, dans le fond c'est du pareil au même —. (et je précise, au cas où cela n'était pas clair, je n'ai pas sous-entendu non-plus que tu étais un abruti fini ).

oui je m'en rend compte maintenant, mais sur le coup, c'est vrai que je l'ai assez mal pris, j'ai souvent du mal a avoir ce recul sorry

Les yeux qui fascinent a écrit:

Citation :

Chez Burton et Fellini oui le carton pâte est présent, mais les films sont quand même construit d'une façon très différente, et le décors lui même est utilisé d'une façon différente, il a beau être totalement artificiel ça ne me viendrais jamais a l'idée de le réduire a celui d'une scéne de théâtre, alors que Perceval m'y fait immédiatement pensé.

Pourtant, chez burton, il y a des exemples de trucs qui viennent clairement du théâtre (même si, je te l'accorde, c'est de seconde main) : par exemple, tous ses machins neo-caligaresque (qui à l'origine vient du théâtre de Max Reinhardt et que lui pompe chez les frères Elfman qui ont débuté par le cabaret burlesque). Et puis, par certains côtés ses batman ont qq chose d'assez théâtral
Idem chez Fellini (et encore plus peut-être), par exemple dans le satyricon si mes souvenirs sont bons. Et puis les deux étant "baroques", il y a un goût pour l'artificiel (ce qui tu appelles théâtre chez rohmer ).

Oui ce que je voulais dire c'est que Burton et Fellini ont une façon de filmer qui évite justement de tomber totalement dans le théâtre, même si on peut en trouver des traces dans leur cinema en effet (ce que je n'ai pas nier), mais dans l'ensemble ça dépasse quand même le théâtre.

Les yeux qui fascinent a écrit:

Citation :

Entendons nous bien ici sans artifice est a comprendre dans le sens de ce que tu appelle réalisation spartiate:

c'était quand même ambigüe

En effet ça l'était c'est plutôt a moi de

Les yeux qui fascinent a écrit:

Citation :

Je veux bien qu'il y ait une forme de dérision et de second degrés dans ces dialogues débile ou pompeux (dans ma nuit chez Maud, c'est quand même souvent prétentieux, je reconnais que c'est probablement de la dérision, le probléme c'est qu'encore une fois l'ensemble me semble rester très tributaire des dialogues ),

J'en profite pour te répondre sur ce que tu sous-entends dans ta réponse à philippe : quand j'écris "dérision", ce n'est pas de la dérision par rapport à ses personnages (une forme de cynisme quoi) mais une forme de dérision par rapport à son cinéma : honnêtement on ne pas prendre un film de rohmer totalement au sérieux ; il y a quand même un arrière fond de mauvaise sitcom assez prononcée.

Pour finir, moi aussi je trouve ça beaucoup trop verbeux (mais comme tout le cinéma français mais aussi hollywoodien etc.) et les dialogues, chez moi, ne rentrent pas dans les cases de ma définition du cinéma — ni le romanesque !! —.

Un dernier mot concernant Rohmer, ok effectivement je n'avais pas compris ton utilisation du mot dérision dans ce sens (mais peut être aussi parce que j'y trouve une certaine forme de ce cynisme justement mais bon passons), ça ne change pas grand chose a ce que je disais dans ma réponse a Phillipe, on peut y voir une forme de dérision mais bon ça ne veux pas pour autant dire que c'est réussit, le second degrés n'est pas une garantis de qualité (j'avais fait la même réponse a quelqu'un qui me reprochais de ne pas aimer Raising Caïn de De Palma que je considére comme un somptueux ratage, en dépit du second degrés et du fait que le film reste dans la lignée de ses précédent)


Pour ce qui est du côté verbeux je suis d'accord pour le cinema français et Hollywoodien, je n'ai rien contre des dialogues abondants mais disons que déjà quand les dialogues sont mauvais (et dans le cas de Rohmer il le sont a mon avis, je ne juge pas de leur qualité littéraire, mais au cinema je ne trouve pas que ça fonctionne), et que je ne trouve pas un langage cinématographique suffisamment consistant a mon gouts, c'est sur que ça ne va pas aider.

Mais les meilleurs films français ou Hollywoodien ont quand même, même lorsqu'ils sont verbeux, une force cinématographique qui arrive a compenser la "surprésence" du dialogue. Cela dit je suis d'accord que quand un film arrive a se passer dans la mesure du possible du dialogue (ou en tout cas a le réduire considérablement), c'est mieux.

Tiens pour rester dans le théâtre filmé, je viens de revoir Le crime était presque parfait d'Hitchcock, c'est un film qu'on peut qualifié de verbeux, c'est une adaptation de pièce de théâtre que Hitchcock fidèle adapte fidèlement (enfin je suppose) en respectant la structure théâtrale, tout se passe presque intégralement en intérieur et presque dans un décors unique. Pourtant on ne pourras pas dire ici que la caméra n'est pas présente, les mouvement d’appareil, le montage et l'organisation de l'espace sont essentiellement d'ordre cinématographique (on pourras toujours trouver quelques plans qui peuvent rappeler le théâtre mais bon), en d'autre en partant d'une structure de pur théâtre filmé avec un dialogue très présent Hitchcock arrive quand même a le transcender par son art de la mise en scéne qui est d'une précision assez extraordinaire c'est particulièrement visible dans ce film, pourtant réputer mineur (y compris par Hitchcock lui même).

Mais le cinéma Hitchcock est très intime avec le théâtre (enfin… avec un genre de théâtre…), beaucoup de ses films sont des adaptations de pièces de théâtre.

@Rohmer : oui, tu peux y voir un certain cynisme dans la façon de traiter ses personnages.

Les yeux qui fascinent a écrit:

Mais le cinéma Hitchcock est très intime avec le théâtre (enfin… avec un genre de théâtre…), beaucoup de ses films sont des adaptations de pièces de théâtre.

Je suis d'accord, mais enfin il est tout aussi intime avec le roman ou la nouvelle (je pense quand même qu'il y a plus d'adaptation romanesque que théâtral dans sa filmographie)

Mais ses films sont quand même pleins de coup de théâtres

Et puis autre pont avec le théâtre : tous ses personnages sont en représentation, jouent des rôles.

Ça m'a l'air quand même plus attiré par la chose théâtrale que par le romanesque (Et puis en bon Anglais qu'il est…).

La corde aussi est très théâtrale (déjà par le huit clos ou par le plan séquence qui "dure tout le film"*).
De même pour Vertigo ou la mort aux trousses.
Et ne pas oublier fenêtre sur cour (où l'argument est un type qui regarde de "son balcon" à l'aide de jumelles les différentes représentations théâtrales de ses voisins).

*ce n'est pas tout à fait vrai mais c'était l'intention d'Hitchcock.

Sleepers : Film coup de Barry Levinson de poing sur une bande de 4 gamins envoyé en maison de correction, torturés et abusés... et qui quinze ans plus tard rencontrent un de leur bourreau... et ce qui s'en suit...
Magnifiquement joué et réalisé... un vrai choque ce film... à mettre en parallèle avec Dog Pound pour l'histoire et l’absence de concessions.

AU casting, parmi les connus : Kevin Bacon en bourreau, Robert De Niro en prêtre paternel, Brad Pitt en procureur hanté par ses traumatismes d'enfance, Dustin Hoffman en avocat sur le retour... et les 3 autres gamins devenus adultes (ainsi que les gamins qui jouent la jeunesse de ces 4 amis) sont eux aussi bouleversants...

Les yeux qui fascinent a écrit:

Mais le cinéma Hitchcock est très intime avec le théâtre (enfin… avec un genre de théâtre…), beaucoup de ses films sont des adaptations de pièces de théâtre.

@Rohmer : oui, tu peux y voir un certain cynisme dans la façon de traiter ses personnages.

Tu pourrais développer, parce que pour moi ça n'a rien d'évident : la dramaturgie des grands Hitckock : l'Homme qui en savait trop,Vertigo, North By Northwest, Psycho, les Oiseaux etc - ne doit à mon sens rien au théatre.
Quels sont ses films directement adaptés du théatre ?

Montfort

Le crime était presque parfait, et plein de sa période anglaise, comme Junon et le Paon, et d'autres...

Montfort a écrit:

Les yeux qui fascinent a écrit:

Mais le cinéma Hitchcock est très intime avec le théâtre (enfin… avec un genre de théâtre…), beaucoup de ses films sont des adaptations de pièces de théâtre.

@Rohmer : oui, tu peux y voir un certain cynisme dans la façon de traiter ses personnages.

Tu pourrais développer, parce que pour moi ça n'a rien d'évident : la dramaturgie des grands Hitckock : l'Homme qui en savait trop,Vertigo, North By Northwest, Psycho, les Oiseaux etc - ne doit à mon sens rien au théatre.

Je n'ai pas répondu a Fantomus hier je n'ai pas eut le temps, mais je suis assez d'accord, la narration d'Hitchcock n'est pas théâtrale. Et lorsqu'il utilise éventuellement le "théâtre" (ou disons des effets de théâtre) dans son cinema c'est plus comme un outil au service du cinema (pour faire par exemple ressortir l'aspect mise en scéne, manipulateur de certains passage, et c'est particulièrement le cas dans fenêtre sur cours, ou d'ailleurs on peut remplacer le mot théâtre, par cinema et télévision), que comme une dette qu'il rendrait au théâtre qui serait la base de son cinema (ce que nous disions pour Renoir), enfin c'est comme ça que je l'ai toujours ressenti.


Ses films directement adapté du théâtre: pour les plus célèbre ce sont La corde, et le cime était presque parfait, on en trouve dans sa période anglaise mais j'ai oublié les titre, mais il me semble moi aussi que la majorité des adaptation qu'il a pu réalisé sont plutôt des romans ou des nouvelles.

Ben si justement, il est assez évident qu'Hitchcock, qui est anglais — le théâtre est une institution outre manche —, place son cinéma sous le patronage du théâtre (et non — pour reprendre notre discussion sur Renoir — de la photographie ou de la peinture) : non seulement, en adaptant à l'art cinématographique, des effets propres au théâtre (à suspense)* mais aussi par de nombreuses références à celui-ci — entre autres, par exemple, tous les personnages qui jouent un rôle, se déguisent, comme dans psychose, la mort aux trousses, le film avec l'oncle tueur de veuves.


*les différents coups de théâtre dont sont coutumiers les films d'hitchcock.

Xavier a écrit:

Le crime était presque parfait, et plein de sa période anglaise, comme Junon et le Paon, et d'autres...

Donc plutot ses films en tout début de carrière ???
Sinon, oui, le "Crime" pourrait etre joué dans un théatre, sans doute aussi "La corde", peut etre "Fenêtre sur cour" mais ça me semble etre marginal dans son oeuvre.

Montfort

Fenêtre sur cour ne peut pas être joué dans un théâtre…

(et puis cela n'a pas de sens de vouloir jouer des films d'hitchcock dans un théâtre, vu que ce qu'il y a d'intéressant justement chez lui — comme chez Renoir — est ce qu'il apporte de plus [au théâtre], ou, comme l'a écrit parsifal, la façon dont il métamorphose des choses venant du théâtre en qq chose de proprement cinématographique — par exemple, le coup de théâtre devient "coup de cinéma" ; la pièce de théâtre (filmée) la corde devient film plan-séquence ; etc. —).

Montfort a écrit:

Xavier a écrit:

Le crime était presque parfait, et plein de sa période anglaise, comme Junon et le Paon, et d'autres...

Donc plutot ses films en tout début de carrière ???
Sinon, oui, le "Crime" pourrait etre joué dans un théatre, sans doute aussi "La corde", peut etre "Fenêtre sur cour" mais ça me semble etre marginal dans son oeuvre.

Montfort

Non, le Crime était presque parfait est carrément adapté d'une pièce de théâtre, tout comme pas mal d'autres Hitchcock, tous de jeunesse il me semble à part celui-ci.
Sans doute The Manxman, Laquelle des trois, The skin game, Junon et le paon, et je dois en oublier un ou deux au moins.

de la période hollywoodienne, le crime et la corde le sont, sûr ; mais de la période anglaise, les 39 marches ne le sont pas.

ps (pour la postérité) : Parsifal, ci-dessous, affabule dans sa citation

Les yeux qui fascinent a écrit:

de la période anglaise, il y a aussi la 39e marche.

Déjà c'est les 39 marches, et c'est adapté d'un roman de John Buchan

Camille redouble: Sur un scénario un peu déjà-vu (presque un remake de Peggy Sue s'est mariée), c'est un film assez singulier dont je suis ressorti mi-figue mi-raisin. D'abord parce que je m'attendais à une pure comédie jouant sur l'imagerie des années 80, alors que le film est très (très) sentimental, et c'est finalement l'aspect le plus réussi du film. C'est le jeu des acteurs qui emporte l'adhésion, avec en tête Noémie Lvovsky: j'adore cette actrice, ses airs de clown triste, son naturel.

Chaplin : Le cirque
Chabrol : Les biches

Excellentissime, les 2. Musique géniale.

Cololi a écrit:

Chaplin : Le cirque
Chabrol : Les biches

Excellentissime, les 2. Musique géniale.

(surtout Le cirque!)
de Chabrol il faut absolument voir Que la bête meurt!

Parsifal a écrit:

Cololi a écrit:

Chaplin : Le cirque
Chabrol : Les biches

Excellentissime, les 2. Musique géniale.

(surtout Le cirque!)
de Chabrol il faut absolument voir Que la bête meurt!

Mais je vais voir d'autres Chaplin, et d'autres Chabrol aussi, c'est prévu

Je viens de voir :

La Controverse de Valladolid avec Carmet / Marielle / Trintignant

Très bien.

Le Dictateur de Chaplin. J'aime sensiblement moins. Le parlant coupe une partie du charme.
une adaptation de Eugénie Grandet avec Carmet (il y est parfait)

Les temps modernes de chaplin, c'est bien (transition au parlant mais manifeste du cinéma muet)

oui les temps moderne c'est très bien!
dans le parlant Monsieur Verdoux est quand même un sacré chef d'oeuvre!

Un peu de modernité ici pour remonter le niveau...

Voisins du Troisième Type : Un peu du n'importe quoi... mais c'est drôle! Enfin c'est un peu du grand n'importe quoi!
Un bon moment de passé!

Toujours pour rester dans l'actualité, je viens de voir :

Killer Joe : je me demande pourquoi ce film est encensé par la critique : le thème est ultra rebattu : des ploucs cherchent à se dépêtrer d'une histoire louche et se retrouvent embarqués dans des histoires sanglantes - l'esthétique itou : trailers déglingués, alcoolisme, sexe sordide.. quant à l'interprétation, Matthew Mc C. est aussi expressif qu'une canette de coke !

Cherchez Hortense : un couple de bobos veut se donner bonne conscience en essayant d'aider une amie d'amie sans papier sous arrêté d'expulsion : évidemment, ça ne marche pas d'abord parce que lui - Jean-Pierre Bacri, pour une fois sorti de ses éternels roles de bougon - procrastine puis quand il se décide se retrouve face à de très hauts fonctionnaires qui n'en ont rien à battre et le mènent en bateau..
C'est assez fin, bien joué, mais ça tourne un peu en rond - un film sympathique.

Montfort

Resigned a écrit:

Camille redouble: Sur un scénario un peu déjà-vu (presque un remake de Peggy Sue s'est mariée), c'est un film assez singulier dont je suis ressorti mi-figue mi-raisin. D'abord parce que je m'attendais à une pure comédie jouant sur l'imagerie des années 80, alors que le film est très (très) sentimental, et c'est finalement l'aspect le plus réussi du film. C'est le jeu des acteurs qui emporte l'adhésion, avec en tête Noémie Lvovsky: j'adore cette actrice, ses airs de clown triste, son naturel.

Je suis assez d'accord. On rit assez peu, mais l'intérêt est ailleurs. Le film aurait gagné à être un peu plus ramassé au montage, mais ça se regarde quand même très agréablement. Lvovsky est vraiment émouvante et touchante.

Montfort a écrit:

Cherchez Hortense : un couple de bobos veut se donner bonne conscience en essayant d'aider une amie d'amie sans papier sous arrêté d'expulsion : évidemment, ça ne marche pas d'abord parce que lui - Jean-Pierre Bacri, pour une fois sorti de ses éternels roles de bougon - procrastine puis quand il se décide se retrouve face à de très hauts fonctionnaires qui n'en ont rien à battre et le mènent en bateau..
C'est assez fin, bien joué, mais ça tourne un peu en rond - un film sympathique.

J'ai beaucoup aimé ce film, qui tient surtout à la performance d'acteur d'un Bacri retrouvé, très concerné, qui joue à la perfection ce personnage un peu ambigu. Il y a quelques scènes malgré tout assez drôles, mais l'intérêt du film tient à l'approche assez neutre et froide du sujet, à la réalisation sobre, qui servent de support au jeu d'acteurs de grande classe (Rich, Bacri, Carré etc.)

The Expendables : un film de gros bras . Presque inutile d'en dire plus .

Le 2 ? J'ai adoré Bon, j'étais avec mes filles et des copains à elles, ça a dû jouer…

J'ai vu le 1, et j'ai eu peur du 2 en fait!

Le 2, la première demi heure est archi nulle mais après c'est un festival de deuxième degré, bien meilleur que le 1. L'arrivée de Chuck Norris, j'ai failli crever de rire…

Mariefran a écrit:

Le 2 ?

Non, le premier. J'aime bien les efforts que fait Stallone pour tenter de donner un soupçon de fonds moral aux personnages .

Cherchez Hortense : titre qui se comprend mais pas totalement approprié, la sobriété et la simplicité sont les maîtres mots du film, je ne me suis pas attaché aux personnages néanmoins mais j'ai passé un agréable moment et j'ai ri à 2-3 reprises

Les Enfants Loups : Très beau dessin animé japonais, plein de poésie et de sentiments... beau graphisme, superbe musique... et beaucoup d'émotions!

L'histoire sans fin. Un souvenir d'enfance.

Mariefran a écrit:

L'arrivée de Chuck Norris, j'ai failli crever de rire…

Quelle différence avec ses apparitions habituelles ? Norris me fait toujours crever de rire : c'est le seul "acteur" parvenant à être une caricature de lui-même en permanence !

Comment ça, le seul ? J'en vois déjà un autre, cousin de Chuck.

mais arrêter avec Chuck Norris, vous ne savez donc pas qu'il met les pieds ou il veut et que c'est souvent dans la gueule!

Alifie a écrit:

Comment ça, le seul ? J'en vois déjà un autre, cousin de Chuck.

Mais lui ne me fait pas crever de rire. Sans doute son air plus austère...

Parsifal a écrit:

mais arrêter avec Chuck Norris, vous ne savez donc pas qu'il met les pieds ou il veut et que c'est souvent dans la gueule!

Oui... Enfin... Il commence tout doucement à prendre de l'âge. Maintenant, il doit envoyer ses mignons petons un peu moins haut et un peu moins fort qu'au temps de sa "splendeur".

On a recu Les Sorciers de la guerre samedi (depuis le temps qu'on voulait l'avoir en dvd...), et comme (a notre avis) ils vont bien ensemble, on a enchaine avec Planete Sauvage.

Polyeucte a écrit:

Les Enfants Loups : Très beau dessin animé japonais, plein de poésie et de sentiments... beau graphisme, superbe musique... et beaucoup d'émotions!

J'ai été le voir hier soir, en dernière séance. J'ai trouvé ce film vraiment magnifique. Une confirmation pour ce réalisateur. Ma plus belle toile du mois pour l'instant (j'ai du voir une quinzaine de films en Septembre) !

T'as fait comment pour trouver 15 films? Y avait quand même pas grand chose à se mettre sous la dent j'ai trouvé. Là ça commence à se repeupler un peu les cinés!

Sinon tout à fait d'accord avec toi sur les Enfants Loups...

Polyeucte a écrit:

T'as fait comment pour trouver 15 films? Y avait quand même pas grand chose à se mettre sous la dent j'ai trouvé. Là ça commence à se repeupler un peu les cinés!

Sinon tout à fait d'accord avec toi sur les Enfants Loups...

Je vais voir à peu près tout ce qui sort en ce moment, bon ou - souvent - mauvais.

Je reviens de Robot and Frank, guère passionnant, le film arrive a être longuet alors qu'il dure 1h25.

Bon, le hasard ayant voulu que je revienne faire un tour par ici, j'imagine qu'il est temps de vous asséner à nouveau mes pérégrinations cinématographiques. En ce moment, je me refais l'intégrale d'Urgences, NFS, Chimi complète, recherche de toxiques et d'alcoolémie. Ça se maintient bien, j'aborde la saison 9 sans avoir noté d'essoufflement notoire...

Autrement je recommande plus que chaudement The Avengers qui est un film de super-héros à la Joss Whedon, c'est-à-dire un film de super-héros pas comme les autres. Les dialogues sont drôles et décalés et Hulk est merveilleux dedans.

Toujours du côté de Joss Whedon, La Cabane dans les bois vaut franchement le détour. J'en ai parlé un peu plus longuement ici pour qui cela intéresse, mais j'aurais certainement dû en dire plus.

Et hier je me suis régalé, et encore le mot est faible, devant L'Attaque des tomates tueuses, un classique que je n'avais encore jamais vu. Tellement drôle que j'en ai oublié ma crève, mon nez bouché, ma gorge qui gratte et les insomnies qui en découlent. Une vaste connerie comme on aimerait en voir plus souvent, avec quelques lignes ou répliques d'anthologie. Par exemple : « Le Président a décidé de fermer la dernière base de sous-marins des Etats-Unis. De toute manière, a t-il déclaré, ces gros bateaux noirs n'arrêtaient pas d'y couler ! »

L'Impasse de Brian de Palma
Grand film.
(avec un verre de Bushmills 1608)

Tarantino peut se rhabiller.

Ophanin a écrit:

L'Impasse de Brian de Palma
Grand film.
(avec un verre de Bushmills 1608)

Tarantino peut se rhabiller.

L'Impasse, c'est Carlito's way c'est ça ?

oui c'est ça

Oui c'est vrai que c'est un bon film, un des rares de De Palma que j'aie vraiment aimé... Mille fois plus intelligent et sensible (et meilleur) que Scarface...

Scarface est un des De Palma que je ne connais pas encore, mais pour ce que j'en ais vu ça a l'air assez daté et je doute que ça soit aussi réussit que L'impasse.