Votre dernier film visionné.

Un dvd de Death In June : Live in Italy .

Je regarde un film en divx en ce moment-même. Une fois n'est pas coutume. Je viens d'y comprendre le pseudonyme de l'un des forumeurs (comme un con, je croyait que c'était son vrai nom).

Pour vous aidez à trouver, voici un extrait du film :

" Merci messieurs, c'était très bien, c'était très bien. Vous c'était bien là-bas. Vous c'était heu...comme-ci comme-ça. Dites-moi, vous on ne vous a pas entendu. On ne vous entend jamais. Vous n'arrêtez pas de bavarder, faites attention, faites très attention hein. Ecoutez, j'ai une conception personelle de l'ouvrage. Ce n'est pas assez triomphal, ce n'est pas assez orgueilleux. De l'orgueuil bon sang !! Pinpinpinpinpinpinpinpinpintchapinpinpinpinpinpinpin bon sang enfin. C'est gnégnégnégnégné, c'est de la bouillie tout ça. C'était pas mauvais, c'était très mauvais voilà exactement ! Alors reprenons, au 17 Hop !!"

Mais c'est notre cher Stanislas Lefort dans la Grande Vadrouille, n'est-ce pas?

Sans l'ombre d'un doute

film passé au moins 200 fois sur les différentes chaînes depuis que je suis gosse (ahh, les beaux yeux bleus de Marie Dubois )

Un dvd de Fields of the nephilim :

" Revelations / Forever remains / Visionary heads "

Citation :

C'est quoi le déséquilibre formel?

je ne sais même plus ce que j'ai voulu dire exactement par là...

Ce qui est sûr c'est que:

C'est un film qui hésite entre une esthétique léchée (ombre et lumières...) et une esthétique à la Blair Witch (teints blafards presque documentaires dans les scènes dans le bois). Comprends pas cette incohérence (décidément...)... Enfin je ne sais pas comment exprimer ce que je ressens encore (tu vas encore me sauter dessus de toute façon) mais je trouve ces séquences moches...

Et puis alors ce ralenti là avec Joaquin qui emmène Bryce dans la cave... Quelle utilité?????

Ensuite une intrigue... euh... C'est quoi cette intrigue (chercher des médocs parce que l'autre est mourant) qu'on ne découvre qu'à plus de la moitié du film alors que toute la première motié nous mène ailleurs (avec la révélation dès la moitié du film)? Ce scénario est complètement déséquibilibré....

Et puis cette musique... Elle est superbe mais alors complètement en dehors...

Citation :

l'intrigue et le suspens bien mené.

Pour moi il n'y a pas vraiment d'intrigue principale. C'est mal ficelé. je n'ai pas eu peur ni n'ait été ému par l'histoire d'amour, Shyamalan nous emmène dans plusieurs trucs à la fois, résout vite ce qu'on pensait être l'intrigue principale sans qu'on sache pourquoi pour la remplacer par une autre assez inintéréssante...

Citation :

Mais son gros point faible vient du discours du réalisateur. Ses traitements des thèmes que sont l'amour, la foi, etc.. sont assez ridicules. Je me souviens d'une scène risible où un personnage se prend un long monologue où on entend quelque chose du style "le monde est mû par l'amour et nous met à genoux, bla bla". Quelle naîveté, d'ailleur même dans les interviews, ça transparait de manière assez impressionante.

Pareil... mais les acteurs sont aussi complètement en dehors...

En revanche j'aime bien cette scène d'aveu sur les marches avec Bryce Dallas Howard et Joaquin Phoenix. Je trouve ce dernier extrêmement émouvant dans cette séquence...

En gros The Village m'a fait prendre conscience du fait que Shyamalan n'est pas celui qu'on croyait être lors la découverte de Sixth Sense...

Xavier a écrit:

Mais c'est notre cher Stanislas Lefort dans la Grande Vadrouille, n'est-ce pas?

Absolument !

ouannier a écrit:

Je regarde un film en divx en ce moment-même. Une fois n'est pas coutume. Je viens d'y comprendre le pseudonyme de l'un des forumeurs (comme un con, je croyait que c'était son vrai nom).

(Mon vrai nom... c'est la meilleure, celle-là !)

Xavier a écrit:

Mais c'est notre cher Stanislas Lefort dans la Grande Vadrouille, n'est-ce pas?

J'ai revu Existenz, qui est un vraiment un des Cronenberg les plus jouissifs. (et peut-être un de mes préférés)

Dans un autre topic qui n'a rien à voir, encolpio a écrit:

Xavier a écrit:

Foreign Correspondant?
Un des rares Hitchcock que je n'ai pas encore vus... (pas sorti en zone 2)

si il est sorti en Z2: Correspondant 17 dans le coffret Studio Canal Les premières oeuvres 1932-1940 vol.3...

Ah oui c'est juste; pour l'instant je n'ai qu'un de ces coffrets. (avec Blackmail et Murder)

Tu me diras si les 2 autres coffrets contiennent des indispensables...

Xavier a écrit:

encolpio a écrit:

Xavier a écrit:

Foreign Correspondant?
Un des rares Hitchcock que je n'ai pas encore vus... (pas sorti en zone 2)

si il est sorti en Z2: Correspondant 17 dans le coffret Studio Canal Les premières oeuvres 1932-1940 vol.3...

Ah oui c'est juste; pour l'instant je n'ai qu'un de ces coffrets. (avec Blackmail et Murder)

Tu me diras si les 2 autres coffrets contiennent des indispensables...

oui je ne las ai pas encore regardé, juste comparé le zone 1 et le zone 2 sur la première scène de Foreign correspondent et franchement le zone 1 Warner est nettement sup, et surtout, le généric est différent! superbe sur le zone 1 et fait de cartons classics sur le zone 2...

Braveheart.
Presque complètement nul.

Et bien on va rester dans les films de Mel Gibson (j'ai pourtant adoré Braveheart) puisque j'ai loué La Passion du Christ hier...

La critique qui sera sur mon site:

Dans l’ensemble ce film est une infâmie, un torchon blasphématoire, antijuif, tape-à-loeil et démagogique. La réalisation du traditionnaliste Mel Gibson, connu pour ses opinions radicales, est une extrapolation hollywoodienne, choquante et stérile de la Passion du Christ décrite par les apôtres. Le réalisateur multiplie les effets et les procédés artificiels pour forcer l’émotion : ralentis injustifiés, une solennité générale insupportable, violence gratuite, musique anachronique. Avec beaucoup de détails qui accentuent le ridicule de l’ensemble: plaisanterie sur la table haute, enfants qui se transforment en monstres grimaçants devant Judas, un Jésus Christ sanguinolent comme de la viande, lâché accidentellement dans le vide, par des soldats romains moqueurs. A cet égard, la fréquence du rire déssert le film : par ce procédé, Mel Gibson a cru pouvoir accentuer l’horreur du supplice mais n’a réussi qu’à accroître le ridicule d’une mise en scène déjà très démonstrative. John Debney en rajoute une couche. Sa composition ethnico-orchestrale est sublime (j’ai failli pleurer à deux reprises : le thème de « Mary Goes To Jesus » est miraculeux), mais ne fait que marteler ce que l’on comprend trop bien en voyant les blessures béantes de Jésus.

Alors bien entendu, il y a des choses à sauver : toutes ces séquences bibliques, heureusement silencieuses, où les protagonistes principaux de ce drame se confrontent: le diable, créature froide et blanchâtre qui apparaît pour tenter le Messie (on oubliera néanmoins la première scène dans le Mont des Oliviers, parasitée par le jeu excessif de Jim Cazaviel), le procès de Jésus ou le face à face de ce dernier avec Ponce Pilate. Le choix des langues de l’époque, le latin et l’araméen, imposées au spectateur, ajoute à la gravité et à l’émotion de ces scènes. Cette volonté de faire authentique jusque dans la langue de tournage est une idée audacieuse, une performance cinématographique et historique, mais qui ne justifie aucunement une mise en scène aussi boursouflée que celle de Mel Gibson, qui a préféré montrer une violence extrême pour asséner son propos plutôt que de réfléchir à l’essence du message biblique afin de rendre justice au sacrifice du fils de Dieu. Les flashbacks à cet égard sont trop courts : seule la Sainte Cène trouve un sens en transcendant la mise en croix de Jésus. La violence est telle que le martyre du Christ n’a plus rien de crédible : la mise en scène de Mel Gibson fait de Jésus un surhomme, capable d’endurer les pires souffrances, au delà de toute rationnalité, alors que le Bible insiste sur le fait que Jésus n’est qu’un homme : faire de lui un être exceptionnel d’un point de vue biologique est une erreur théologique grave, qui trahit le Nouveau Testament.

Forme boursouflée, musique omniprésente, acteurs qui peinent à donner vie au film en pleurant tout le temps à chaudes larmes, violence en totale inadéquation avec le message biblique : la Passion du Christ est un film dangereux, sectaire, qui utilise le manichéisme pour convaincre. J’ai du mal à me retenir de ne pas utiliser un adjectif plus radical pour qualifier ce brulôt honteux et agressif, œuvre d’un homme dont les convictions me semblent complètement étrangères à l’idéal chrétien. Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas de défendre l’Eglise catholique contre le détournement « scandaleux » des symboles qui la représentent : je suis le premier à souhaiter que soit démythifiée la Bible, à partir du moment où cette intention est clairement affichée (un film sur la sexualité de Jésus ne me choquerait donc pas). Mais il n’y a rien de plus inutile et de plus dangereux qu’une conception intégriste de la religion. Utiliser la violence pour justifier une religion d’Amour est un non-sens total, même pour démontrer combien était grand le sacrifice du prophète qui en est à l’origine.

La Passion du Christ est un film CNN, ce que le cinéma américain est capable de pire : symptomatique d’un état d’esprit revanchard, d’une esthétique exubérante et irrévérencieuse. Entre la guerre en Irak et la Passion du Christ, il n’y a qu’un pas : la prétention de détenir la vérité, l’usage de la brutalité pour imposer une croyance prétendument plus douce et plus humaine. A choisir, je préfère encore m’endormir devant « L’Evangile selon Saint Matthieu » de Pasolini plutôt que me laisser porter par la démagogie du film de Mel Gibson…

J'ai été voir au ciné Kiss Kiss Bang Bang, si la bande annonce avait l'air marrante, je vous déconseille fortement d'y aller, c'est simple, c'est nul.

Je suis allé voir "Bonbon el perro" avec une amie! Ce film est vraiment très bien! A voir!

Les frères Grimm: un très bon divertissant, bien foutu, sympa.

J'ai regardé L'Honneur des Prizzi samedi dernier. Interessant, mais c'est assez daté quand même.

Hier :

- Capitaine Sky et le monde de demain
- le dernier train de Gun Hill (Kirk Douglas)

La Dame de Shanghaï.
Assez déçu; je me suis pas mal ennuyé.

" La Balllade de Narayama " de Imamura.
J'ai tenu 20 minute.

Hier soir sur arte, Chat noir chat blanc de E. Kusturica. Génialement délirant. Il y a un côté Tim Burton dans l'humour parfois je trouve. Et un côté Monthy Pithon dans la côté loufoque. L'image est superbe (éclairages, photogaphies etc...) J'ai adoré.

Ah oui, j'adore ce Kusturica; délirant.

Vous me faites plaisir. Je connais beaucoup de gens qui sont rebutés par l'exubérance de Kusturica, pourtant il y a un registre très large de sentiments derrière l'aspect foutraque de ses films. Il y a toujours beaucoup de poésie, d'amour, d'acide mais jamais de cynisme. En plus, chacun des films de Kusturica possède son propre ton : Chat Noir Chat Blanc est la seule véritable farce du père Emir, celle par laquelle il a exorcisé l'humeur mélancolique dans laquelle l'avait plongé la polémique stupide sur Underground. Ensuite, il a pu accoucher de ce monument qu'on a peut-être pas encore jaugé à sa juste valeur : la Vie est un miracle.

ce week-end :

Les râleurs font leur beurre (De Funès)
Le chômeur de clochemerle (Fernandel)

Que du chef d'oeuve !

Hier soir sur France 2, petit film drôle et très agréable (surtout la fin aux décors de rêve). Le coeur des hommes. En fait, il est pas toujours pas si drôle que ça ...

ouannier a écrit:

Hier soir sur France 2, petit film drôle et très agréable (surtout la fin aux décors de rêve). Le coeur des hommes. En fait, il est pas toujours pas si drôle que ça ...

J'ai vraiment aimé, le groupe des 4 était divin

Xavier a écrit:

La Dame de Shanghaï.
Assez déçu; je me suis pas mal ennuyé.

La scène des miroirs du final est pourtant sublime et une pure création du génie de Welles, alors l'époux de Rita Hayworth

L'histoire est sans intérêt en effet et le film ne vaut que par ses plan séquences et travelings

La façon dont Welles a créé ce film est interressante.
Il se trouvait dans un hall de gare au téléphone avec un producteur de cinéma, histoire de réclamer de l'argent pour pouvoir terminer un film en cours. L'autre ne voulait rien savoir. Welles parvint à le convaincre en lui disant qu'il tenait par la suite un sujet en or... Et comment s'appelle-t-il votre sujet en or, Mr Welles?
A côté du téléphone, il y avait un bouquiniste. Welles s'est emparé du premier livre qui lui tombait sous la main. Ainsi est né la dame de Shanghaï

Vous savez si Pourquoi pas de Colinne Sereau qui passe ce soir sur la cinquième ça vaut le coup ? En général, j'aime beaucoup ce que fait Colinne Sereau.

leo a écrit:

Xavier a écrit:

La Dame de Shanghaï.
Assez déçu; je me suis pas mal ennuyé.

La scène des miroirs du final est pourtant sublime et une pure création du génie de Welles, alors l'époux de Rita Hayworth

L'histoire est sans intérêt en effet et le film ne vaut que par ses plan séquences et travelings

J'ai du mal à m'intéresser à un film pour sa seule mise en scène.
A la limite je crois que je préfère un bon scénario mis en scène moyennement.
Parce que si je décroche du film, les travellings j'en ai un peu rien à foutre du coup!

Hier soir : Rio Lobo, Howard Hawks, avec John Wayne... Assez tordant dans la mesure où toutes les minettes croisées dans le film sont des bombasses ! A croire qu'il n'y avait pas de grosse mexicaine dans le coin !

Stalker de Tarkovski, un chef d'oeuvre plein de poésie et de réflexion!!!

Edward aux mains d' argent ( Tim Burton )

que j' ai enchainé avec les Aristochats

& j'ai vraiment passé une super soirée !

je viens de re re re re re re re mater le grandiose Premutos de chez un-
cut movie : film ultra supra gore qui pisse le sang & les tripes .

Citation :

Stalker de Tarkovski, un chef d'oeuvre plein de poésie et de réflexion!!!

Alors ça c''est marrant! Je viens de mettre ce matin pour la première fois dans mon lecteur la BO qu'a faite Artemiev sur "Stalker"... et c'est vraiment pas mal!!!!

YuHirà a écrit:

Citation :

Stalker de Tarkovski, un chef d'oeuvre plein de poésie et de réflexion!!!

Alors ça c''est marrant! Je viens de mettre ce matin pour la première fois dans mon lecteur la BO qu'a faite Artemiev sur "Stalker"... et c'est vraiment pas mal!!!!

Les grands esprits se rencontrent (et puis la BO vient de Milan et mon PDG m'appelle souvent "Poulet" )

Assassins et voleurs (Sacha Guitry, 1957), avec Jean Poiret et Michel Serrault. Test DVD chez moi à : http://ahbon.free.fr/DVD_806.html.

Stanislas Lefort a écrit:

Assassins et voleurs (Sacha Guitry, 1957), avec Jean Poiret et Michel Serrault. Test DVD chez moi à : http://ahbon.free.fr/DVD_806.html.

Sacha Guitry, un maître de l'humour sournois, passablement oublié de nos jours. Regrettable

Sinon ce soir, j'ai décidé de regarder un classique dont je ne me lasse pas:

leo a écrit:

Sinon ce soir, j'ai décidé de regarder un classique dont je ne me lasse pas:

D'ailleurs, Cicéron, c'est Poincaré.

leo a écrit:

Sinon ce soir, j'ai décidé de regarder un classique dont je ne me lasse pas:

Moi non plus. Comment transformer une histoire d'espionnage en satire sociale, c'est tout l'art de Mankiewicz

Harry Potter III... Super déçu... J'ai du interrrompre le DVd pendant une heure pour dormir tellement c'était soporifique... Même la musique de Williams absolument incroyable en écoute isolée me paraît dans le film complètement inutile...
Je commence à me demander si la saga HP est vraiment digne d'intérêt en films alors qu'en livre elle est cent fois plus intéressante...

Dommage pour toi... moi, j'ai bien accroché.

Bon, sinon, hier soir... je me suis endormi grâce à la chute des feuilles, film du Georgien Otar Iosseliani. Je me suis endormi parce que j'étais crevé. Mais, le côté exaltant de l'affaire m'a aidé à rejoindre morphée plus rapidement.

Il me reste deux films à visionner du monsieur.

J'oubliais : je peux dire à présent que le Georgien, qu'il soit homme ou femme, porte fièrement la moustache !

Le coffret Lars von Trier, 28€ pour 4 films (7 DVDs).
Revu Breaking the waves, mélo et austère, un film assez fort quand même, découvert The Idiots, très dérangeant sous l'apparence d'une farce. Et je me suis forcé à revoir (je pense que ce sera la dernière fois) l'horripilant Dancer in the dark, hypermélo pour midinette attardée, mauvais en tant que comédie musicale (musique bof, que devient Bjork, elle est déjà démodée ? et danses plus mal réglées que dans une émission de télé), Deneuve passablement ridicule dans ce rôle destiné à une noire américaine, ambiance US complètement artificielle (le film est tourné en Suède), tentative ratée de copier la scène du parloir/cabine de Paris Texas, etc etc... Seules les dix dernières minutes sont à sauver, plaidoyer évident contre la peine de mort. Et aussi la façon dont von Trier arrive à tirer par courts moments assez magiques le maximum d'émotion de ses acteurs, mais c'est valable pour les trois films.
Il me reste à découvrir Dogville... J'hésite avec La Beuze ce soir

hier soir j' ai regardé Speederman sur tf1

& j' ai enchainé avec : Ilsa she wolf of the ss de Don Edmond

pdt la 2nde guerre mondiale , Ilsa dirige un camp où elle fait subir des
expériences médicales aux détenus.

Un nudies vraiment sextraordinaire

Dyanne Thorne ds le rôle principal.

perela a écrit:

hier soir j' ai regardé Speederman sur tf1

C'est quoi ça? Superman dans un bus lancé à toute vitesse?

comprends pô !

perela a écrit:

comprends pô !

Tu as fait une faute à Spiderman, donc je disais que "Speederman" pourrait être un mix entre Speed (film d'action où un bus est lancé à toute vitesse sans pouvoir s'arrêter) et Superman...

décidemment !

lo siento mucho !