Votre dernier film visionné

Spectre : mou du genou !
Autant j'ai revu Skyfall avec plaisir, là les 2h30 m'ont semblées interminables.
Manifestement tout le monde - scénariste, réalisateur, Craig - était là pour le fric ; quelques scènes d'action réussies et entre des transitions parfaitement plates.
Des moyens considérables pour un résultat insignifiant.
Coté girls Monica Bellucci fait une apparition fugitive, et Léa Seydoux revient à ce que - je le crains - elle a toujours été : une jolie poupée sans sex appeal ni réel talent de comédienne.
Reste la plus grosse explosion de tous les James Bond !

 Montfort

Pas un film, mais un livre sur le cinéma: CINÉMA, éditeur: Gründ. Série Le Spécialiste. format et présentation sont parfaits. Mais il y a des erreurs factuelles gênantes et une liste de s'100 milleurs films' qui ne vaut pas tripette. Un joli objet, mais qui aurait pu être utile en plus.

André a écrit:

Pas un film, mais un livre sur le cinéma: CINÉMA, éditeur: Gründ. Série Le Spécialiste. format et présentation sont parfaits. Mais il y a des erreurs factuelles gênantes et une liste de s'100 milleurs films' qui ne vaut pas tripette. Un joli objet, mais qui aurait pu être utile en plus.

Je recommande plus chaudement Le Cinéma d'horreur chez Taschen : le texte est tout à fait valable, et les photographies de toute beauté. Comme c'est le cas en général chez Taschen. Quand je me demande pourquoi j'aime tant le cinéma d'épouvante, je n'ai qu'à feuilleter le bouquin une minute pour m'en souvenir. Il sait faire ressortir toute la poésie des films, y compris parfois d'abominables navets comme La Nuit des vers géants.

Tiens a propos de navets je suis retomber sur cette bande annonce absolument mythique, du génie concentré : /watch?v=asxpChK3GC8

Malle : Ascenseur pour l'échafaud


J'ai rarement vu une chose pareille Ce film est sûrement ce que j'ai vu de meilleur dans le cinéma français ... à égalité avec Les Enfants du paradis et La Maman et la Putain. Esthétiquement c'est une énorme baffe ... le scénario est extrêmement bien foutu (c'est peu de le dire), l'idée du jazz pour BO n'allait pas de soi ... mais en fait c'est génialement intégré de façon à ce qu'on ne puisse pas imaginer autre chose ... Moreau meilleure que jamais ... et on se paye même le luxe de Ventura dans un petit rôle.

Mais si, le jazz, à peu près systématiquement associé aux films policiers français de l'époque, et surtout Miles Davis, ça allait de soi, particulièrement dans la séquence de l'errance nocturne de Florence/Jeanne Moreau, la plus belle du film : /watch?v=XQ4l4oRkh_8

Alifie a écrit:

Mais si, le jazz, à peu près systématiquement associé aux films policiers français de l'époque, et surtout Miles Davis, ça allait de soi, particulièrement dans la séquence de l'errance nocturne de Florence/Jeanne Moreau, la plus belle du film : /watch?v=XQ4l4oRkh_8

Peut être, mais je n'ai pas la culture ciné pour le savoir en fait. Mais si tu le dis ^^. Moi je croyais que ce choix était original ^^. Mais ça n'enlève rien pour moi au génie de ce film.

Cololi a écrit:

Moi je croyais que ce choix était original ^^

C'était original en 1957  dans le sens où c’était me semble t-il la première incursion du jazz en France dans une musique de film, (Alifie où nethou me contrediront si nécessaire), mais très vite la mode s’est répandue avec en 59 « Des femmes disparaissent » (Art Blakey), et « Un témoin dans la ville » (Barney Wilen – Kenny Dorham – Kenny Clarke…) de Molinaro , « J’irai cracher sur vos tombes » de Michel Gast et en 60 « Les loups dans la bergerie » de Bromberger (Alain Goraguer et des jazzmen français (Guérin – Michelot…) pour les deux), en 59 « Les liaisons dangereuses » de Vadim (Duke Jordan – Art Blakey – Barney Wilen), en 58 « Les tricheurs » de Carné (Coleman Hawkins – Oscar Peterson), en 60 « L’eau à la bouche » de Doniol-Valcroze (Goraguer), et j’en oublie sûrement quelques-uns.

Quant à Miles Davis, il faudra attendre, sauf oubli de ma part, les 70’ pour une musique illustrant un documentaire sur le boxeur Jack Johnson, puis les 80’ avec « The hot spot », de Dennis Hopper, musique de Jack Nitzche où Miles Davis collabore avec le bluesman John Lee Hooker, « Siesta » de Mary Lambert, film jamais sorti en France, (musique de Marcus Miller avec Miles Davis), enfin en 91 il participe comme acteur au film « Dingo » de Rolf De Heer, musique composée et interprétée en partie par Miles Davis et Michel Legrand.

Interstellar : plastiquement beau, très belle distribution, et film - pour moi - totalement opaque...
C'est très long, et je n'ai pas tenu jusqu'au bout - j'ai arrêté au moment de la bagarre entre Cooper et Mann.
Le réalisateur et le scénariste se sont inspirés des travaux d'un astro- physicien : le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils n'ont pas su - ou voulu ? - rendre ces réflexions accessibles au spectateur.
Une tentative pour "expliquer " le film : ce serait juste une histoire de relations filiales...

http://www.programme-tv.net/news/cinema/75346-interstellar-canal-vous-n-avez-pas-compris-la-fin-on-vous-explique/

  Montfort

En fait c'est plutôt la fin qui pose problème d'un point de vue scientifique, cette histoire de la 4ème dimension intégrée dans les 3 autres, tout ça, c'est complètement tiré par les cheveux... mais c'est joli quand même, plein de bons sentiments.

darkmagus a écrit:

Cololi a écrit:

Moi je croyais que ce choix était original ^^

C'était original en 1957  dans le sens où c’était me semble t-il la première incursion du jazz en France dans une musique de film, (Alifie où nethou me contrediront si nécessaire), mais très vite la mode s’est répandue avec en 59 « Des femmes disparaissent » (Art Blakey), et « Un témoin dans la ville » (Barney Wilen – Kenny Dorham – Kenny Clarke…) de Molinaro , « J’irai cracher sur vos tombes » de Michel Gast et en 60 « Les loups dans la bergerie » de Bromberger (Alain Goraguer et des jazzmen français (Guérin – Michelot…) pour les deux), en 59 « Les liaisons dangereuses » de Vadim (Duke Jordan – Art Blakey – Barney Wilen), en 58 « Les tricheurs » de Carné (Coleman Hawkins – Oscar Peterson), en 60 « L’eau à la bouche » de Doniol-Valcroze (Goraguer), et j’en oublie sûrement quelques-uns.

Ca n'allait donc pas de soi en 57, au temps pour moi : je pensais à plusieurs des films que tu cites, darkmagus, merci d'avoir rétabli la chronologie.

Jof a écrit:

En fait c'est plutôt la fin qui pose problème d'un point de vue scientifique, cette histoire de la 4ème dimension intégrée dans les 3 autres, tout ça, c'est complètement tiré par les cheveux... mais c'est joli quand même, plein de bons sentiments.

 Ma culture personnelle ne me permet pas de porter un jugement étayé sur les thèses scientifiques du film.
 Alors oui, il y avait aussi cette avalanche de bons sentiments, mais exprimés dans la pire tradition d'un certain cinéma U S : très, très lacrymal.
 Après il y avait "de belles images", les glaciers islandais par exemple : un peu limité pour soutenir l’intérêt d'un tel film....

  Montfort

Derniers films achetés, dont un jamais vu, le tout en Blu-Ray :

- De vieux amis, de la famille même: la Trilogie d'Apu de Satyajit Ray. C'est perso mon # 1 dans mon top 100.



- Également dans le top 100, et possiblement le top 10: Sunrise de Murnau, son premier film hollywoodien, et le premier Oscar du meilleur film.




- Jamais vu mais qu'est-ce-que-j'ai-hâte   :  Onibaba de Kaneto Shindo

Lang : Casier judiciaire

Un Lang franchement moyen

Quel est le titre original ?

You and Me.

Tu as de la chance d'être en zone B ... tu as des tonnes des choses en HD. Nous ... on a 5 ans de retard ...

André a écrit:

- Jamais vu mais qu'est-ce-que-j'ai-hâte   :  Onibaba de Kaneto Shindo

C'est un film que j'avais trouvé extrêmement dérangeant (mais vraiment très bon!)

Quand je vois la zone américaine ...
La Trilogie d'Apu de Satyajit Ray par ex, c'est seulement en DVD chez nous ... et totalement indispo en magasin. En zone américaine, c'est en BR ... et dispo !
Des exemples comme ça, il y en a des milliers.

Cololi a écrit:

Quand je vois la zone américaine ...
La Trilogie d'Apu de Satyajit Ray par ex, c'est seulement en DVD chez nous ... et totalement indispo en magasin. En zone américaine, c'est en BR ... et dispo !

Mais Bordeaux est une ville du tiers monde a te croire?
(a Montpellier ils sont a la Fnac )

Il va falloir te décider a émigrer aux États Unis

Parsifal a écrit:

Cololi a écrit:

Quand je vois la zone américaine ...
La Trilogie d'Apu de Satyajit Ray par ex, c'est seulement en DVD chez nous ... et totalement indispo en magasin. En zone américaine, c'est en BR ... et dispo !

Mais Bordeaux est une ville du tiers monde a te croire?
(a Montpellier ils sont a la Fnac  )

Il va falloir te décider a émigrer aux États Unis

Au lieu de dire des bêtises, dis plutôt du bien d'Ascenseur pour l'échafaud ! (et tu seras pardonné !)

Ascenseur pour l'échafaud c'est très bien!
c'est exactement ce que tu déteste dans le cinéma américain mais c'est très bien

Parsifal a écrit:

Ascenseur pour l'échafaud c'est très bien!
c'est exactement ce que tu déteste dans le cinéma américain mais c'est très bien

Je savais bien que ça serait pour me balancer une vacherie

Mais je t'arrête de suite : je n'ai jamais vu de "film noir" de ma vie ... c'est le 1°. Je n'ai pas vu 1 film américain qui soit de ce genre là (même si ce sont certainement les inventeurs du genre ?). J'ai même dit il y a qq temps que peut être les films noirs pourraient me réconcilier en partie avec Hollywood période classique.
Mais bon ... je suis incompris en ces lieux

Il me semble que tu en as vu de Fritz Lang non?

Parsifal a écrit:

Il me semble que tu en as vu de Fritz Lang non?

Non pas encore (sauf à considérer "J'ai le droit de vivre" comme film noir ... ou "M le Maudit" ...).

Bon une petite liste à la volée…

The killer, de Siodmak
Criss-cross de Siodmak
Phantom Lady du même. (rien que pour la scène de jazz, le film vaut le détour)

La cité sans voile de Jules Dassin (pas tout à fait un film noir mais un chef d'œuvre).
Les forbans de la nuit de Jules Dassin
Du rififi chez les hommes du même (c'est français pour le coup, et un des meilleurs (rares bons ?) films noirs français (avec certains Melville, comme le Samourai).

En quatrième vitesse de Aldrich.

Out of the past de Jacques Tourneur.

Laura de Preminger.

Party Girl de Nicholas Ray

Gun Crazy de Lewis (pas vu mais des extraits que j'ai pu voir, le film a l'air de valoir le détour. Et, pour le coup, c'est en blu-ray).

(J'en oublie. Forcément…)

Et en film de Gangsters :

L'ennemi public de Wellman

Scarface de Hawks

White heat de Walsh (chef-d'œuvre !!).

D'accord avec Les Tueurs de Siodmark, vraiment un des plus beaux ! Et ça existe en BR pour Cololi.

Parsifal a écrit:

André a écrit:

- Jamais vu mais qu'est-ce-que-j'ai-hâte   :  Onibaba de Kaneto Shindo

C'est un film que j'avais trouvé extrêmement dérangeant (mais vraiment très bon!)

Le film qui m'a le plus dérangé c'est L'Empire des sens de Oshima (1976). Apparemment Salo de Pasolini a le même pouvoir d'électrochoc.

Je valide cette liste d'excellents films noirs

J'ajouterai du Hawks : Le grand sommeil, Le port de l'angoisse (pas strictement noir, mais mon chouchou).
John Huston : Quand la ville dort, Le faucon maltais.
Mankiewicz : L'Affaire Cicéron.
Wilder : Assurance sur la mort, Boulevard du crépuscule.
Robert Wise : Nous avons gagné ce soir, Marqué par la haine (films sur le thème de la boxe), Le coup de l'escalier.
Et les Welles comme La soif du mal ou La Dame de Shanghai.

Et plein d'autres oui.

Après on pourrait rajouter tous les westerns qui lorgnent sur ce genre

Roquefort a écrit:

Mankiewicz : L'Affaire Cicéron.

+1 (alors que beaucoup m'ont endormi, notamment le Faucon maltais ou le Grand sommeil, mais Mankiewicz, c'est toujours quelque chose)

Dans un topic sur le cinéma ce ne serait pas une mauvaise idée d'inclure les titres originaux pour les films américains; pour nouzôtres québécois le lien est très difficile à faire. Premièrement le titre d'un film étranger (non-français ou non-québécois) est souvent traduit différemment lorsqu'il y a eu sortie commerciale. C'est pas une blague, c'est la réalité.

Deuxièmement, lors de la sortie en zone B (Amérique du nord), seul le titre original américain paraît sur le boîtier. Alors là, pour trouver ce qui correspond à 'Marqué par la haine', faut se chercher sérieux: le titre original est "Somebody Up There Likes Me". Littéralement : "Quelqu'un là-haut m'aime bien". Pour "Le Port de l'angoisse"le titre original est "To Have and Have Not" (jeu de mots sur To Be or Not to Be). Traduction: "Avoir ou ne pas avoir" . Va t'en savoir...

Merci d'avance à ceux et celles qui se donneront la peine et, du même coup, enrichiront leur savoir !  

Amateur d'Animation, je monte une petite filmothèque...
Dernière acquisition :

Quel regret !
C'est con, long et bêtasson !
De l'impolitiquement incorrect parce que proposé comme tel.
En fait un ignominieux panégyrique de l'égoïsme.
La Bande Son est à la limite du supportable et les incrustations d'images hâtivement réalisées.
...Et c'est long !
A part quelques moments de bravoure, il ne se passe rien !
La Bande annonce suffit.

André a écrit:

Dans un topic sur le cinéma ce ne serait pas une mauvaise idée d'inclure les titres originaux pour les films américains; pour nouzôtres québécois le lien est très difficile à faire. Premièrement le titre d'un film étranger (non-français ou non-québécois) est souvent traduit différemment lorsqu'il y a eu sortie commerciale. C'est pas une blague, c'est la réalité.

Deuxièmement, lors de la sortie en zone B (Amérique du nord), seul le titre original américain paraît sur le boîtier. Alors là, pour trouver ce qui correspond à 'Marqué par la haine', faut se chercher sérieux: le titre original est "Somebody Up There Likes Me". Littéralement : "Quelqu'un là-haut m'aime bien". Pour "Le Port de l'angoisse"le titre original est "To Have and Have Not" (jeu de mots sur To Be or Not to Be). Traduction:  "Avoir ou ne pas avoir" . Va t'en savoir...  

Merci d'avance à ceux et celles qui se donneront la peine et, du même coup, enrichiront leur savoir !  

Les cinéphiles intransigeants, comme RandallBoggs, qui faisait un malheur au jeu des films à coucher dehors, n'usent eux que des titres originaux, quelle que soit l'origine du film, ouzbèke, serbo-croate ou coréenne.

Pour le cinéma américain, ceux qui ont été nourris au Coursodon-Tavernier, dont tout possesseur a usé jusqu'à la corde l'index où sont traduits les titres originaux, qu'on trouve seuls dans le reste de l'ouvrage, devraient pouvoir suivre... et sinon, il y a wikipédia.

tod a écrit:

Amateur d'Animation, je monte une petite filmothèque...
Dernière acquisition :

Quel regret !
C'est con, long et bêtasson !
De l'impolitiquement incorrect parce que proposé comme tel.
En fait un ignominieux panégyrique de l'égoïsme.
La Bande Son est à la limite du supportable et les incrustations d'images hâtivement réalisées.
...Et c'est long !
A part quelques moments de bravoure, il ne se passe rien !
La Bande annonce suffit.

Ne voyant pas l'image, j'imagine que c'est Minuscule?
Personnellement, j'ai trouvé ça très chouette : un peu naïf mais pas niais, une façon de raconter et montrer l'histoire assez original... j'avais passé un très bon moment au cinéma.

Alifie a écrit:

Mais si, le jazz, à peu près systématiquement associé aux films policiers français de l'époque, et surtout Miles Davis, ça allait de soi, particulièrement dans la séquence de l'errance nocturne de Florence/Jeanne Moreau, la plus belle du film : /watch?v=XQ4l4oRkh_8

Je ne généraliserai pas à partir d'"Ascenseur pour l'échafaud": c'est plutôt un cas unique, avec une adéquation parfaite entre l'improvisation de Miles Davis et le film lui-même; et notamment celle du jazz modal (qui annonce "Kind of Blue") avec la mise en place d'une "ambiance" générale spécifique au cinéma. Rien que ceci prouverait le caractère universel du jazz, parce que le lien entre la sensibilité d'un Miles Davis, noir américain pur jus, et l'errance dans la nuit du Paris des années 50 n'est pas a priori évident.
Sinon il y a aussi un très chouette film du même Louis Malle "Le souffle au coeur", au sujet plutôt engagé pour l'époque (et même la nôtre, d'ailleurs !), où le jazz joue également un grand rôle, avec la très belle Léa Massari.

néthou a écrit:

Alifie a écrit:

Mais si, le jazz, à peu près systématiquement associé aux films policiers français de l'époque, et surtout Miles Davis, ça allait de soi, particulièrement dans la séquence de l'errance nocturne de Florence/Jeanne Moreau, la plus belle du film : /watch?v=XQ4l4oRkh_8

Je ne généraliserai pas à partir d'"Ascenseur pour l'échafaud": c'est plutôt un cas unique, avec une adéquation parfaite entre l'improvisation de Miles Davis et le film lui-même; et notamment celle du jazz modal (qui annonce "Kind of Blue") avec la mise en place d'une "ambiance" générale spécifique au cinéma. Rien que ceci prouverait le caractère universel du jazz, parce que le lien entre la sensibilité d'un Miles Davis, noir américain pur jus, et l'errance dans la nuit du Paris des années 50 n'est pas a priori évident.
Sinon il y a aussi un très chouette film du même Louis Malle "Le souffle au coeur", au sujet plutôt engagé pour l'époque (et même la nôtre, d'ailleurs !), où le jazz joue également un grand rôle, avec la très belle Léa Massari.

Pour "Le souffle au coeur" c'est prévu ... car il est sorti en BR il y a peu ... comme d'autres Louis Malle (Au revoir les enfants, Le feu follet, Milou en mai, Lacombe Lucien ...)

Cololi, à ne pas louper ce soir (ou en rediff) sur Arte, le formidable Espions sur la Tamise/Ministry of Fear de Lang !

c’est en bluray ?

C'est en v.o., c'est déjà ça.

un film américain en VO ?


pardon, je rentre chez moi.

en plus, ça se passe en Angleterre, comme l'indique le titre ! (et on pense souvent à Hitchcock, mais il ne faut pas trop le dire à Cololi).

Alifie a écrit:

Cololi, à ne pas louper ce soir (ou en rediff) sur Arte, le formidable Espions sur la Tamise/Ministry of Fear de Lang !

Ah ? Je n'avais vu au programme que M le Maudit. Pas sûr que ça passe en replay ... c'est fini le bon temps.

lucien a écrit:

c’est en bluray ?

J'en profite pour expliquer un peu, devant l'incompréhension :

Mon raisonnement est assez logique en réalité : je veux me constituer une vidéothèque ... Pourquoi acheter des DVD alors que ceux-ci sont dépassés ? Pour devoir les racheter en BR plus tard ? Je ne vois pas l'intérêt. Et comme je n'ai même pas les moyens de m'acheter toutes les sorties BR patrimoines (qui ne sont pourtant pas très nombreuses) où je me dis que ça peut me plaire ... je n'achète pratiquement que des BR. J'achète qq DVD, quand j'ai l'intuition que jamais ça ne sera édité en BR ... ou dans des lustres.
Et de plus, encore une fois, même sur une télé de 1m, la différence est flagrante. Il suffit d'essayer pour ne pas vouloir revenir en arrière. Seulement il y a des forces réactionnaires/snob qui tuent ce support. Dommage.

Souvenirs d'Afrique (Out of Africa)
D'après le roman La Ferme africaine de Karen Blixen avec Meryl Streep et Robert Redford.
Revu ce film parce que j'avais en tête la musique de Mozart qui joue dans la savane grâce au petit électrophone que Redford emporte partout avec lui. On entend entre autres:
* le Divertimento K.136
* le Concerto pour clarinette K.622

Bergman : Le Silence

Bof.

Melville : Le Deuxième Souffle

Pas mal, mais pas le meilleur Melville, et d'assez loin. Encore plus ascétique que Le Samouraï.

Pour ceux que ça intéresse :
Un Hitchcock sur Arte en 1° partie ... et Stromboli de Rosselini en 3° partie (et oui ... forcément) sur F2.

Siegel : Les Proies

Tornatore : Cinema Paradiso

Cololi a écrit:

Pour ceux que ça intéresse :
Un Hitchcock sur Arte en 1° partie ... et Stromboli de Rosselini en 3° partie (et oui ... forcément) sur F2.

tu as pu regardé Stromboli?

Parsifal a écrit:

Cololi a écrit:

Pour ceux que ça intéresse :
Un Hitchcock sur Arte en 1° partie ... et Stromboli de Rosselini en 3° partie (et oui ... forcément) sur F2.

tu as pu regardé Stromboli?

Non. Je ne regarde pas en pleine semaine ... et hélas il n'était pas en replay.

Arf oui France 2 ils doivent pas mettre les films en replay

Parsifal a écrit:

Arf oui France 2 ils doivent pas mettre les films en replay

C'est pas très grave : c'est un classique, je le verrai forcément un jour, peut être à l'occasion d'un restauration HD.

Oh oui tu auras largement l'occasion de le voir celui là, c'est un de mes préférés de Rossellini