Votre dernier film visionné

-Extraterrestrial



-1984



-Impitoyable

Ingmar BERGMAN
Cris et chuchotements / 1973

Verneuil : Le Casse



Argento : L'Oiseau au plumage de cristal

J'aime bien cet Argento.

Je l'ai trouvé assez moyen (et le Verneuil aussi). Je préfère Les Frissons de l'Angoisse.

Cololi a écrit:

Je l'ai trouvé assez moyen (et le Verneuil aussi). Je préfère Les Frissons de l'Angoisse.

Ah, je trouve que le suspense est assez bien construit; la première scène dans la vitrine est vraiment réussie et nous met aussitôt dans l'ambiance.

Après "l'oiseau", tu peux essayer "le chat"...à neuf queues.

Série B+ westernienne (sans Randolph Scott)

Alan DWANN
Silver Lode / 1954
(Quatre étranges cavaliers)



Et dans l'histoire, ce n'est pas par hasard que l'un des personnages s'appelle McCarthy !

Rubato a écrit:

Série B+ westernienne (sans Randolph Scott)
Alan DWANN
Silver Lode / 1954
(Quatre étranges cavaliers)
Et dans l'histoire, ce n'est pas par hasard que l'un des personnages s'appelle McCarthy !

Ah oui, excellent - et en effet, un vrai western politique! Le meilleur de Dwan avec Tennessee's Partner, aussi avec John Payne et Ronald Reagan (qui à l'époque dénonçait les rouges pour McCarthy, justement.)

Sinon, Profondo rosso d'Argento - je ne sais pas trop quoi en penser - et Cadaveri eccellenti de Rosi - beaucoup aimé, mais très différent des films-enquêtes de Rosi. J'essaierai d'en faire des comptes-rendus plus circonstanciés demain.

Benedictus a écrit:

Rubato a écrit:

Série B+ westernienne (sans Randolph Scott)
Alan DWANN
Silver Lode / 1954
(Quatre étranges cavaliers)
Et dans l'histoire, ce n'est pas par hasard que l'un des personnages s'appelle McCarthy !

Ah oui, excellent - et en effet, un vrai western politique! Le meilleur de Dwan avec Tennessee's Partner, aussi avec John Payne et Ronald Reagan (qui à l'époque dénonçait les rouges pour McCarthy, justement.)

Je ne le connais pas celui-là; c'est à dire qu'avec le titre français Le mariage est pour demain...

Ward Bond, que l'on voit dans de nombreux westerns n'était pas très clair de ce côté là non plus...dénonciations...

Roger Vadim : Et Dieu... créa la femme        1956


J'ai assez aimé même si la photographie est assez terne et les acteurs loin d'être toujours très justes. Les gens qui sont en mode "Heureusement qu'il y a Brigitte Bardot (juxtaposez ici un qualificatif élogieux vis-à-vis de sa silhouette) parce que le film est vraiment nul" franchement... 
Le film est loin d'être un chef d'oeuvre, c'est sûr mais il dit quelque chose, tout de même.

Rubato a écrit:

Ward Bond, que l'on voit dans de nombreux westerns n'était pas très clair de ce côté là non plus...dénonciations...

Oui, d'ailleurs, c'est très prégnant comme sous-texte dans Johnny Guitar.

Emeryck a écrit:

Les gens qui sont en mode "Heureusement qu'il y a Brigitte Bardot (juxtaposez ici un qualificatif élogieux vis-à-vis de sa silhouette) parce que le film est vraiment nul" franchement... 
Le film est loin d'être un chef d'oeuvre, c'est sûr mais il dit quelque chose, tout de même.

Oui, ce film m'a toujours fait penser à une sorte d'équivalent français de ces mélos noirs de série B que le cinéma américain produisait dans les années 50 (et de ma part, c'est un rapprochement qui a vraiment valeur de compliment!)

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

Les gens qui sont en mode "Heureusement qu'il y a Brigitte Bardot (juxtaposez ici un qualificatif élogieux vis-à-vis de sa silhouette) parce que le film est vraiment nul" franchement... 
Le film est loin d'être un chef d'oeuvre, c'est sûr mais il dit quelque chose, tout de même.

Oui, ce film m'a toujours fait penser à une sorte d'équivalent français de ces mélos noirs de série B que le cinéma américain produisait dans les années 50 (et de ma part, c'est un rapprochement qui a vraiment valeur de compliment!)

C'est possible, je ne connais pas assez bien le genre dont tu parles. 

Kar-waï Wong : As tears go by        1988

Louis MALLE
Ascenseur pour l'échafaud / 1958

Krzysztof Kieślowski : La Cicatrice        1976

 +
Oeuvre de transition entre la période documentaire et la période fictionnelle de Kieślowski et ça se sent : l'aspect fictionnel n'est pas encore si développé alors que l'aspect documentaire l'est assez ; l'intrigue est un peu décevante. Je crois que c'est le Kieślowski que j'ai le moins aimé même si ça reste bien.

Valerio Zurlini : Estate Violenta        1959


J'ai bien aimé : je ne connaissais pas du tout ce réalisateur ni cette actrice - qui est très bien. Tous les réalisateurs italiens s'arrachent Trintignant pour lui faire jouer des rôles d'étudiant un peu timide, ou quoi ? 
Sinon, la fin est peut-être un peu trop mélodramatique comparée au reste du film.

Emeryck a écrit:

Rubato a écrit:

Louis MALLE
Ascenseur pour l'échafaud / 1958

Quel film et cette bande-son de Miles...

arnaud bellemontagne a écrit:

Emeryck a écrit:

Rubato a écrit:

Louis MALLE
Ascenseur pour l'échafaud / 1958

Quel film et cette bande-son de Miles...

Série B westernienne.

Sam WOOD
Ambush / 1949

Quatorze Juillet (1933) René Clair

Un très joli film.

Oui, ça doit être un beau document cinématographique.
Je connais René Clair à travers son film Entr'acte (1924).

Semaine Hitchcock:

-Rebecca
-Rear window
-Suspicion

Xavier a écrit:

Semaine Hitchcock:

-Rebecca
-Rear window
-Suspicion

De ces trois films, c'est Suspicion que j'aime le moins...mais il faudrait que je le revoie car le souvenir que j'en ai est assez lointain.

Dommage d'ailleurs que Hitchcock

Spoiler:

Suspicion,

ce serait encore mieux

Oui ils en parlent dans les bonus, mais je ne suis pas d'accord, je trouve que c'est parfait comme ça.

Ah, quand même,

Spoiler:

ça aurait eu de l'allure !

Cette première fin n'existe plus ? Elle n'avait pas été projetée lors de l'avant-première ?

Mais sinon, la surprise / le décalage de la version définitivent marchent très bien – on est juste frustré d'un véritable dénouement, comme toujours avec Hitchcock : très abrupt, sans voir les conséquences de ce qui s'est fini.

Non ça n'a pas été tourné je crois.

Sinon effectivement c'est abrupt mais très efficace, et pour moi c'est vraiment la fin logique, sinon le reste du film perd de sa saveur je trouve.
Et puis il y a quand même un fond de légèreté dès le début du film qui rendrait tout ça très bizarre. Sans parler de la musique de Waxman qui certes est par moments relativement subtile, mais ne s'accorderait pas avec un tel final à mon avis.
Pour la fin inverse il aurait fallu remonter tout le film et faire jouer les acteurs différemment.

Brad Bird, Les Indestructibles 2 (2018)
         Le premier volet est un de mes films d'animation préférés ; j'étais même amoureux d'Elasticgirl quand j'étais plus jeune. C'est donc avec un grand plaisir qu'on retrouve la famille Paar dans une nouvelle aventure, mais, si le cahier des charges est totalement rempli, je n'ai pas été grandement emballé (mais c'est souvent le cas avec l'animation jeune grand public maintenant), car toutes les ficelles idéologiques sont très clairement visibles (tous les papas et les mamans sont des super-héros, maman qui s'occupe des enfants est une super-héroïne, maman qui va travailler, pendant que papa fait le super-héros en s'occupant des enfants, etc., etc.). Dans le genre, c'est cependant très bon.



Quentin Dupieux, Au poste ! (2018)
         Bof. Ou alors je suis passé à côté de quelque chose. Il y a beaucoup de choses amusantes, mais d'autres bien lourdes qui tombent à plat, sans parler de la pirouette finale qui se veut farfelue mais qui est d'un convenu et d'une facilité totaux... Reste le plaisir de voir le décor des bureaux du Siège du Parti communiste de Niemeyer.
         Le film s'ouvre sur le plan d'un chef d'orchestre en slip de bain rouge qui dirige un orchestre en pleine nature (les instrumentistes sont eux en smoking), ça fait partie des quelques jolies choses du film.



Benedikt Erlingsson : Women at war (2018)
         J'ai adoré ! [Résumé trouvé sur internet, je ne suis pas doué pour ça : Halla, la cinquantaine, déclare la guerre à l’industrie locale de l’aluminium, qui défigure son pays. Elle prend tous les risques pour protéger les Hautes Terres d’Islande… Mais la situation pourrait changer avec l’arrivée inattendue d’une petite orpheline dans sa vie…] J'ajoute que Halla est professeure de chant et anime une chorale (vous remarquerez sur l'affiche la clef de sol en fil électrique). La mise en scène et la photo sont vraiment d'une qualité immense, c'est amusant, l'actrice qui joue le rôle principal et sa soeur jumelle et les autres acteurs sont excellents, et les paysages somptueusement mis en valeur donnent envie d'aller en Islande. Peut-être pourrait-on reprocher au film un discours parfois un peu simpliste sur la sauvegarde environnementale, mais comme ce discours sort le plus souvent des écrans de télé, pourquoi pas...
         Toute la musique du film est jouée en direct par un groupe de trois instrumentistes (un pianiste/accordéoniste, un tubiste et un percussionniste) et de trois choristes (qui chantent des mélodies ukrainiennes), qui accompagnent l'héroïne partout, ils sont parfois intégrés au décor, parfois se tiennent à l'écart ; c'est très bien fait et très drôle, ça fragilise l'illusion de réel : je n'avais jamais vu ça tenu sur la longueur, c'est une des grandes originalités du film !

Adalbéron a écrit:

Quentin Dupieux, Au poste ! (2018)
         Bof. Ou alors je suis passé à côté de quelque chose. Il y a beaucoup de choses amusantes, mais d'autres bien lourdes qui tombent à plat, sans parler de la pirouette finale qui se veut farfelue mais qui est d'un convenu et d'une facilité totaux... Reste le plaisir de voir le décor des bureaux du Siège du Parti communiste de Niemeyer.
         Le film s'ouvre sur le plan d'un chef d'orchestre en slip de bain rouge qui dirige un orchestre en pleine nature (les instrumentistes sont eux en smoking), ça fait partie des quelques jolies choses du film.

Vu aussi il y a quelques jours, j'ai beaucoup aimé, même si ce n'est pas le meilleur Dupieux, au fond c'est son film le plus normal. (et le seul avec un acteur "bankable")
Il faut absolument voir Wrong cops.

Xavier a écrit:

Adalbéron a écrit:

Quentin Dupieux, Au poste ! (2018)
         Bof. Ou alors je suis passé à côté de quelque chose. Il y a beaucoup de choses amusantes, mais d'autres bien lourdes qui tombent à plat, sans parler de la pirouette finale qui se veut farfelue mais qui est d'un convenu et d'une facilité totaux... Reste le plaisir de voir le décor des bureaux du Siège du Parti communiste de Niemeyer.
         Le film s'ouvre sur le plan d'un chef d'orchestre en slip de bain rouge qui dirige un orchestre en pleine nature (les instrumentistes sont eux en smoking), ça fait partie des quelques jolies choses du film.

Vu aussi il y a quelques jours, j'ai beaucoup aimé, même si ce n'est pas le meilleur Dupieux, au fond c'est son film le plus normal. (et le seul avec un acteur "bankable")
Il faut absolument voir Wrong cops.

D'accord ! C'est le premier film de Quentin Dupieux que je voyais. Si j'en ai l'occasion, j'essayerai d'en voir d'autres !

Xavier a écrit:

Non ça n'a pas été tourné je crois.

J'ai le souvenir distinct que la fin avait été changée pour des raisons d'accueil du public, qui ne pouvait pas

Spoiler:

.

Mais je suis d'accord avec toi, la seconde fin est celle qui correspond le mieux à la logique de l'intrigue (et même des éléments du film), tous les ressentis de Fontaine sont présentés avec une certaine distance, on voit mal comment faire autrement que

Spoiler:

.

Cependant cela en fait aussi une fin attendue, donc moins originale.

DavidLeMarrec a écrit:

Ah, quand même,

Spoiler:

ça aurait eu de l'allure !

Cette première fin n'existe plus ?  Elle n'avait pas été projetée lors de l'avant-première ?

Mais sinon, la surprise / le décalage de la version définitivent marchent très bien – on est juste frustré d'un véritable dénouement, comme toujours avec Hitchcock : très abrupt, sans voir les conséquences de ce qui s'est fini.

Ce film (Suspicion) m'a toujours laissé sur un sentiment de frustration. Mais il faudrait que je le revoie.

Ingmar BERGMAN
Les fraises sauvages / 1957

Argento: Le chat à neuf queues



Bergman: Toutes ses femmes

Rubato a écrit:

Ingmar BERGMAN
Les fraises sauvages / 1957

Cette séquence aux horloges sans aiguilles, et la séquence du procès. 

Xavier a écrit:

Argento: Le chat à neuf queues



Bergman: Toutes ses femmes

C'est programmé !  

Emeryck a écrit:

Rubato a écrit:

Ingmar BERGMAN
Les fraises sauvages / 1957

Cette séquence aux horloges sans aiguilles, et la séquence du procès. 

Ah oui ! Superbe !

Ming-liang Tsai : Et là bas, quelle heure est-il ?        2001

 +
Un film quasiment exempt de dialogues, très beau.

Philippe Garrel : Le bleu des origines        1979
 +
J'ai beaucoup de difficultés à noter ce film car je l'ai vu dans une très mauvaise qualité - en VHS et capturé par quelqu'un avec une caméra.

Série B+ westernienne.

Budd Boetticher
Comanche Station / 1959



Excellent Boetticher.  De nombreux points communs avec Ride lonesome.

...et une fin tout à fait poignante; ça fonctionne à chaque fois.

Alain Robbe-Grillet : L'Eden et après        1970


Robbe-Grillet prend vraiment un tournant après Trans-Europ-Express, et on s'engouffre dans son univers. Alors que ses trois films précédents comportent des idées intéressantes mais assez peu substantielles ou trop peu nombreuses (à part L'immortelle qui est vraiment mauvais), ce film développe des plans-pensée, des images mentales assez fortes aux transitions originales (tableau accroché dans la chambre), les jeux de miroirs - et donc la dualité - sont assez intéressantes, ici.
On retrouve les choses classiques du Robbe-Grillet romanesque : la captivité, les univers clos, les fantasmes, les courses qui mènent nulle part. Il y a beaucoup de références ici (quasiment absentes dans ses trois premiers films) : Godard a certainement influencé Robbe-Grillet pour les couleurs criardes (La Chinoise, Week-End) et les déambulations me font penser aux italiens (errances de Moreau dans La Notte ou les errances d'Accatone ou Ettore).
En tout cas, j'ai été (entièrement) convaincu par un film de Robbe-Grillet et c'est la première fois que ça arrive. 

Rubato a écrit:

Série B+ westernienne.
Budd Boetticher
Comanche Station / 1959
Excellent Boetticher.  De nombreux points communs avec Ride lonesome.
...et une fin tout à fait poignante; ça fonctionne à chaque fois.

Ah, oui, ce sont les deux plus aboutis du cycle, je trouve. Soit deux des meilleurs westerns jamais filmés.
Avec des parallèles, d'ailleurs (le paysage du début, le rythme de l'itinéraire et la composition du groupe de rencontre, et la pointe finale qui éclaire rétrospectivement tout le film.)

Tristana Luis Buñuel
Très beau, mais Buñuel déforme la longue nouvelle de Benito Pérez Galdós pour y mettre ses dadas de fétichisme et appauvrit le propos. Je ne l'avais jamais vu, assez content mais je crois que je ne suis pas si fan de ce réalisateur

Morloch a écrit:

Tristana Luis Buñuel
Très beau, mais Buñuel  déforme la longue nouvelle de Benito Pérez Galdós pour y mettre ses dadas de fétichisme et appauvrit le propos. Je ne l'avais jamais vu, assez content mais je crois que je ne suis pas si fan de ce réalisateur

Je n'ai pas vu ce Buñuel mais j'adore vraiment ce réalisateur : son humour acide est vraiment inégalable (je pense notamment au Journal d'une femme de chambre et au Charme discret de la bourgeoisie). Même quand il n'use pas de ça, il fait de bonnes choses (Él). C'est vrai que le fétichisme est vraiment présent chez lui ; dans tous les films où je l'ai rencontré, ça servait le propos : tu as donc éveillé ma curiosité à propos de ce film - cela dit, je ne connais pas la nouvelle initiale donc je serais peut-être moins sensible à cette perte. 

Morloch a écrit:

Tristana Luis Buñuel
Très beau, mais Buñuel  déforme la longue nouvelle de Benito Pérez Galdós pour y mettre ses dadas de fétichisme et appauvrit le propos. Je ne l'avais jamais vu, assez content mais je crois que je ne suis pas si fan de ce réalisateur

Je ne sais pas pourquoi, je le confonds souvent avec Viridiana

Benedictus a écrit:

Rubato a écrit:

Série B+ westernienne.
Budd Boetticher
Comanche Station / 1959
Excellent Boetticher.  De nombreux points communs avec Ride lonesome.
...et une fin tout à fait poignante; ça fonctionne à chaque fois.

Ah, oui, ce sont les deux plus aboutis du cycle, je trouve. Soit deux des meilleurs westerns jamais filmés.
Avec des parallèles, d'ailleurs (le paysage du début, le rythme de l'itinéraire et la composition du groupe de rencontre, et la pointe finale qui éclaire rétrospectivement tout le film.)

C'est tout à fait ça.
Des lieux identiques ont été utilisés pour le tournage de ces deux films.

Comanche Station est le dernier film du cycle Boetticher / Scott.

Emeryck a écrit:

Je n'ai pas vu ce Buñuel mais j'adore vraiment ce réalisateur : son humour acide est vraiment inégalable (je pense notamment au Journal d'une femme de chambre et au Charme discret de la bourgeoisie).

Tristana est un film exceptionnel, c'est idiot de faire ce que je viens de faire de comparer avec le texte original, c'était juste une réaction sur le moment. Buñuel fait du Buñuel et s'approprie l'histoire, et avec maestria. Il en fait quelque chose de plus abstrait, avec un contexte difficile à comprendre par le seul film, sans doute qu'il juge que c'est superflu pour son propos.

Mais je préfère Le journal d'une femme de chambre, qui lui aussi s'écarte du roman original, déjà dans le temps, en mettant avant la seconde guerre mondiale une histoire qui se passe avant la première, ce qui lui permet de conclure sur le 6 février 1934, mais je n'ai pas lu le roman.

Rubato a écrit:

Je ne sais pas pourquoi, je le confonds souvent avec Viridiana

Oui,c'est des noms en a et quelques points communs dans les personnages.

Morloch a écrit:

Rubato a écrit:

Je ne sais pas pourquoi, je le confonds souvent avec Viridiana

Oui,c'est des noms en a et quelques points communs dans les personnages.

Et Fernando Rey dans les deux !

Un film sympa aussi de Buñuel: La Vie criminelle d’Archibald de la Cruz que j'ai revu il y a peu .

[Comanche Station, Ride Lonesome]

Rubato a écrit:

Des lieux identiques ont été utilisés pour le tournage de ces deux films.

Oui, les contreforts de la Sierra Nevada du côté de Lone Pine (on reconnaît en particulier nettement les formations rocheuses de Alabama Hills.) Le cadre naturel est d'ailleurs utilisé de façon magnifique dans tous ces films.

Rubato a écrit:

Un film sympa aussi de Buñuel: La Vie criminelle d’Archibald de la Cruz que j'ai revu il y a peu .

Je n'en ai jamais entendu parler, merci beaucoup, je note ça dans un coin ! 

La Vie criminelle..., je l'avais vu il y a longtemps, mais j'en garde un très bon souvenir (alors que Buñuel, je ne suis pas particulièrement fan); ça avait été réédité sur DVD en VOST avec El (que j'avais bien aimé aussi.)

Benedictus a écrit:

El (que j'avais bien aimé aussi.)

Ah oui, Él, c'est du très bon.