Playlist (135)

Britten : A Midsummer Night Dream (Hickox)

Une féerie parfois à la limite de la préciosité.

Fascinant.

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune/Roth



J'attendais ce disque depuis un moment.

Debussy: Nocturnes/Roth

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/1572576

Les CPE Bach de Hinterhuber sont des merveilles (j'ai inclus un de ces disques dans ma séletion décennale…). Et bien sûr El Pueblo unido… !

Catégorie orchestrale -rang 246°/250




Barry Rose (1934-)


3) Victor Hely-Hutchinson (1901-1947) :

Carol Symphony

= Barry Rose, Pro Arte Orchestra

(HMV, septembre 1966)

Un mignon Mélomaniac d'or pour honorer la Nativité, telle qu'elle se traduit dans la ferveur des traditions et des terroirs, en l'occurrence de nos voisins d'Outre-Manche.
Hely-Hutchinson naquit en Afrique du Sud (son père fut le dernier Gouverneur de la colonie du Cap) mais fut en partie éduqué en Angleterre, où sa carrière
se partagea entre des responsabilités radiophoniques (plusieurs postes de Directeur à la BBC) et l'enseignement -il professa à l'Université de Birmingham.
Donald Tovey lui apprit le piano, Adrian Boult la direction d'orchestre.
En tant que compositeur, on lui doit des chansons pour enfants et autres comptines, et cette charmante Carol Symphony qui date de la fin des années 1920,
tramée de populaires mélodies de Noël : O Come, All Ye Faithful ; God Rest You Merry, Gentlemen ; The First Noel ; Here We Come A-wassailing.
Orchestration chaleureuse, poétique et efficace, porteuse d'un sentiment sincère, d'une joie simple -les délicieux airs font le reste,
avec cette pointe d'émerveillement et de candeur propre à la circonstance.
L'introduction allegro energico plante un robuste décor de crèche, qui s'anime dans l'entrain du scherzo amorcé par la voix bucolique des hautbois et basson
et poursuivie en des réjouissantes danses puisées au folklore.
La magie opère dans l'Andante, où l'attendrissant refrain du first Nowell émerge d'un poudroiement de harpe -moment enchanteur !
Puis une vigoureuse conclusion allegro energico, cuivrée et carillonnante qui, comme il se doit, soulève les cœurs.
.
Barry Rose évolua dans diverses institutions ecclésiastiques du Royaume-Uni : à l'âge de 25 ans, il devint le plus jeune organiste de cathédrale du pays,
à Guildford nouvellement érigée, où il dirigeait également les chœurs et où il fut repéré par Emi qui lui confia plusieurs enregistrements couronnés de succès (disques de platine).
Il exerça aussi à la St Paul's Cathedral (1974-1984), à la King's School de Canterbury, la Cathedral & Abbey Church de St.Alban, et aussi aux États-Unis.
Outre cette activité chorale de premier plan qui lui valut d'être décoré par la Reine Elizabeth en 1998, Rose se montre ici un chef d'orchestre totalement accompli,
qui entraîne ses pupitres dans une célébration soulevée par l'émotion qu'on en attend.
La superbe prise de son achèvera, je l'espère, de vous transporter dans vos souvenirs de jouvenceau ébahi devant le sapin.

Réécouté un peu au débotté, pour répondre au fil qu’aurele vient d’ouvrir sur l’œuvre:

• Bruckner: Symphonie nº5:

Giuseppe Sinopoli / Staatskapelle Dresden
En public, Dresde, III.1999
DG
Pas absolument mon idéal, mais une très bonne version, à la fois animée et avec une sonorité dense. Voir ici.

Sinon:

• Brice Pauset: Neuf Canons (2004-10) pour piano. Sept Canons (2010) pour piano:

Nicolas Hodges (piano)
Cologne, VIII.2016
Wergo
Des œuvres fascinantes; vraiment du très grand art - à la fois «matérialiste» et spéculatif. Voir ici.

• Ravel: Ma mère l’Oye (a). Le Tombeau de Couperin (b):

François-Xavier Roth / Les Siècles
Paris, Londres, Soissons, XI.2016 (a); Boulogne-Billancourt, VIII.2017 (b)
Harmonia Mundi
Une version magnifique de Ma Mère l’Oye - orchestre somptueux et direction en understatement. Un peu déçu par le Tombeau (mais du fait de mes attentes personnelles.) Voir ici.

4) Paul de Maleingreau (1887-1956) :

Symphonie de Noël, Op. 19

= Peter Van de Velde, orgue Schyven de la Cathédrale Notre-Dame d'Anvers

(Aeolus, novembre 2006)

Élève au Conservatoire de Bruxelles où ensuite il enseigna l'harmonie et dont, pendant une vingtaine d'années, il tint la classe d'orgue.
Pour cet instrument, on lui doit une quarantaine d'opus. Messes, une large centaine de petits préludes liturgiques, et de grandes pages dans la lignée
de la tradition symphonique française, empruntant toutefois à quelques archaïsmes : inspiration grégorienne de certains thèmes,
harmonie parfois empruntée à la Renaissance (privilège des quartes et quintes), recours à des registres d'ancienne école tels cromorne, quintadène...
Comme interprète, il contribua d'ailleurs à faire resurgir le répertoire du XVII° et XVIII° siècles, dont l'œuvre de Bach, intégralement jouée en concert
au début des années 1920, à l'instar de Marcel Dupré.
Datée de 1919, la première des trois Symphonies de Noël résume ce style et ces influences en une sorte de grandiose polyptyque :
Vigile de la Fête exprime l'attente du Sauveur, Vers la Crèche illustre bien sûr les Rois-Mages en route vers Bethléem, puis la confiance sérénité
d'Adoration mystique précède un édifiant Final Dies laetitiae propulsé par le enjambées du pédalier.
Magnifique interprétation, que la restitution en SACD spatialise de façon particulièrement réaliste.

J'ai réécouté Mahler cet après-midi:
* la Cinquième Symphonie au complet par Maaze/Vienne
* l'Adieu tiré du Chant de la Terre  par Nagano et l'OSM.

Xavier a écrit:

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune/Roth



J'attendais ce disque depuis un moment.

Et c'est en effet

La Voix humaine, Gwyneth Jones/Stefan Anton (2007) : /watch?v=njXRpEUrZwU !

Cololi a écrit:

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

Spoiler:

C'est un aveu, Monsieur le Cololullyste?

Plutôt la mort

Ouais bien sur . Tu assumes enfin ton LULLYsme forcenné et c'est très bien ainsi

Britten : Quatuor à cordes n°2 (Endellion String Quartet)

Par moments ça pourrait faire penser à un Bartok français.

Jörg Widmann ARCHE    Nagano, philhamonisches staatsorchester Hamburg



aïe ! zut !
J'ai succombé à une oeuvre vraiment de "mauvais goût"   , J'ai pris beaucoup de plaisir à écouter cet Oratorio  pour solistes,choeur,orgue et ochestra (et des narrateurs enfants).
Widmann use tout les styles orchestraux et vocaux , une sorte de visite à tout allure à un musée de la musique : de chorals alla Bach , du bruit , des chansons populaires comme Weil , des Lied romantiques schubertien ou Straussien , des nappes ligitennes etc ...
Le pire c'est le IV partie qui débute du Orff pour finir une fantaisie chorale de Beethoven à peine maquillé ...  Et Beaucoup d'humour , c'est cool !
Durée : 1h30 ça passe vite !   J'ai adoré  ce show ( crée pour l'inauguration la salle Elbphilharmonie en 2017 )

J'écoute en boucle depuis vendredi les 15 dernières minutes de La Walkyrie, par différents chefs et chanteurs.

Qu'est-ce que c'est beau !

Et c'est fou comme la section orchestrale qui sépare le début des Adieux de la suite (cette expansion climacique d'un lyrisme exacerbé — ce n'est finalement pas si fréquent chez Wagner), pour parfaitement wagnérienne qu'elle soit (j'ai presque envie de dire « gentiment wagnérienne », parce que c'est très ordonné harmoniquement par rapport à ceux que je vais citer), préfigure Mahler et Strauss.

Franz Schubert
* Symphonie no. 8 'L'Inachevée'
Chicago Symphony Orchestra
Seiji Osawa

La puissance, la propulsion hargneuse du premier mouvement ; la tension latente du second (un temps d'entre-deux, ni plus ni moins) ; ces cuivres (ah la la ! la chevauchée du III fière, à la parade) ; cette coda incendiaire ; cet orchestre immolé, en général (Lucifer : celui qui porte la lumière, littéralement) !

Adalbéron a écrit:

J'écoute en boucle depuis vendredi les 15 dernières minutes de La Walkyrie, par différents chefs et chanteurs.

Qu'est-ce que c'est beau !

Et c'est fou comme la section orchestrale qui sépare le début des Adieux de la suite (cette expansion climacique d'un lyrisme exacerbé — ce n'est finalement pas si fréquent chez Wagner), pour parfaitement wagnérienne qu'elle soit (j'ai presque envie de dire « gentiment wagnérienne », parce que c'est très ordonné harmoniquement par rapport à ceux que je vais citer), préfigure Mahler et Strauss.

Ils l'ont tellement lu / écouté, eux aussi, que c'est sans doute davantage leur imprégnation qu'une quelconque prémonition qu'il faut accuser…

Debussy: Jeux/Roth

DavidLeMarrec a écrit:

Adalbéron a écrit:

J'écoute en boucle depuis vendredi les 15 dernières minutes de La Walkyrie, par différents chefs et chanteurs.

Qu'est-ce que c'est beau !

Et c'est fou comme la section orchestrale qui sépare le début des Adieux de la suite (cette expansion climacique d'un lyrisme exacerbé — ce n'est finalement pas si fréquent chez Wagner), pour parfaitement wagnérienne qu'elle soit (j'ai presque envie de dire « gentiment wagnérienne », parce que c'est très ordonné harmoniquement par rapport à ceux que je vais citer), préfigure Mahler et Strauss.

Ils l'ont tellement lu / écouté, eux aussi, que c'est sans doute davantage leur imprégnation qu'une quelconque prémonition qu'il faut accuser…

Voir un cas saisissant de démarque-sans-pastiche : le final flûte/harpe/célesta de Biblis de Massenet (cantate donnée à la Biennale de Saint-Etienne en 2015). Oui ! sans doute à force de fréquenter l'oeuvre de Wagner, Massenet comme Strauss, comme Mahler et comme pas mal d'autres s'en est imprégné.

Britten : Spring Symphony (Hickox)

Je découvre.

Ca m'a l'air plutôt chouette.

arnaud bellemontagne a écrit:

Britten : Spring Symphony (Hickox)
Je découvre.
Ca m'a l'air plutôt chouette.  

C'est en effet très chouette! Et tu as essayé The Prince of the Pagodas et The Burning Fiery Furnace?

J'ai trouvé Le prince des Pagodes un peu long, malgré une plastique séduisante.

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Bernstein : Symphonie n°2 (Zimerman/Rattle)

Je te réponds sur le fil idoine

Ravel: Ma Mère l'oye, ballet/Roth



Avec partition. (sur IMSLP, puisqu'en papier ça semble introuvable... on ne trouve que les 5 pièces ou bien le ballet mais en version piano, ainsi que le Prélude et la danse du rouet chez Dover, mais pas l'ensemble du ballet avec toutes ses transitions...)

On est d'accord (pour les deux Roth) c'est vraiment de la grande qualité...

Pour ma part :
Lully : Alceste (Rousset & Les Talens lyriques)

Enregistrement qui vient d'être nommé pour les Grammy Awards !

Jules Biron a écrit:

On est d'accord (pour les deux Roth) c'est vraiment de la grande qualité...

Pour ma part :
Lully : Alceste (Rousset & Les Talens lyriques)

Enregistrement qui vient d'être nommé pour les Grammy Awards !

À mon avis le meilleur opéra de LULLY avant les quatre derniers… et une exécution absolument fulgurante (Martín-Cartón ).

Johannes Brahms
* Symphonie no. 4
London Philharmonic Orchestra
Sir Adrian Boult
1 LP EMI, 1973

Rétrospective 2018
Je viens de réécouter ces trois CD tous consacrés à la musique de piano:


1- Chopin - Scriabine: Preludes
Igor Zhukov, piano
1 CD Melodiya, 1979, 1983 & 1991
Igor Zhukov est décédé en janvier dernier.
Le programme de son CD comprend les 24 Préludes de l'opus 28 de Chopin et 12 Préludes de l'Opus 11 de Scriabine...


2- Chopin - Schumann - Ravel
Chopin: Ballade no.1 en Sol mineur op. 23
Schumann: Fantaisie en Do majeur op. 17
Ravel: Gaspard de la Nuit[/u]: Ondine - Le Gibet - Scarbo
Avan Yu, piano
1 CD Espace Musique, 2008


3- Liszt at the Opera
Louis Lortie, piano
1 CD Chandos, 2013
Ce CD de Louis Lortie extraverti, surtout pour la magistrale Ouverture 'Tannhäuser' de Wagner.
Aussi la Paraphrase de Concert tirée de Rigoletto.

Schumann : Symphonies, Gardiner / Orchestra of the Age of Enlightenment

Une des meilleures versions, dynamique, incisive.


Beethoven : Concerto pour piano n°4, Angelich / Equilbey / Insula

Un peu mitigé dans l'ensemble. Pourquoi diable enregistrer Beethoven sur un Pleyel construit 65 ans après sa mort ? Ceci dit, il y a de belles choses, même si on a entendu la première phrase mythique mieux conduite...!

Jean Sibelius
* Symphonie no. 4
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
LP DG, 1966

Jean-Sébastien Bach
Concerto brandebourgeois N°1-Fa majeur-BWV 1046
Concerto brandebourgeois N° 2-Fa majeur-BWV 1047
Concerto brandebourgeois N° 3-Sol majeur-BWV 1048

Transcription de Max Reger pour piano à 4 mains

Teresa & Filippo Trevisan

Label Velut Luna

Ravel: Shéhérazade/Gens, Axelrod

Debussy: Etudes pour piano/Muraro

+

Messiaen: Fauvettes de l'Hérault - Concert des garrigues/Muraro

+

Je n’ai écouté que le Sacre et j’avoue avoir trouvé cette version pour piano à quatre mains un peu frustrante, bien que très bien réalisée en l’occurrence. Cela m’a fait au moins me rendre compte que le Sacre n’est pas fait que de rythme, mais aussi de couleurs et de climats orchestraux qui le portent à son incandescence.
(Même si j'en ai fait 12 ans, il faut dire que je ne suis pas très piano : c’est un instrument qui a toutes les notes, mais qui est à mon oreille d’une monochromie vite lassante, bien souvent.)

Xavier a écrit:

Debussy: Etudes pour piano/Muraro
+

Xavier a écrit:

Messiaen: Fauvettes de l'Hérault - Concert des garrigues/Muraro
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C'est le disque Harmonia Mundi qui vient de sortir? L'interprétation de Muraro donne quoi?

Adalbéron a écrit:

Je n’ai écouté que le Sacre et j’avoue avoir trouvé cette version pour piano à quatre mains un peu frustrante, bien que très bien réalisée en l’occurrence. Cela m’a fait au moins me rendre compte que le Sacre n’est pas fait que de rythme, mais aussi de couleurs et de climats orchestraux qui le portent à son incandescence.

Je te conseille quand mêmede tenter Hamelin / Andsnes (Hyperion): comme je l'ai dit ici, même si ce n'est pas l'orchestre, c'est assez somptueux du côté des couleurs, des strates et des climats.

Benedictus a écrit:

Xavier a écrit:

Debussy: Etudes pour piano/Muraro
+

Xavier a écrit:

Messiaen: Fauvettes de l'Hérault - Concert des garrigues/Muraro
+

C'est le disque Harmonia Mundi qui vient de sortir? L'interprétation de Muraro donne quoi?

Oui c'est ça.
J'ai trouvé les Etudes de Debussy vraiment superbes, techniquement c'est irréprochable, mais en plus comme d'habitude chez Muraro, ça chante. Pour moi c'est une belle référence.
Le Messiaen c'est une œuvre inachevée reconstituée, bon si on n'est pas fan du Catalogue d'oiseaux on ne découvre rien d'extraordinairement inédit. (et même si on est fan d'ailleurs)

Benedictus a écrit:

Adalbéron a écrit:

Je n’ai écouté que le Sacre et j’avoue avoir trouvé cette version pour piano à quatre mains un peu frustrante, bien que très bien réalisée en l’occurrence. Cela m’a fait au moins me rendre compte que le Sacre n’est pas fait que de rythme, mais aussi de couleurs et de climats orchestraux qui le portent à son incandescence.

Je te conseille quand mêmede tenter Hamelin / Andsnes (Hyperion): comme je l'ai dit ici, même si ce n'est pas l'orchestre, c'est assez somptueux du côté des couleurs, des strates et des climats.

Merci, j'essaierai.
Mais je vais d'abord réécouter une version avec orchestre !

En piano il y a au moins une version du Sacre qui dépote: celle de Fazil Say, qui reconstitue toutes les parties percussives dans le piano (je veux dire à l'intérieur) en plus des 4 mains traditionnelles.

Oh, je pensais qu'il sacrifiait le piano !

Ça me tente aussi, merci.

Oui, j'avais beaucoup aimé aussi: en effet pour le côté percussif (et furieux), c'est génial! Mais Hamelin / Andsnes, c'est peut-être plus en phase avec les attentes d'Adalbéron (les couleurs, les climats.)

Adalbéron a écrit:

Benedictus a écrit:

Adalbéron a écrit:

Je n’ai écouté que le Sacre et j’avoue avoir trouvé cette version pour piano à quatre mains un peu frustrante, bien que très bien réalisée en l’occurrence. Cela m’a fait au moins me rendre compte que le Sacre n’est pas fait que de rythme, mais aussi de couleurs et de climats orchestraux qui le portent à son incandescence.

Je te conseille quand mêmede tenter Hamelin / Andsnes (Hyperion): comme je l'ai dit ici, même si ce n'est pas l'orchestre, c'est assez somptueux du côté des couleurs, des strates et des climats.

Merci, j'essaierai.
Mais je vais d'abord réécouter une version avec orchestre !

Argerich/Barenboim ?

Serge Prokofiev
* Symphonies nos. 1 & 2
Philharmonie de Moscou
Dmitri Kitaenko

La prise sonore est spéciale, il y a des sonorités qui ressortent dans cet enregistrement comme nulle part ailleurs, surtout dans le deuxième mouvement de la Deuxième.

Wagner: Le Crépuscule des dieux, prologue et I/Zweden

Bach : Le clavier bien tempéré Livre I (Richter Innsbruck )

Debussy, Intégrale. Planès
à tomber

L’Isle Joyeuse en boucle par François
irradiant

Tchaikovski par Dorati (Phillips)
gourmandises hivernales

Spoiler:

anaëlle a écrit:

Debussy, Intégrale.  Planès
à tomber

anaëlle a écrit:

L’Isle Joyeuse en boucle par François
irradiant

Tiens, lui, ça fait une paye que je l'ai pas réécouté dans Debussy.

anaëlle a écrit:

et du Damso, mais ça va faire hurler Benedictus

Bah, c'est juste du rap français un peu bas du front, quoi. (La dernière fois, c'était Booba, donc tu es plutôt en progrès, finalement.)

Spoiler:

P. I. Tchaïkovski
* Symphonies nos. 4, 5 & 6 'Pathétique' (vol. 4, 5 & 6)
Orchestre Symphonique de Montréal
Charles Dutoit
3 CD Decca London, 1993 (compilation: 'The Tchaïkovski Experience')