Playlist (144)

Paul Méfano :
Madrigal pour trois voix, flute, piano, harpe et quatre percussionnistes (1962)
Mesplé, Jarsky, Bartelloni / Artaud, Helffer, 2e2m (Méfano)

Mélodies pour soprano et 9 instruments (1962)
Dorothy Dorow / 2e2m (Méfano)

Estampes japonaises pour soprano et 10 instruments (1959)
Liliane Mazeron / 2e2m (Méfano)

Johannes Brahms
* Symphonie no. 4 (1er et 2e mouvements)
Karajan / Berlin, DG

W. A. Mozart
* Concerto no. 16 K. 451
Perahia / English Chamber Orchestra), CBS

* Concerto no. 22 K. 482
Carmen Piazzini / Solistes de Leningrad / Michail Gautvarg
CD 'Les chefs-d'oeuvre de l'Histoire de la Musique' (e.f.s.a)

Johann Strauss II
Airs célèbres (extr.)
* Ouverture 'Le Baron tzigane'
* Annen Polka op. 117
* Valse de l'Empereur
Orchestre de la Radio Baden-Baden / Klaus Arp
CD 'Les chefs-d'oeuvre de l'Histoire de la Musique' (e.f.s.a)

Paul Méfano :
Interférences pour piano, cor et 10 instruments (1966)
J. Méfano, Petitdidier / 2e2m (Méfano)

Signes / Oubli pour 22 instruments (1972)
2e2m (Méfano)

Ondes, espaces mouvants pour 10 instruments (1975)
2e2m (Méfano)

Igor Stravinsky
* Le Sacre du Printemps
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan (DG)

Bonne impression dans l'ensemble, Karajan fait ressortir le caractère harmonieux de l'oeuvre, belle cohésion orchestrale.

Récemment : 

Johannes Brahms : Symphonie n°4 pour orchestre        1884-85 / Berliner Philharmoniker (Harnoncourt)

Robert Schumann : Symphonie n°1 pour orchestre        1841 / Chamber Orchestra of Europe (Harnoncourt)

Robert Schumann : Symphonie n°2 pour orchestre        1845-46 / Chamber Orchestra of Europe (Harnoncourt)
 +
Robert Schumann : Symphonie n°3 pour orchestre        1850 / Chamber Orchestra of Europe (Harnoncourt)

Robert Schumann : Symphonie n°4 pour orchestre        1841 / Chamber Orchestra of Europe (Harnoncourt)

Clara Iannotta : You crawl over seas of granite pour quatuor à cordes        2019-20 / JACK Quartet

Clara Iannotta : A failed entertainment pour quatuor à cordes        2013 / JACK Quartet
 +
Jean-Baptiste Lully : Amadis        1684 / Les Talents Lyriques (Rousset)

• Hauer: Salambo, op. 60:

Susan Roberts (Salambo), Diane Elias (Taanach), Claes H. Ahnsjö (Spendius), Rudolf Constantin (Matho), Friedemann Hanke (Gisko, Schahabarim), Lothar Zagrosek / Radio Symphonie Orchester Wien, ORF-Chor
En public, Vienne, III.1983
Orfeo «Musica Rediviva»

Une rareté, une œuvre qui me touche beaucoup pour un tas de raisons - et, à coup sûr, une œuvre à connaître, sorte de hapax dans l’opéra décadent, à l’image de l’irréductible singularité langagière et esthétique de Hauer. Voir ici.

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.5
Mariinsky Orchestra
Valery Gergiev (2014)

Excellente interprétation, prise de son impeccable et plutôt feutrée, belle intensité orchestrale dans le troisième mouvement.

Tchaïkovsky: Symphonie n°1/Jordan ONP (Mezzo)

+

Brahms: Symphonie n°3/Dorati

Paul Méfano :
Paraboles pour soprano, ensemble et orchestre (1964–65)
Sharon Cooper / 2e2m, Nouvel Orchestre Philharmonique (Yves Prin)

Lignes pour basse et 15 instruments (1968)
Boris Carmeli / 2e2m (Méfano)

Mouvement calme pour cordes (1976)
2e2m (Renaud François)

Prokofiev : Concerto pour piano n°2 (Toradze/Gergiev)


Plaisant et ludique.

L'enregistrement est splendide.

Robert Schumann
* Symphonies nos. 3 ' Rhénane' & 4
Orchestre de Chambre d'Europe
Nikolaus Harnoncourt
1 CD Teldec, 1994

Nikolaï Rimski-Korsakov
* Schéhérazade
Royal Concertgebouw Orchestra
Riccardo Chailly
1 CD Decca London, 1994

George Gershwin
* An American in Paris
London Symphony Orchestra
ArdréPrevin
LP Angel EMI, 1971




Version riche et puissante, éclatante et rehaussée par l'écoute sur long-jeu, l'une des plus percutantes qu'il m'est été donné d'entendre.
Beaucoup d'éléments ressortent ici comme nulle part ailleurs.

Bruckner : Symphonie n°2 (Konwitschny)


Une bien belle version!

Johann Paul von Westhoff (1656-1705)
Suites pour violon seul (5 sur 6)

Plamena Nikitassova, violon

Tout à fait intéressant, comme émergence d’écritures pour instruments seuls, exploration des ressources polyphoniques du violon, et aussi de par la recherche de Plamena Nikitassova sur l'art de jouer du violon pré-baroque (ou l'un des baroques). Comme représenté en couverture (Simone Cantarini, Sainte Cécile) "le violon est placé à gauche sur la poitrine mais il regarde un peu vers le bas à droite", pour l'archet "Le bras droit reste bas, le pouce est placé sur les crins et contribue à leur mise en tension", d'après Peter Wollny citant des traités d'époque.

"La beauté de ces joyaux est particulièrement perceptible pour l'auditeur attentif ; c'est un art abstrait, condensé, qui a besoin de l'imagination pour se déployer" Peter Wollny, dans le livret, à nouveau

Et qui demande certainement plusieurs écoutes pour être pleinement goûté

Prokofiev : Concerto pour piano n°3 (Toradze/Gergiev)

W. A. Mozart
* Concerto K. 191
Michael Chapman, basson
Academy of St Martin-in-the-Fields
Sir Neville Marriner
1 CD Philips

G.Schumann: Symphonie en fa mineur opus 42/Feddeck

+

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
• Cantate BWV 51 "Jauchzet Gott in allen Landen!"
the Sebastians*

*:

Les parties virtuoses de soprane (ici Katharine Dain) auraient été tenues par Christoph Nichelmann (âgé de 13 ans), selon G. Cantagrel

W. A. Mozart
* Symphonies nos. 32, 35 'Haffner' et 39
English Chamber Orchestra
Jeffrey Tate
1 K7 Angel EMI, 1985

Ce week-end, que du bonheur:

• LULLY: Armide 1778 (version révisée de Louis-Joseph Francœur):

Véronique Gens (Armide), Reinoud Van Mechelen (Renaud), Tassis Christoyannis (Hidraot, La Haine), Chantal Santon Jeffery (Phénice, Lucinde), Katherine Watson (Sidonie, Une Naïade, Un Plaisir), Philippe-Nicolas Martin (Aronte, Artémidore, Ubalde), Zachary Wilder (Le Chevalier danois), Hervé Niquet / Le Concert Spirituel
Metz, IV.2019
Alpha

Cette version d’Armide mise au goût post-ramiste / post-gluckiste du jour ne sera évidemment pas ma version de référence d’Armide, mais entre la possibilité d’entendre quelque chose de vraiment différent et les prestations de Véronique Gens et de Christoyannis, un vrai plaisir - et je sais que j’y reviendrai! Voir ici.

• Schmidt: Symphonie n°1 en mi majeur:

Paavo Järvi / hr-Sinfonieorchester Frankfurt
En public, Francfort, III.2017
DG

J’entame donc cette intégrale - et dès cette 1ᵉ, je suis enthousiasmé! Une symphonie de jeunesse au langage encore très tradi mais où Järvi sait faire pressentir les caractéristiques du Schmidt de maturité: l’opulence lumineuse de l’orchestration, la tension entre la tradition formelle et le penchant pour les bifurcations et les contre-courants. Et ici avec un élan réjouissant! Voir ici.

Au fond, l'église jésuite Panny Marie Sněžné d'Olomouc (République tchèque, -Moravie)


Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Meine Seele erhebt den Herren, BWV 733
Vater unser im Himmelreich, BWV 737
Vom Himmel hoch, BWV 701
Herr Jesu Christ, dich zu uns wend, BWV 709
Herr Jesu Christ, dich zu uns wend, BWV 726
Wir Christenleut haben jetzund Freud, BWV 710
Fantaisie et Fugue en sol mineur, BWV 542

= Douglas Hollick, orgue Halbich de l'église Notre-Dame-des-Neiges d'Olomouc

(Supraphon, juin 1995)

Je vous avais présenté cet orgue morave ici : https://classik.forumactif.com/t8393-orgue-baroque-germanique-instruments-et-repertoire#1125055
En vous précisant que sa composition (riche en 8', indigente en anche) le prédispose plutôt au répertoire sud-allemand.
Toutefois, la personnalité affable de l'instrument façonne onctueusement cette poignée de chorals de Bach.
Et le plenum dense (à défaut de profondeur) mais aéré et acidifié par les Mixtures insuffle à la dramatique Fantaisie une humeur à la fois maussade et piquante,
que l'organiste anglais (élève de P. Hurford, M.C. Alain et G. Leonhardt) anime avec toute la vélocité, la clarté et la grandeur requises.

Ce soir:

• Rameau: Les Boréades: actes I et II:

Deborah Cachet (Alphise), Caroline Weynants (Sémire), Mathias Vidal (Abaris), Benedikt Kristjánsson (Calisis), Benoît Arnould (Adamas), Tomáš Šelc (Borilée), Helena Hozová (L’Amour), Anna Zawisa (Première Nymphe), Tereza Maličkayová (Deuxième Nymphe), Václav Luks / Collegium 1704
Versailles, I.2020
Château de Versailles

Je n’en suis qu’au tout début, mais je crois qu’on tient là une grande version. Luks fait preuve d’une intelligence très fine du style ramiste, la distribution est d’une formidable éloquence. Voir ici.

Prokofiev : Concerto pour piano n°5 (Toradze/Gergiev)

Frédéric Chopin
* 12 Études op. 10
* 12 Études op. 25
Maurizio Pollini, piano (DG)

Franz Liszt
* Rhapsodies hongroises nos. 4, 5, 8 'Capriccio', 12, 13 & 15
Samson François, piano
1 LP 'Trianon' Pathé - Marconi, EMI

Bruckner : Symphonie n°4 (Jochum DG)

Lutoslawski: Concerto pour orchestre/L.Foster (sur Mezzo)

+

J.S.Bach
Les variations Goldberg

Lang-Lang
Live Thomaskirche Leipzig

Label D.G.

L.L.n'est pas qu'un "objet" marketing. Du beau, voire du très beau piano dans ce retour vers J.S.B.
Lors d'une interview sur F.M., Emanuel Ax avait signalé que L.L. s'exprimait fort bien dans J.S.B.

Musique ?
Pièces modernes pour clavecin et electro-acoustique

Takemitsu, Cowell, Saariaho, Bryars, Abbasi, Ferrari
Pièces échelonnées entre 1960 et 2018

Mahan Esfahani, clavecin, c'est compliqué (Jukka Olikka 2018, à partir Michael Mietke augmenté de Pleyel)

Mahan Esfahani, explore des contrées, où il s'aventure avec ardeur depuis toujours (Byrd Bach Ligeti ; Present and Time Past), et que ses disques, magnifiques, CPE Bach ou Rameau, nourrissent. Qui plus est, c'est superbe ! J'essayerai d'y revenir. Le plus beau disque de clavecin contemporain, à ma connaissance.

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner : Symphonie n°4 (Jochum DG)

C'est devenu ma version préférée. Il y a ici des respirations et des choix de tempi que je ne retrouve pas ailleurs et rendent le discours irrésistible.

- Ici :
Spanish landscapes : Leticia Moreno, violon - Ana María Vera, piano

Turina : El poema de una Sanluqueña
Falla : Suite populaire
Granados : sonate - Andaluza (danza n°5)
Halffter : Sérénade à Dulcinée
Kreisler : Danse espagnole (Falla) - Tango de España (Albeniz)
Toldrà : Sonetti de la rosada
Sarasate : Airs bohémiens
Garcia Lorca : Nana (cancion antigua n°8 )

J'ai fini par acheter ce disque que j'avais écouté à plusieurs reprises. Programme parfait et Leticia Moreno a bien plus que l'adn qui la rend légitime pour un tel programme. Une sonorité fruitée avec beaucoup de chaleur sur la corde de sol, une technique et une articulation de haut vol.
Par ailleurs le magnifique poema de una Sanluqueña en quatre mouvements confirme mon sentiment que le meilleur de Turina se trouve dans sa musique de chambre, beaucoup plus riche et avancée du point de vue de l'écriture que sa musique d'orchestre.

Charpentier – Méditations pour le Carême – García, Candela, Bazola ; Guignard, Galletier, Camboulas (Ambronay)
→ Avec Médée, le fameux Te Deum et le Magnificat H.76, on tient là la plus belle œuvre de Charpentier, inestimable ensemble de dix épisodes de la passion racontés en latin (et s'achevant au miroir du sacrifice d'Isaac, sans sa résolution heureuse !) par des chœurs tantôt homorythmiques tantôt contrapuntiques, et ponctués de récitatifs de personnages (diversement sympathiques) des Écritures. Merveille absolue de l'harmonie, de la prosodie et de la poésie sonore.
→ Ce que font Les Surprises est ici merveilleux, sens du texte et des textures hors du commun, d'une noirceur et d'une animation dramatique inhabituelles dans les autres versions de cette œuvre, et servi au plus suprême niveau de naturel chanté. Un des disques majeurs du patrimoine sacré français.

Charpentier – Méditations pour le Carême
→ en chapelle, Les Arts Florissants, Christie (HM) ***
→ en chapelle, Le Concert Spirituel, Hervé Niquet (Glossa) **
→ en chapelle, M.-C. Alain (BNF) **
→ Beekman, Getchell, Robbert Muuse ; Bolton, Benjamin Perrot, Desenclos (Alpha) ****
→ García, Candela, Bazola ; Guignard, Galletier, Camboulas (Ambronay) *****

Brahms – Symphonie n°1 – Gewandhaus, Blomstedt (PentaTone)
→ Tempo assez modéré, pour une introduction pleine de majesté, un Brahms qui fascine par la clarté de sa structure plutôt que par la vaine séduction des timbres ou par sa rage. Pour autant, une version très animée, qui ne rugit pas mais qui interpelle sans cesse. Grande, grande lecture d'une décantation impressionnante.

Gilles – Toutes les leçons de Ténèbres pour le Mercredy – Boston Camerata
→ Un peu de rigidité pour ce chef-d'œuvre absolu (qui traite les Lamentations en antiphonie soliste-chœur, et où la déclamation est grande maîtresse), mais c'est au moins l'occasion de pouvoir l'entendre !
Première fois que je parviens à toutes les entendre.

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune/Gergiev Munich (sur Mezzo)

DavidLeMarrec a écrit:

Charpentier – Méditations pour le Carême – García, Candela, Bazola ; Guignard, Galletier, Camboulas (Ambronay)
→ Avec Médée, le fameux Te Deum et le Magnificat H.76, on tient là la plus belle œuvre de Charpentier, inestimable ensemble de dix épisodes de la passion racontés en latin (et s'achevant au miroir du sacrifice d'Isaac, sans sa résolution heureuse !) par des chœurs tantôt homorythmiques tantôt contrapuntiques, et ponctués de récitatifs de personnages (diversement sympathiques) des Écritures. Merveille absolue de l'harmonie, de la prosodie et de la poésie sonore.
→ Ce que font Les Surprises est ici merveilleux, sens du texte et des textures hors du commun, d'une noirceur et d'une animation dramatique inhabituelles dans les autres versions de cette œuvre, et servi au plus suprême niveau de naturel chanté. Un des disques majeurs du patrimoine sacré français.

Bon sang, mais il faut qu'ils arrêtent! Quand est-ce que j'arriverai à écluser toutes les nouveautés-pour-moi de cette rentrée, moi?

(Sinon, je mettrais quand même le Miserere des Jésuites au moins au même niveau que le Te Deum et le Magnificat.)

Iskender a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner : Symphonie n°4 (Jochum DG)

C'est devenu ma version préférée. Il y a ici des respirations et des choix de tempi que je ne retrouve pas ailleurs et rendent le discours irrésistible.

Oui, avec une section de cuivres admirablement captée et différenciée.

----------------

Poulenc : Gloria/Litanies à la Vierge Noire/Stabat Mater (Petitbon/Jarvi)


Du tout bon.

Deux superbes nouveautés mahlériennes chez Alpha:

• Mahler: Symphonie n°7 en mi mineur:

Alexandre Bloch / Orchestre National de Lille
Lille, 2019
Alpha

Grande version! J’ai retrouvé dans cet enregistrement toutes les qualités qui m’avaient frappé lors du concert à la Philharmonie. Voir ici.

• Mahler: Das Lied von der Erde, arr. Reinbert de Leeuw (2010):

Yves Saelens (ténor), Lucile Richardot (mezzo-soprano), Reinbert de Leeuw / Het Collectief
Amsterdam, I.2020
Alpha

Je ne pourrai plus me passer de cet arrangement de Reinbert de Leeuw! Voilà qui exalte l’œuvre en en redistribuant les alliages et les textures de manière très singulière. Voir ici.

Saint-Saëns: Symphonie n°3/Paray

+

Érik Satie
* Sports Et Divertissements
* 3 Gymnopédies
* Gymnopédie N°1
* Gymnopédie N°2
* Gymnopédie N°3
* Celle Qui Parle Trop (N°1 De "Chapitres Tournés En Tous Sens")
* Nocturnes N°3
* Danse Cuirasée (N°2 De "Vieux Sequins Et Vieilles Cuirasses")
* Le Piège De Méduse
       * Premier Menuet
       * Gnossiennes N° 1, 2 & 3
* Véritables Préludes Flasques "Pour Un Chien"
*Espana (N°3 De "Croquis Et Agaceries D'Un Gros Bonhomme En Bois")
       * Embryons Desséchéchés
William Masselos, piano (1968)



Redécouverte de ce CD jamais écouté ou à peine jusqu'à aujourd'hui: très beau programme du pianiste américain William Masselos (1920-1992): animé et cohérent qui se rapproche de celui de Klara Körmendi (Naxos) tout comme son jeu au piano.
Le CD rajoute  quatre oeuvres de Claude Debussy par Alexis Weissenberg (1968).
* Children's Corner
* Clair de Lune
* La Plus Que Lente
* La Fille Aux Cheveux De Lin.

Tchaïkovski - 6eme symphonie - Karajan / Wiener Philharmoniker, 1948

Excellente surprise, je ne connaissais que des versions ultérieures chloroformées. Là Karajan insuffle dès le premier mouvement un souffle splendide à l’orchestre. Évidemment, c’est un enregistrement un peu ancien donc il faut accepter une qualité sonore d’epoque. Une de mes versions préférées avec Gergiev et Munch.

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
• Cantate BWV 161 "Komm, du süße Todesstunde"

Amsterdam Baroque Orchestra & Choir Ton Koopman

Beethoven : Quatuor n°15 (Berg DVD)


-------

https://classik.forumactif.com/viewtopic.php?t=9422