Lectures (6)

arnaud bellemontagne a écrit:

Saint-John Perse : Amers


Relecture.

Avec Amers, Saint-John Perse semble avoir trouvé un sujet aux dimensions de son vaste déploiement verbal (ou emphase, c'est selon)

Perso, j'ai jamais bien accroché à la poèsie de Saint-John Perse,tout en reconnaissant son talent.Un écrivain qui mérite bien plus, pour sa poèsie est Aragon,bon le personnage était ce qu'il était, mais quel immense poète.

Je peux me tromper, mais il me semble qu'Aragon est très reconnu et célébré comme écrivain et poète malgré ses égarements politiques.
Saint-John Perse a été très étudié (notamment par les universitaires), mais je n'ai pas l'impression qu'on le lise encore beaucoup...

arnaud bellemontagne a écrit:

Je peux me tromper, mais il me semble qu'Aragon est très reconnu et célébré comme écrivain et poète malgré ses égarements politiques.
Saint-John Perse a été très étudié (notamment par les universitaires), mais je n'ai pas l'impression qu'on le lise encore beaucoup...

Aragon c'est quand même plus accessible

C'est vrai, mais j'ai l'impression (peut-être fausse) que parmi les poètes difficiles, Mallarmé ou Char sont plus lus que Saint-John Perse.

Plus lu je ne sais pas, mais plus connus certainement, aujourd'hui en tout cas.

arnaud bellemontagne a écrit:

Saint-John Perse : Amers
Avec Amers, Saint-John Perse semble avoir trouvé un sujet aux dimensions de son vaste déploiement verbal (ou emphase, c'est selon)

 : Amers et Vents :  .

Annie Ernaux : Ce qu'ils disent ou rien        1977

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Emeryck a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Saint-John Perse : Amers
Avec Amers, Saint-John Perse semble avoir trouvé un sujet aux dimensions de son vaste déploiement verbal (ou emphase, c'est selon)

 : Amers et Vents :  .

Oui, mes deux recueils préférés.

Relecture de larges extraits de Life, l'autobiographie de Keith Richards.

Quel vécu et quelle leçon de vie.

Françoise Vergès : Une théorie féministe de la violence        2020

 +
Dans la lignée de Un féminisme décolonial, ce livre en utilise notamment le concept de féminisme civilisateur pour essayer de penser une société qui ne serait pas fondamentalement violente - comment définir des régimes de protection qui ne naturalisent pas la violence ? Il y est beaucoup question de l'état (et du féminisme civilisateur qui est le féminisme d'état), de ses méthodes répressives (différentielles) pour distribuer l'espace ; l'approche est bien sûr très intersectionnelle. J'ai trouvé ça moins abouti que Un féminisme décolonial, notamment parce que l'objectif était sans doute nettement plus ambitieux et ça finit un peu en eau de boudin mais j'ai trouvé le livre globalement intéressant et ça donne des idées de lectures futures.

L'autobiographie de keith Richards me ramène à cette autre biographie des Rolling Stones par François Bon.

Et tiens, ce livre me revient entre les mains, heureux de le retrouver, je délaisse mes deux pavés Richards/Rolling Stones pour le premier ouvrage d'Hélène Grimaud: Variations sauvages (Pocket).
J'aime particulièrement les passages où elle se révolte contre le Conservatoire et les professeurs qui lui imposent Chopin alors qu'elle veut jouer Rachmaninoff et Brahms, et même plus tard, après sa participation au Concours Tchaïkovski
de Moscou, auprès de Leon Fleisher, elle ne se gêne pas pour contester son enseignement et critique vertement les master classes.
Elle décide donc de quitter le Conservatoire pour mieux se retrouver seule sans s'inquièter une seconde pour son avenir ...

Annie Ernaux : Journal du dehors        1993

 +

Ravélavélo a écrit:

les passages où elle se révolte contre le Conservatoire et les professeurs qui lui imposent Chopin alors qu'elle veut jouer Rachmaninoff et Brahms

Benedictus a écrit:

Ravélavélo a écrit:

les passages où elle se révolte contre le Conservatoire et les professeurs qui lui imposent Chopin alors qu'elle veut jouer Rachmaninoff et Brahms

Elle écrit: ''J'avais rêvé d'un public, je trouvais un tribunal...''

c’est vrai qu’on manque d’artistes engagées qui s’aventurent dans des répertoires inédits et controversés.

lulu a écrit:

c’est vrai qu’on manque d’artistes engagées qui s’aventurent dans des répertoires inédits et controversés.

On est dans les années '80, les choses ont beaucoup évolué depuis, on lui reprochait aussi d'être trop jeune et de manquer de maturité pour aborder les oeuvres de Brahms et Rachmaninoff ...

Annie Ernaux : "Je ne suis pas sortie de ma nuit"        1997

  +

Mrs Dalloway de Virginia Woolf m'a laissé sur ma faim...
J'ai nettement préféré Vers le phare.

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Baudelaire : Les Fleurs du Mal
Sartre : Baudelaire

Paul Valéry : Cahiers


Un inépuisable concentré d'intelligence.



...dire que ça n'est qu'une anthologie.

Cololi a écrit:

Un Gracq a été retrouvé (datant des années 40) :



(ça sort le 30 mars)

Je viens de le lire.

30 pages de Gracq, d'un récit autonome, se terminant normalement. Mérite d'être lu, à mon avis, car c'est du Gracq pur sucre, avec ses qualités habituelles.

Pour 2 euros , hier sur une brocante, j'ai trouvé les deux volumes du journal de Matthieu Galey (1934-1986).il fut surtout,critique de théatre .  Vraiment un grand écrivain ,ou je ne sais plus ,comment on appelle, les écrivains de journaux. Bref, j'ai parcouru , la moitié du second volume (1974-1986) avec un régal jouissif, à la façon dont il raconte certains évènements . Il a connu Jouhandeau, Mistler, Morand ,Aragon et j'en passe,. il décrit tout ce petit monde avec lucidité et ce n'est pas souvent en leur faveur. Ses amours homosexuelles assez compliquées, comme toutes les amours d'ailleurs. Il a vraiment un regard perçant sur certaines choses ,les petites comme les grandes,il parle souvent de la vieillesse ,de la maladie qui le ronge,et des réflexions qu'il entend.Vraiment un grand journal, qu'on peut placer à la suite de celui de Gide.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce grand écrivain, quelques réflexions ,vite fait .

gluckhand a écrit:

je ne sais plus ,comment on appelle, les écrivains de journaux.

On les appelle des diaristes.

(Personnellement, j'avais feuilleté ça il y a au moins un quart de siècle, et j'en garde un souvenir beaucoup moins positif.)

Maurice Leblanc / Victor de la Brigade Mondaine.
Leblanc et Conan Doyle, sont les écrivains que je relis le plus.Ils ont, ce que l'on ne trouve plus beaucoup aujourd'hui.Un monde très bourgeois pour Leblanc, qu'on est presque content, qu'il soit volé et le sens de l'intrigue chez Doyle .Dans Victor, je me disais en le lisant,il se conduit vraiment comme Lupin, que va t'il arriver quand ils vont se rencontrer et bien,ils se rencontrent et il arrive ce que je ne peux pas dire ici.
Pas,un des meilleurs, mais c'est bien fait,c'est facile à lire.
PS: Que j'aime cette édition cartonnée Hachette/Gallimard et non pas Ganimard, avec souvent 3 romans à la suite ,c'est important de lire ,dans certaines éditions, si on le peut bien sûr.

Jules Laforgue : Les Complaintes

Claude Simon : Le Tramway


Simon à son plus proustien.

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Deleuze : Proust et les signes


Plus accessible et révélateur que dans mon souvenir.

arnaud bellemontagne a écrit:

Deleuze : Proust et les signes


Plus accessible et révélateur que dans mon souvenir.

Ça, ça a l'air d'être extraordinaire - mais j'attends d'avoir fini La recherche pour le lire.

Curieuse sensation hier soir en poursuivant ma lecture de l'autobiographie Life de Keith Richards.
Dans le Chapitre Sept, il nous parle de son amitié avec Gram Parsons, un musicien américain aujourd'hui décédé des suites d'une overdose à l'âge de 26 ans.
Richards en parle d'une manière telle que je croyais lire Thomas Bernhard dans son roman Le Neveu de Wittgenstein (sous-titré Une amitié).
Le ton est absolument le même: émouvant, sincère et élogieux.

Et puis il y a le premier tome de la biographie sur Arthur Rubinstein: Les Jours de ma Jeunesse (R. Laffont, 1973).
J'aimerais bien relire ce livre, je passe à la bibliothèque municipal, il n'est plus listé.
Si je le veux vraiment, je dois le passer en commande ...



Ça compléterait le Tome 2 Grande est la Vie que j'ai déjà.

Annie Ernaux : La vie extérieure        2000

 +
Dans la droite lignée de Journal du dehors, il y a quelques fragments qui m'ont plu mais ce n'est pas ce que je préfère chez Ernaux (même si j'aime bien, je crois que je préfère ça à un livre du genre Passion simple - d'ailleurs, le prochain est Se perdre, j'ai peur que ce soit dans le même style que Passion simple mais sur 400 pages.)

Jacques Rancière : Le philosophe et ses pauvres        1983

 +
Dans ce livre, il est question de quatre philosophes/sociologues (Platon, Marx, Sartre et Bourdieu), chacun ayant droit à un chapitre ; il y est question de leur rapport à l'hétérogénéité sociale, tout est finalement très filé : chez les quatre philosophes/sociologues, on retrouve finalement un partage entre le territoire de l'intellectuel et celui du dominé. J'ai trouvé le chapitre sur Platon un peu long et peut-être un peu répétitif mais les autres sont plus intéressants (dans celui sur Marx, j'ai aimé la partie sur le rapport au prolétaire comme éternel dépossédé et le rapport de Marx à l'écriture du Capital que Rancière (justement) à Frenhofer du Chef d'œuvre inconnu ; pour le chapitre sur Sartre, j'ai aimé la partie sur son rapport à la dialectique matérialiste (c'est vraiment bizarre, les théories de Sartre, quand même)) même si je dois dire que j'ai trouvé celui sur Bourdieu peut-être un peu décevant ; il est tout de même intéressant mais finalement il se résume assez vite : il ne montre finalement rien d'extrêmement nouveau (sur ce point, je ne sais pas tellement : si maintenant, la violence symbolique et la reproduction sont de notoriété publique - sans que rien pour autant ait fondamentalement changé d'un point de vue institutionnel, c'est également un des points de Rancière -, je ne sais pas ce qu'il en était à l'époque où Bourdieu écrivait ses livres) et que, sous couvert de l'expérience de terrain (garante de la vérité vraie, un biais de méthode étant bien sûr impossible... - cette dichotomie apparaît d'ailleurs nettement dans la vision qu'a Bourdieu de la littérature), il démontre des choses (objectives, cela va sans dire) mais bien sûr, il faut garder cette dimension nébuleuse de la domination par laquelle le/la dominé(e) est aveuglé(e) ; une illustration assez typique de ça (et de ce statut différencié de l'intellectuel) me semble être son livre La domination masculine qui, en plus d'utiliser les idées de travaux féministes sans les citer (ou alors quand il cite, c'est pour critiquer), nous dit que finalement Bourdieu peut mieux écrire là-dessus car il n'est pas l'objet de ces dominations - je ne parle même pas de la dernière partie où il nous raconte que l'amour est finalement la solution à tout ça.
Bref, pour revenir à Rancière, j'ai été surpris de voir à quel point tout était filé et même si, bien sûr, ces penseurs (Marx et aussi Sartre et Bourdieu) ont eu un rôle dans (une certaine partie) de la vie militante de gauche, ils reproduisent finalement une vision différencié de l'intellectuel. Ça m'a également (paradoxalement ?) donné envie de me plonger un peu plus sérieusement dans certains Bourdieu - même si j'ai toujours un peu repoussé ce moment de peur que ça m'ennuie.

Barthes : Marcel Proust Mélanges


Rassemble tout ce que Barthes a pu dire et écrire sur Proust, son écrivain de coeur.

Tolstoi : Guerre et Paix Tome 1

Tiqqun : Contributions à la guerre en cours        2009


Ce livre regroupe trois textes du groupe : Introduction à la guerre civile où, en gros, ils glosent dans un style situationniste sur la théorie de l'état d'exception d'Agamben et où tout semble repris de ce dernier (l'utilisation des numéros et le paysage référentiel notamment - mais sans doute d'autres choses que je n'ai pas relevées car je ne connais quasiment rien à Agamben) ; un texte sur les dispositifs (ça aussi, c'est du Agamben) où ils exposent leur théorie de la crise de la présence - où ils nous disent que les sorciers et les magiciens (pas les chamanes ou les hommes qui venaient encore avant, malheureusement), eux, n'étaient pas tombés dans le piège de l'unité du sujet - il y a d'ailleurs des passages assez énormes où l'on apprend qu'en fait la RATP est un exemple de dispositif géant et qu'elle avait une "passion policière spécifique qui ne l'avait jamais quittée depuis Vichy", ce n'est pas le seul passage dans ce genre. Le livre se finit par un texte intitulé Comment faire ? qui est dans un style plus lyrique (il y a quelques lignes qui sont pas mal) mais qui est à nouveau sans grand intérêt. Bref, les apports ne sont vraiment pas très intéressants (les meilleurs passages - à part les lignes précédemment mentionnées - étant soit des citations soit des idées venant d'autres philosophes) et surtout, un ton que je trouve assez pénible.

Emeryck a écrit:

pas les chamanes ou les hommes qui venaient encore avant, malheureusement

Cela dit, ce n'est pas plutôt les chamanes qui n'étaient pas les hommes préhistoriques mais ceux qui viennent juste après?

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

pas les chamanes ou les hommes qui venaient encore avant, malheureusement

Cela dit, ce n'est pas plutôt les chamanes qui n'étaient pas les hommes préhistoriques mais ceux qui viennent juste après?

Ah oui ! Exactement ! Il faut que je révise...

Annie Ernaux : L'occupation        2002

 + / 

Je viens de recevoir mon livre d'Arthur Rubinstein: Les Jours de ma Jeunesse.

On y apprend dès la première phrase qu'il doit sa vie à sa tante et que ses parents ne voulaient pas lui ...

Il y a un troisième Tome qui clôt cette trilogie autobiographique d'Arthur Rubinstein: Ma jeune vieillesse.
Le livre est épuisé depuis longtemps et totalement hors de prix.

J'ai reçu hier la biographie de Victor Bockris sur Keith Richards: Une guitare dans les veines.

Hier soir sur Arte, un docu sur L'origine et sur le sujet des Mille et une nuits.D'abord, je trouve qu'on néglige beaucoup trop,celui qui les a introduit en France Antoine Galland (1646-1715)Cet orientaliste a fait rêver des dizaines de milliers de personnes dont moi.Il  est né,pas loin de chez moi, mais sans celà, je trouve qu'il n'a pas la place qu'il mérite, même si l'on sait aujourd'hui, que c'était tronqué et arrangé,pour être lu par un grand public.Ce sont des textes que je relis chaque année avec le même plaisir et la même joie. Quelques mots rapides sur un sujet qui me tient à coeur.Merci Antoine Galland

Je ne sais pas si ça te consolera, mais dans chez les spécialistes du XVIIIe français, c'est une figure absolument fondamentale et tout à fait reconnue.

Du grand public, il est moins connu, mais peu d'auteurs du début du XVIIIe le sont…

Barbey d'Aurevilly : Une histoire sans nom + 3 nouvelles

[quote="Parsifal"][quote="gluckhand"][quote="lulu"]je veux bien que tu m’expliques en quoi ne pas avoir de rapports avec des femmes te semble plus choquant qu’en avoir avec des enfants oui.[/quote]
Je suis pas dans la morale moi, j'explique une situation qui s'est passé.
[/quote]

Non tu n'explique rien du tout, tu enfonce des portes ouvertes avec une maladresse qui interroge a juste titre.
Que viennent faire "les rapports inexistants avec les femmes" là dedans, il me semble que ça n'a pas a être mis en équivalence avec sa pédophilie, hors c'est ce que ton post suggère (peut être/sans doute par maladresse dans sa formulation).
Et parler de penchants secrets pour englober homosexualité et pédophilies n'arrangent certainement pas les choses... [/quote]

C’est incroyable de s’en prendre au propos de bon sens de gluckhand. Vous jugez qu’il se trompe en pointant l’absence (supposée par lui et vous) de rapport aux fzmmes de ces écrivains, ce qui certes n’est pas en soi un scandale si c’est consenti, bien vécu (pour le dire simplement). Tandis que vous passez leur rapport pervers aux enfants sous silence, vous lui faites des remontrances à la mode genre du jour. Mais le vrai problème qui vous échappe est la dénaturation qui consiste, pour des hommes, à sexualiser leur rapport aux enfants, en omettant tout sainement de rapporter leur sexualité aux femmes. Vous manquez la relation dialectique qui articule la sexualité de ces hommes vers les enfants [u]au lieu[/u] des femmes.
Vous défendez une fausse morale en reprenant gluckhand. Il vous manque une bonne dose de philosophie et d’éducation saine. Être français, à cet égard, sera de moins en moins une excuse. Je ne pouvais pas passer sous silence de tels grossièretés dont l’esprit est absent. J’ignore quels métiers vous exercez ou allez faire, mais ceci est un strict rappel éthique.

AntiGhost ~% a écrit:

l’absence (supposée par lui et vous) de rapport aux fzmmes de ces écrivains, ce qui certes n’est pas en soi un scandale si c’est consenti, bien vécu (pour le dire simplement).

ah oui, le consentement dans une absence de relation, très très fort.

AntiGhost ~% a écrit:

J’ignore quels métiers vous exercez ou allez faire, mais ceci est un strict rappel éthique.

tandis que votre métier consiste à déterrer de vieilles discussions pour être complètement à côté de la plaque et à défendre des propos d’après lesquels ne pas avoir de relations avec des femmes serait un écart moral plus grand et/ou un secret plus choquant qu’avoir des « relations avec des enfants » (la formule elle-même ayant un fort relent pro-pédo), je suppose ?

Mireille Cardot & Nicole-Lise Bernheim : Mersonne ne m'aime        1978


Vraiment très drôle voire délirant par moments et constamment inventif.

J'ai enfin fini le bouquin sur Led Zeppelin 🤭incroyable les mecs...
J'ai même parfois ri tellement c'était cocasse...
J'en rêve là...🫡

Perso ce bouquin ne m'a pas fait rire.
A vrai dire je les trouve assez pathétiques ( à l exception de John-Paul Jones qui sauve l'honneur) sans parler du manager Peter Grant à la limite du mafioso.