Playlist (140)

lulu a écrit:

comme je suis une personne d’un gout sûr j’adore la troisième de Khatchatourian.

Moi non plus.

Franz Liszt
Don Sanche ou le Château d'amour
Opéra-féérie en 1 acte (1ère représentation le 17 octobre 1825)
Livret de MM.Théaulon et de Rancé

Hungarian State Opera Orchestra & Hungarian State Opera Chorus & Hungarian State Radio /Télévision Chorus &  Tamás Pál
Don Sanche: Gérard Garino (le rôle a été créé par Adolphe Nourrit)
Elzire: Julia Hamari
Alidor: Istvan Gati
Le page: Katalin Farkas
Zélis: Ildiko Komlosi
Une dame de la cour: Maria Zadori
Un chevalier: Gabor Kallay

Suggestion issue du fil "opéras imaginaires, rêvés, abandonnés..."
et ce qu'en écrit DLM sur diaire sur sol
"Ce premier et unique opéra de Liszt, composé à l'âge de treize ans, est d'une qualité proprement scandaleuse. J'aime souvent à y revenir pour sa couleur franche et optimiste, il y a là un côté rossinien légèrement lissé qui est très poétique et très séduisant, sans la platitude des formules figées italiennes, et de superbes récitatifs français.
L'unique version, par Tamás Pál (chez Hungaroton), est très réussie, dans un français pas toujours idéalement clair mais jamais déformé, toujours élégant, et dominé par la très belle couleur mixte de Gérard Garino dans le rôle-titre."

Proprement stupéfiant de faire preuve d'une telle maîtrise à 13 ans ! et de retenir aussi aisément l'attention pendant 90 minutes.
Mais enfin que faisions-nous donc à cet âge ?

L'air de Don Sanche de la scène II "aimer voilà toute ma gloire ! aimer voilà tout mon bonheur! ..." me rappelle furieusement "quelque chose"; mais quoi ?

Le livret et la distribution sont ici
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k852613q/f1.image

arnaud bellemontagne a écrit:

Une adresse pour les photons ?

Si tu veux voir la Lumière, Le Messie de Haendel, ça irradie de la cave au grenier

Au fait, y a quelques années que je te l'avais conseillé, as-tu pris le temps d'essayer ?

lulu a écrit:

comme je suis une personne d’un gout sûr j’adore la troisième de Khatchatourian.

Ah tiens, lulu, je n'aurais pas imaginé que ça puisse faire partie des choses que tu adores ! En tout cas, je suis beaucoup moins surpris par l'enthousiasme d'Anastasia

Roupoil a écrit:

Ces derniers temps, un petite thématique "concertos pour violons du 20ème siècle" (bon, la thématique a légèrement dégénéré vers la fin, comme vous pourrez le constater) :

Spoiler:

L'occasion de rappeler ce grandiose Blind Test (auquel tu n'avais pas participé) : https://classik.forumactif.com/t8035p50-melo-bt-n8-best-of-concertos-pour-violon

Le niveau III se consacrait aux concertos du XX° siècle, -la liste des 25 oeuvres retenues figure quelques messages avant la fin de la page.

Les crincrins de la Nuit...





Au programme ce soir :    L. Beethoven – J. Brahms – J. Sibelius – S. Prokofiev – W. Piston

1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°5 en fa majeur, Op. 24

= Wolfgang Schneiderhan, violon ; Wilhelm Kempff, piano

(DG, septembre 1952)

@Lulu : Celle-là tu nous l'avais jamais faite

Andrei Eshpai (1925-2015)
Symphonie N° 3 "À la mémoire de mon père" (1964)
Orchestre Symphonique de la Radio et Télévision de l'URSS
Vladimir Fedosseyev, direction



/watch?v=NRzwcbgVuS4

2) Johannes Brahms (1833-1897) :

Sonate n°1 en sol majeur, Op. 78
Sonate n°2 en la majeur, Op. 100

Itzhak Perlman, violon
Vladimir Ashkenazy, piano

(Emi, avril 1983)

Cololi a écrit:

@Lulu : Celle-là tu nous l'avais jamais faite

dire que j’aime bien la troisième symphonie ? ah si, je le dis de temps en temps... je me rappelle même d’un vieux message où je le disais pour répondre à une de tes questions !

lulu a écrit:

Cololi a écrit:

@Lulu : Celle-là tu nous l'avais jamais faite

dire que j’aime bien la troisième symphonie ? ah si, je le dis de temps en temps... je me rappelle même d’un vieux message où je le disais pour répondre à une de tes questions !

Oh c'est possible, ma mémoire ...
Par contre la tienne

Geirr Tveitt  
Concerto n°1 pour Violon Hardanger et Orchestra  
Arve Moen Bergset violon , Stavanger symphony Ochestra , ole kritian Rüüd

Très etrange les sonoritées d'un violon Hardanger , c'est très exotique !


Prillar  
Stavanger symphony Ochestra , ole kritian Rüüd

Epique (comme les premiers poèmes symphonique de Sibelius , ou la Symphonie n°2 de Madetoja) et coloré

j'aimerai écouter ça au concert !

3) Jean Sibelius (1865-1957) :

Concerto en ré mineur, Op. 47

= Jascha Heifetz, violon ; Walter Hendl, Orchestre symphonique de Chicago

(RCA, janvier 1959)

écouté en SACD...
Interprétation magistrale mais un peu impersonnelle.
Je préfère le premier enregistrement d'Heifetz, à Londres avec Beecham en 1935.

4) Sergueï Prokofiev (1891-1953) :

Concerto n°2 en sol mineur, Op. 63

= David Oistrakh, violon ; Alceo Galliera, Philharmonia Orchestra

(Columbia, mai 1958)

5) Walter Piston (1894-1976) :

Sonatina for violin and harpsichord

= Alexander Schneider, violon ; Ralph Kirkpatrick, clavecin

(Columbia, février 1951)

Succulent et très sucré  

Mélomaniac a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Une adresse pour les photons ?

Si tu veux voir la Lumière, Le Messie de Haendel, ça irradie de la cave au grenier

Au fait, y a quelques années que je te l'avais conseillé, as-tu pris le temps d'essayer ?

Oui, j'avais fait la démarche de l'écouter et puis mon attention a été captée par un autre compositeur plus proche de ma sensibilité (Wagner, Sibelius, Bartók, Brahms, Schoenberg, Mahler...).J'ai de toute façon 2/3 versions par devers moi, donc j'y viendrai forcément.

-------------

Schoenberg : Variations pour orchestre (Gielen)


Ce coffret est une vraie mine d'or.  

Donizetti : Maria Stuarda (Charles Mackerras - Scottish chamber orchestra, 2002 : Barbara Frittoli, Anna Caterina Antonacci, Jonathan Lemalu, Christopher Purves, Paul Charles Clarke, Rachel Hynes)

Moui... un peu déçu... j'attendais pas mal Frittoli dans ce rôle, mais en dehors de la prière finale qui trouve un beau souffle et une ampleur certaine, ça reste un peu trop propre... elle était encore bien lisse à l'époque. Et même Antonacci finalement manque un peu de hargne par rapport à ce qu'elle a donné par la suite.

arnaud bellemontagne a écrit:

Ce coffret est une vraie mine d'or.  

j’ai vu que le coffret suivant sera consacré à la musique d’après 1945... je suis impatiente de découvrir son contenu, j’espère qu’il y aura quelques inédits.

**

ici :

Enno Poppe : Rundfunk pour neuf synthétiseurs (2018)
ensemble mosaik

Brahms sextuor à cordes n°2 op.36   Capuçon renaud et gautier , caussé , koncz,chilemme,hagen



J'écoute davantage le mainstream  que j'ai l'air ...  

Destouches : Issé (Louis-Noël Bestion de Camboulas - Les Surprises, 2018 : Judith van Wanroij, Mathias Vidal, Thomas Dolié, Chantal Santon-Jeffery, Matthieu Lécroart, Eugénie Lefebvre, Etienne Bazola, Stéphen Collardelle, Aël-Lynn Poupard)

Bon, ça reste une pastorale héroïque, mais quand même c'est autrement plus consistant que Naïs par exemple... il y a plus de variété, moins de petites danses bien mignonettes... non, on voit qu'on est encore dans la ligne droite de LULLY!
Bon, l'interprétation voisine le superbe et le moins... toujours un peu de mal avec Van Wanroij dans ce répertoire...
Sinon, très bel ensembles des Surprises...

Polyeucte a écrit:

Destouches : Issé (Louis-Noël Bestion de Camboulas - Les Surprises, 2018 : Judith van Wanroij, Mathias Vidal, Thomas Dolié, Chantal Santon-Jeffery, Matthieu Lécroart, Eugénie Lefebvre, Etienne Bazola, Stéphen Collardelle, Aël-Lynn Poupard)

Bon, ça reste une pastorale héroïque, mais quand même c'est autrement plus consistant que Naïs par exemple... il y a plus de variété, moins de petites danses bien mignonettes... non, on voit qu'on est encore dans la ligne droite de LULLY!
Bon, l'interprétation voisine le superbe et le moins... toujours un peu de mal avec Van Wanroij dans ce répertoire...
Sinon, très bel ensembles des Surprises...

Le livret reste parfaitement transparent (pour ne pas dire carrément nul, jusque dans l'expression…), impossible de m'en rappeler l'intrigue deux jours après l'avoir vu en concert…

Très déçu pour ma part ; une œuvre qui a fait beaucoup pour la réputation de Destouches à une époque où Louis XIV s'était pourtant largement détourné du théâtre… Le Prologue, avec les Muses effrayées, est très réussi (et Eugénie Lefebvre tétanisante !), mais sinon, je trouve l'ensemble vraiment très peu intéressant, surtout que l'interprétation des Surprises n'est pas très contrastée (voire un peu égale / molle, ai-je trouvé).

Quand même de très belles individualités, avec Poupard, Lécroart, superbes comme toujours – et Santon dans un très bon jour !

Georg Friedrich Haendel : Scipione        1719 / Les Talents Lyriques (Rousset)
 + /
Il y a des choses qui m'ont agacées (les fioritures vocales omniprésentes) mais il y a des passages qui m'ont beaucoup séduit.

Moussorgky/Rimsky : Boris Godounov (Nikolaï Golovanov - Orchestre du Bolshoï de Moscou, 1948 : Mark Reizen, Maxim Mikhaikov, Georgy Nelepp, Nikander Khanayev, Ivan Kozlovsky, Maria Maksakova,...)

Mais que cet enregistrement est génial! Franchement, si on pouvait avoir ça dans une qualité sonore de haut niveau (et sans coupure), on pourrait tout simplement arrêter d'enregistrer Boris...
Bon, je ne reviendrais pas forcément sur les détails, j'avais fait un retour ICI il y a quelques temps... et tout est toujours aussi fabuleux!

Zelenka : Ouverture a 7 en fa majeur ; Hipocondrie a 7 en la majeur ; Concerto a 8 en sol majeur ; Simphonia a 8 en la majeur (Il Fondamento, Paul Dombrecht).

C'est tout à fait dans le style de l'époque, mais avec des « bizarreries » qui rendent la chose plutôt attachante. Plaisant .

Geirr Tveit
Concerto pour piano N°1
Concerto pour piano N°4

Stavanger Symphony Orchestra & Ole Kristian Ruud
Sveinung Bjelland: Concerto pour piano N°1
Håkon Austbö: Concerto pour piano N°4

Label Bis

Pas impérissable.

• Lalo: Symphonie espagnole pour violon et orchestre, op. 21. Concerto pour violoncelle et orchestre en ré mineur:

Lorenzo Gatto (violon), Ori Epstein (violoncelle), Jean-Jacques Kantorow / Orchestre Philharmonique Royal de Liège
Liège, I & VII.2015
Alpha

Trouvé ça mauvais. Voir ici, si vous y tenez.

Schoenberg : 5 pièces pour orchestre (Gielen)

Rarement entendu une pièce n°2 (et un Farben) aussi poétique.

Les Fjords du vendredi...





Au programme :    C. Nielsen – E. Grieg – J. Sibelius – E. Rautavaara

1) Carl Nielsen (1865-1931) :

Symphonie n°4 « L’Inextinguible », Op. 29

= Jean Martinon, Orchestre symphonique de Chicago

(RCA, avril 1967)

Quelle raclée de photons !, je viens me me prendre une rafale de candelas dans la figure...

greg skywalker a écrit:

Brahms sextuor à cordes n°2 op.36   Capuçon renaud et gautier , caussé , koncz,chilemme,hagen



J'écoute davantage le mainstream  que j'ai l'air ...  

Je déteste cette version !

Sinon,

Schumann - Romances pour hautbois et piano, op. 94; Phantasiestücke pour clarinette et piano, op. 73; Märchenbilder, op. 113
Eric Le Sage, Leleux, Queyras, Tamestit
Un disque fantastique avec le Schumann que je préfère !


Bridge - The Sea
Judd, NZSO
Très joli !

von Weber - Trio pour flûte, op.63
Gililov, Adorjan, Pergamenschikow

Anaxagore a écrit:

Zelenka : Ouverture a 7 en fa majeur ; Hipocondrie a 7 en la majeur ; Concerto a 8 en sol majeur ; Simphonia a 8 en la majeur (Il Fondamento, Paul Dombrecht).

C'est tout à fait dans le style de l'époque, mais avec des « bizarreries » qui rendent la chose plutôt attachante. Plaisant .

C'est tout-à-fait charmant comme musique dans le style de celle de Bach, Haendel et Vivaldi.
Ton écoute m'a redonné le goût d'écouter ce CD avec le même programme mais avec la Camerata de Berne.  

Spoiler:

C'est très très bien Zelenka ! J'en parlais récemment ici.
Il y a des choses que j'adore, comme le Misere, le Requiem ou le Psaume De Profundis !
J'aime autant sa musique sacrée que profane.

Ben. a écrit:

greg skywalker a écrit:

Brahms sextuor à cordes n°2 op.36   Capuçon renaud et gautier , caussé , koncz,chilemme,hagen



J'écoute davantage le mainstream  que j'ai l'air ...  

Je déteste cette version !

C'est bien d'avoir des goûts aussi affirmé !  Perso , cette version me convient bien . Pour les sextuors tu écoutes qui ?

J'ai souvent beaucoup de mal avec Capuçon(s).

La version historique: Stern/Katims/Casals/Scneider/Thomas/Foley
La version live: Cypress String Quartet/Shiffman /Bailey
La version qui plaira à tout le monde: Amadeus/Aronowitz/Pleeth
La version impeccable: Prazak/Holman/Fortin
Ma version préférée: Talich/Kanka/Kluson

Je crois que certains aiment Saint Martin in the Fields mais je trouve ça trop rond.

greg skywalker et Ben., si vous pouviez développer dans le fil discographique sur la musique de chambre de Brahms ici, ça m'intéresserait vraiment beaucoup...

arnaud bellemontagne a écrit:

-------------

Schoenberg : Variations pour orchestre (Gielen)


Ce coffret est une vraie mine d'or.  

Et je me suis laissé tenter par la nuit transfigurée (version orchestre à cordes)

2) Edvard Grieg (1843-1907) :

Sigurd Jorsalfar, musique de scène Op. 22

Kjell Magnus Sandve, ténor
Ensemble vocal Gösta Ohlin ; Choeur de chambre Pro Musica
Neeme Järvi, Orchestre symphonique de Göteborg

(DG, juin 1987)

Mélomaniac a écrit:

5) Walter Piston (1894-1976) :

Sonatina for violin and harpsichord

= Alexander Schneider, violon ; Ralph Kirkpatrick, clavecin

(Columbia, février 1951)

Succulent et très sucré  

Avec, pour mon goût, quelques fortes pointes d'acidité dans le 1er et le 3ème mouvements

3) Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°4 en la mineur, Op. 63

= Lorin Maazel, Orchestre symphonique de Pittsburgh

(Sony, septembre 1990)

Cette intégrale pennsylvanienne (encensée par DLM, je crois) ne m'a jamais passionné : trop lisse, aseptisée (perception certainement conditionnée par le prise de son),
toutes qualités qui s'accepteraient peut-être pour les camaïeux de la symphonie n°6, mais qui pour cette n°4 s'avèrent contre-productives et rédhibitoires.
Malgré ses défauts (surinterpétation, rhapsodisme systématisé...) je préfère encore la première intégrale de Maazel à Vienne, autrement flattée par les micros de Decca.

Johannes Brahms
* Quatre Ballades
Frédéric Chopin
* Quatre Ballades
Alain Lefèvre, piano

4) Jean Sibelius (1865-1957) :

En Saga, op. 9
Chevauchée nocturne et Lever du soleil, Op. 55
Les Océanides, Op. 73

= Antal Doráti, Orchestre symphonique de Londres

(Emi, juin-août 1969)

Moussorgski : Boris Godounov (Karajan)


Grandiose.

arnaud bellemontagne a écrit:

Moussorgski : Boris Godounov (Karajan)
Grandiose.  

Mais Karajan a enregistré la version édulcorée de Rimsky ; ... tu ne préfères pas la version originale  ?

Ben. a écrit:

C'est très très bien Zelenka ! J'en parlais récemment ici.
Il y a des choses que j'adore, comme le Misere, le Requiem ou le Psaume De Profundis !
J'aime autant sa musique sacrée que profane.

Idem. Tout ce que j'ai entendu de Zelenka à ce jour m'a en effet plu  ...

5) Jean Sibelius (1865-1957) :

Suite Karelia, Op. 11

= Alexander Gibson, Orchestre symphonique de Londres

(Decca, février 1959)

De loin la plus stimulante version que j'en connaisse, avec celle (plus bariolée mais moins disciplinée) de Malcolm Sargent avec le Wiener Philharmoniker (HMV).
Particulièrement inspirée, finement réalisée et spectaculaire quand il faut, avec au besoin un ton rustre qui convient parfaitement à ces tranches de folklore épique
Dans le Alla Marcia conclusif, Gibson attise la trépidante cavalcade avec une exaltante virtuosité.
Superbe prise de son, réalisée au Kingsway Hall par Kenneth Wilkinson.

Anaxagore a écrit:

Ben. a écrit:

C'est très très bien Zelenka ! J'en parlais récemment ici.
Il y a des choses que j'adore, comme le Misere, le Requiem ou le Psaume De Profundis !
J'aime autant sa musique sacrée que profane.

Idem. Tout ce que j'ai entendu de Zelenka à ce jour m'a en effet plu  

Et la Missi dei Filii par Frieder Bernius (DHM) !

arnaud bellemontagne a écrit:

Schoenberg : 5 pièces pour orchestre (Gielen)

Rarement entendu une pièce n°2 (et un Farben) aussi poétique.

J'ai entendu récemment son interprétation chez Wergo (1987), je ne sais si c'est le même enregistrement, mais ça ne m'avait pas emballé.
Un peu plat, manque de force, et même quelques imprécisions dans Vorgefühle.