Playlist (141)

Maurice Ravel
* Jeux d'eau
Hélène Grimaud, piano
C'est joué avec beaucoup de souplesse et d'agilité.
J'aimerais l'entendre dans Miroirs.

Franz Liszt
* Jeux d’eau à la Villa d’Este
Hélène Grimaud, piano
Grimaud me touche davantage dans cette oeuvre que dans celle de Ravel.
Mélodie et virtuosité se confondent ici de magnifique façon.

Gérard Masson : Quatuor à cordes nº1 (1973)
Quatuor Parrenin
Betsy Jolas : Quatuor à cordes nº3 (1973)
Quatuor Parrenin
André Boucourechliev : Archipel 2 (1968)
Quatuor Parrenin

Beethoven : Symphonie n°3 (Karajan)

Bruno Maderna : Quartetto per archi in due tempi (1955)
Arditti Quartet
Herbert Brün : Quatuor à cordes nº3 (1960)
LaSalle Quartet
Günther Becker : Quatuor à cordes nº1 (1963)
Assmann-Quartett

lulu a écrit:

Betsy Jolas : Quatuor à cordes nº3 (1973)
Quatuor Parrenin

Il existe un enregistrement commercial?

lulu a écrit:

André Boucourechliev : Archipel 2 (1968)
Quatuor Parrenin

lulu a écrit:

Bruno Maderna : Quartetto per archi in due tempi (1955)
Arditti Quartet

J'aime énormément ces deux-là.

Benedictus a écrit:

Il existe un enregistrement commercial?

oui, par le Concord String Quartet, un disque CRI réédité par New World/CRI.

Benedictus a écrit:

J'aime énormément ces deux-là.

je sais, j’ai pensé à toi en les mettant à mon programme.

de toute façon, Maderna c'est le bien.

lulu a écrit:

oui, par le Concord String Quartet, un disque CRI réédité par New World/CRI.

Merci pour l'info!

lulu a écrit:

je sais, j’ai pensé à toi en les mettant à mon programme.

Wolfgang Rihm - Frage pour voix de femme et ensemble
/watch?v=qOTS3ZIqXm0

Chostakovitch : Symphonie n°4 (Gergiev DVD)

W. A. Mozart
* Symphonie no. 32 & 36 'Linz'
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan

Dans le style de Josef Krips, mais la prise sonore est mauvaise ici, j'écoute ça sur mini-cassette.

Bloch: Poèmes de la mer, Nirvana, Dans la nuit, 5 esquisses en sépia/Kassai

+

Bloch: Ex-voto, Sonate pour piano/Kassai

+

Parce que je suis aussi capable d’écouter des symphonies mainstream:

• Brahms: Symphonie n°3 en fa majeur, op. 90:

Rafael Kubelik / Wiener Philharmoniker
Vienne, IX.1957
Decca / Éloquence

Redécouverte enthousiaste: cela faisait très longtemps que je n’avais pris un tel plaisir à la 3ᵉ! Voir ici.

• Sibelius: Symphonie nº5 en mi bémol majeur, op. 82:

Sakari Oramo / City of Birmingham Symphony Orchestra
Birmingham, IV.2001
Erato

Cette version Oramo a de beaux atouts, mais après mon enthousiasme pour la 4ᵉ, c’est une grosse déception (en tout cas, par rapport à mes attentes.) Voir ici.

Bloch: Danse sacrée, Visions et prophéties/Kassai

+

Bloch: Schelomo/Rostropovitch, Bernstein

+

Le livre d'Aliénor
Ensemble De Caelis
Laurence Brisset



voir ici

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no. 10
Atlanta Symphony Orchestra
Yoele Levi
1 CD Telarc, 1990

Au moins 2 autres CD sont disponibles avec les symphonies 5 & 9 et la 8 par le même orchestre.

Moi aussi je suis en mode Chosta...

Chostakovitch : Symphonie n°8 (Gergiev DVD)

Joseph Haydn
Hob.XV.37 en fa majeur
Hob.XV.C1 en ut majeur
Hob.XIV.N°6 en sol mineur

Beaux-Arts trio

Label Philips

Ecouter plus souvent F.J.H. !

arnaud bellemontagne a écrit:

Moi aussi je suis en mode Chosta...

Chostakovitch : Symphonie n°8 (Gergiev DVD)

Oui, avec ton beau coffret Gergiev DVD, tu as de quoi te régaler,

Oui, vraiment.

Ce sont les concerts de l'époque de Pleyel, non? (2013 environ?)

Précisément.

Nouvelle écoute de:

REQUIEM
The pity of war

Ian Bostridge / Antonio Pappano



voir ici
et sourtout ici

Les choucroutes du week-end...





Au programme :   A. Bruckner – J. Brahms – R. Strauss – M. Reger – F. Schmidt

1) Anton Bruckner (1824-1896) :

Symphonie n°4 en mi bémol majeur

= Bernard Haitink, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Philips, mai 1965)

Même à la fin des années 1980, quand j'ai commencé à lire la presse musicale, Haitink (alors presque quinquagénaire, et trente ans de discographie derrière lui, quand même)
était souvent présenté comme un bon chef, rarement comme un grand -une sorte de Kapellmeister néerlandais, fourmi ouvrière du catalogue Philips où il étoffait le grand répertoire.
Comme on le dit souvent sur ce Forum, il semble avoir accompli sa stature ensuite, après la tenance à Boston, et dans ses live de fin de carrière.
Pourtant, je crois que le temps rendra justice à son premier style, tant la fiabilité, l'humilité, la neutralité, la finesse ne sauraient se démoder face à des témoignages plus idiosyncrasiques.
Enfin relativisons, ses intégrales postromantiques (Bruckner, Mahler) ont toujours joui d'une enviable réputation, dans la presse et dans l'opinion mélomane.
Voilà ce que je me disais en réécoutant cette 4° amstellodamoise : saine, aérée, subtilement nervurée, là où on serait tenté d'abuser de l'opulence de l'orchestre,
mais dont la force et la rumeur se traduisent ici plutôt par un tramage qui élucide la structure sans l'opacifier.

Jean Barraqué : Quatuor pour quatuor à cordes        1949-50 / Quatuor Diotima
 +
Tadeusz Baird : Quatre dialogues pour hautbois et orchestre de chambre        1964 / Faber, Warsaw PNSO (Rowicki)
 +
Andrzej Dobrowolski : Musique pour trois accordéons, harmonica et percussions        1977 / Trio d'accordéons de Varsovie, Zgraja, Groupe de percussions de Varsovie

Henryk Gorecki : Scontri per orchestra op. 17 pour orchestre        1960 / Polish RNSO (Wit)

Romuald Twardowski : Antiphon pour orchestre        1961 / Silesian State PSO (Stryja)
 +
Kazimerz Serocki : Impromptu fantasque pour ensemble        1973 / Ensemble instrumental du grand théâtre philharmonique national de Varsovie (Krenz)
 +

Mélomaniac a écrit:

1) Anton Bruckner (1824-1896) :

Symphonie n°4 en mi bémol majeur

= Bernard Haitink, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Philips, mai 1965)

Même à la fin des années 1980, quand j'ai commencé à lire la presse musicale, Haitink (alors presque quinquagénaire, et trente ans de discographie derrière lui, quand même)
était souvent présenté comme un bon chef, rarement comme un grand -une sorte de Kapellmeister néerlandais, fourmi ouvrière du catalogue Philips où il étoffait le grand répertoire.
Comme on le dit souvent sur ce Forum, il semble avoir accompli sa stature ensuite, après la tenance à Boston, et dans ses live de fin de carrière.
Pourtant, je crois que le temps rendra justice à son premier style, tant la fiabilité, l'humilité, la neutralité, la finesse ne sauraient se démoder face à des témoignages plus idiosyncrasiques.
Enfin relativisons, ses intégrales postromantiques (Bruckner, Mahler) ont toujours joui d'une enviable réputation, dans la presse et dans l'opinion mélomane.
Voilà ce que je me disais en réécoutant cette 4° amstellodamoise : saine, aérée, subtilement nervurée, là où on serait tenté d'abuser de l'opulence de l'orchestre,
mais dont la force et la rumeur se traduisent ici plutôt par un tramage qui élucide la structure sans l'opacifier.

C'est avec cette version que j'ai découvert la Quatrième quand j'étais petit (j'avais 16 ans)  et je souscris pleinement, même si j'ai découvert mieux ensuite.

«Il n'y a que deux façons de penser de Johann Wilhelm Hässler (1747–1822), soit comme une note de bas de page à juste titre oubliée dans l'histoire de la musique allemande / russe, soit comme rien de moins qu'un génie mineur. Au cours des neuf longues années qui ont pris pour achever ce projet, j'ai alterné entre ces deux points de vue. Je pense qu'il était un génie mineur maintenant. Cet ensemble de deux CD présente, pour la première fois, le magnum opus de Hässler, 360 Preludes in All Keys, et son second magnum opus, la Grande Sonate. Ce ne sera probablement rien de moins qu'une révélation pour l'auditeur. » - Vitlaus von Horn

En effet ce que dit ce très bon pianiste  est très juste et c'est aussi une véritable et très agréable  surprise pour moi, avec cette oeuvre qui dure près de 100 minutes,et avec ce compositeur ,contemporain de Mozart (avec qui il s'était confronté à l'orgue) de Haydn, de Beethoven peut être, d'ailleurs ,qui a ensuite été en Russie,ou il finira sa vie .Mais il réunit à lui seul, dans ce vaste panel,beaucoup de choses qu'on entend couramment chez d'autres compositeurs dont le grand sourdingue, qu'on espère qu'il va faire aussi bien,mais non, Beethoven reste le grand Bééthoven et Hässler reste un formidable musicien à découvrir.

Bloch: Sonate pour piano, Nirvana/Fingerhut

+

Dukas: L'apprenti sorcier/Rophé

Barbarian Beauty
Georg Philipp Telemann (1681-1767)
Concerto en la mineur, pour flûte à bec, viole de gambe et orchestre
Johann Gottlieb Graun (1703-1771)
Concerto en ré majeur pour viole de gambe et orchestre
Antonio Vivaldi (1678-1741)
Concerto en la majeur, pour violon, violoncello all'inglese et orchestre
Giuseppe Tartini (1692-1770)
Concerto en la majeur pour viole de gambe et orchestre

Il Suonar Parlante Orchestra/Vittorio Ghielmi
Vittorio Ghielmi, viole de gambe,
Dorothee Oberlinger, flûte à bec,
Mayumi Hirasaki, violon,
Marcel Comendant, cymbalum

Le titre : « Barbarian beauty » vient de Telemann qui, au cours d’un voyage en Silésie, aurait découvert l’esprit et l’invention instrumentale de cette musique bohémienne « dans toute son authentique et barbare beauté ». Il écrit : « Un auditeur attentif pourrait engranger en huit jours assez d’idées musicales pour meubler le reste de sa vie, je composais par la suite de nombreux trios et concertos dans ce style mais costumés à l’italienne »
Jérôme Angouillant in http://www.clicmusique.com/barbarian-beauty-concertos-baroques-pour-viole-gambe-oberlinger-ghielmi-p-8129.html

Messiaen: Turangalîla-Symphonie/Sado

Le Rêve de l’Orient 

Liste des titres et compositeurs
https://www.deutschegrammophon.com/fr/cat/4791681?

Sarband / Vladimir Ivanoff
Concerto Köln / Werner Ehrhardt

Le programme devait réunir des œuvres du XVIIIème siècle […] et qui allaient être jouées sur instruments d’époque, bien entendu. C’est Olaf Lischke, notre manager qui trouva le titre pertinent de « Rêve de l’Orient »
Vladimir Ivanoff proposa que les musiciens de l’ensemble Sarband se chargent de la « musique turque » (les percussions) comme il était d’usage dans les opéras du XVIIIème, et qu’ils interprètent en alternance des pièces turques originales, les musiciens du Concerto Köln pouvant de leur côté être associés à certaines de ces pièces.
Werner Ehrhardt dans le livret

2) Anton Bruckner (1824-1896) :

Symphonie n°3 en ré mineur

= Carl Schuricht, Orchestre philharmonique de Vienne

(HMV, décembre 1965)

Georg Philipp Telemann (1681-1767)
Frankfurt Sonaten ''Six Sonates à Violon seul, accompagné par le Clavessin''
(sans doute l'Opus 1 de Telemann)

Gottfried von der Goltz (violon),
Torsten Johann (clavecin ou orgue),
Thomas C. Boysen (théorbe),
Annekatrin Beller (violoncelle)

violon magnifique, continuo splendide, prise de son impeccable (Nicolas Bartholomée), superbe musique
https://gang-flow.com/2019/12/18/telemann-linventif-gottfried-von-der-goltz-le-talentueux/

JS Bach

Sonates pour viole de gambe et clavecin obligé

Guido Balestracci (viole de gambe)
Blandine Rannou (clavecin)

3) Anton Bruckner (1824-1896) :

Symphonie n°8 en ut mineur

= Nikolaus Harnoncourt, Orchestre philharmonique de Berlin

(Teldec, avril 2000)

La seule critique serait que je trouve cette lecture un peu trop sèche (moins les phrasés que la désincarnation des phrases), laïque (sans arrière-plans métaphysiques),
et j'aurais préféré le Wiener Philharmoniker (splendide 7° d'Harnoncourt chez le même label) plutôt que le métal froid du Berliner.
Du genre intimidant et dogmatique, qui m'aurait refroidi quand j'ai découvert ce compositeur.
Au demeurant, la hauteur de vues, la clarté des plans, l'impact des attaques, le sens dramatique (le roulement des timbales dans l'Adagio,
l'introduction frénétique du Finale !) signent une interprétation magistrale.

Aujourd’hui:

• Pettersson: Symphonies nº10 (1972)¹ et nº11 (1973)²:

Alun Francis / Radio-Philharmonie Hannover des NDR
IX.1994¹, XI.1993²
CPO

Deux très grandes symphonies qui forment une espèce de diptyque un peu à part dans l’œuvre de Pettersson - la 10ᵉ peut-être la plus impitoyable, la 11ᵉ la plus postromantique. Voir ici.

• Killmayer: Sinfonien 1-3. Nachtgedanken. La joie de vivre:

Divers interprètes
1969-1996
Wergo

Découverte passionnante du plus «néo» des compositeurs allemands du second XXᵉ - et j’ai vraiment beaucoup aimé la Symphonie 3 et Nachtgedanken. Voir ici.


Si après ça, gluckhand croit encore que je lui en veux, ainsi qu’à ses compositeurs préférés...

Asger Hamerik, symphonie 5, Thomas Dausgaard, Helsingborg Symphony Orchestra

Menahem Pressler& Quatuor Ebène - A 90th Birthday Celebration, Live in Paris



Chouette concert, dommage que ce soit si rare les enregistrements live de musique de chambre (surtout avec un DVD)

Bruckner, symphonie 4, Günter Wand, NDR-Sinfonieorchester, live de 1990

4) Johannes Brahms (1833-1897) :

Symphonie n°2 en ré majeur, Op. 73

= Fritz Busch, Orchestre de la Radio danoise

(HMV, octobre 1947)

Thomasl47 a écrit:

dommage que ce soit si rare les enregistrements live de musique de chambre (surtout avec un DVD)

Il n'y a pas de DVD avec, mais le label La Belle Saison (qui s'est fait une identité de la captation et de la restitution «brute» de concerts) a publié beaucoup de musique de chambre - notamment une intégrale de la musique de chambre de Brahms qu'Eusèbe avait fort justement recommandée.

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Cantates
• BWV 123 "Liebster Immanuel, Herzog Der Frommen"
Masaaki Suzuki / Bach Collegium Japan
• BWV 248/6 (Oratorio de Noël) " Herr, wenn die stolzen Feinde schnauben"
Ralf Otto / Vokalensemble Frankfurt, Concerto Köln
• BWV 154 " Mein liebster Jesus ist verloren "
Ton Koopman / Amsterdam Baroque Orchestra, Amsterdam Baroque Choir

5) Johannes Brahms (1833-1897) :
 
Symphonie n°1 en ut mineur, Op. 68
 
= Leopold Stokowski, Orchestre symphonique de Londres
 
(Decca, juin 1972)
 
  Rien que la scansion initiale révèle l'art démiurgique du maestro : la poix des contrebasses, le ratissage des timbales qui racle les hauts-fonds,
les subtils décalages qui contrarient les masses en subduction, des inflexions qui induisent des strates entières, ...

Un Parsifal de très haute volée, avec une mise en scène très économe,vu la taille de la scène et de l'endroit .cette économie de moyens renforce la présence lyrique ou les chanteurs sont tous formidables,surtout Kundry  (Mona Somm ) remarquable et Gurnemanz  (Franz Hawlata)  ,mais les autres aussi.On est pas dans une mysticité à tous crins, même si la mise en scène prête parfois toujours à une symbolique qui rapelle le côté sombre du .nazisme .Aucun sous-titre sur ce dvd , ce qui fait qu'on est à nu avec l 'oeuvre,une version à part des autres grandes versions, mais c'est justement ,ce qui fait l 'intèrêt de ce beau dvd.J 'aime beaucoup Kuhn, qui fait ce qu'il peut avec ce qu'il a , il fait partie de ces chefs ,avec Herbig ,lui aussi souvent mésestimés, on ne sait pourquoi?

Mozart

Quatuors à cordes K. 157, K. 458 (La Chasse), K. 589 (dédié au Roi de Prusse)

Quatuor Jerusalem (dans sa formation de 2010 : Pavlovsky, Bresler, Grosz, Zlotnikov).

Stravinsky: Petrouchka (version 1911)/Litton

+

Stravinsky: Le Sacre du printemps/Litton