Votre dernier film visionné

Demain soir sur Arte : Porco Rosso de Miyazaki.

Film d'animation sur des aventures aéronautiques au dessus de l'Adriatique à l'époque mussolinienne : un délice.

Montfort

Montfort a écrit:

Demain soir sur Arte : Porco Rosso de Miyazaki.

Film d'animation sur des aventures aéronautiques au dessus de l'Adriatique à l'époque mussolinienne : un délice.

Montfort

Merci je vais essayer de regarder.

Forrest Gump. C'est la première fois que je le voyais en anglais. Je préfère de beaucoup. Tom Hanks en doublage c'est affreux.

Montfort a écrit:

Polyeucte a écrit:

5 messages plus haut...

Caramba !!!!

Merci, je vais tenter l'expérience.

 Montfort

 Vu : pas mal, un bon divertissement très créatif sur le plan des effets spéciaux - la critique a beau avoir craché tous les morceaux possibles sur la -très mince - histoire, c'est très prenant et on ne s'ennuie pas une seconde.
Malheureusement pour moi, il y avait un problème de réglage de la 3 D dans la salle où je l'ai vu, ce qui a un peu abimé les images qui sont splendides.
Film parfaitement montrable à des ados.

  Montfort

Montfort a écrit:

Montfort a écrit:

Polyeucte a écrit:

5 messages plus haut...

Caramba !!!!

Merci, je vais tenter l'expérience.

 Montfort

 Vu : pas mal, un bon divertissement très créatif sur le plan des effets spéciaux - la critique a beau avoir craché tous les morceaux possibles sur la -très mince - histoire, c'est très prenant et on ne s'ennuie pas une seconde.
Malheureusement pour moi, il y avait un problème de réglage de la 3 D dans la salle où je l'ai vu, ce qui a un peu abimé les images qui sont splendides.
Film parfaitement montrable à des ados.

  Montfort

C'est également mon ressenti. Je m'attendais pas à un film révolutionnaire d'un point de vue narratif et effectivement, il ne l'est pas. Mais très bien conçu, filmé, pensé. Par contre, est-ce valable de l'acheter en DVD (même avec un lecteur 3D) ? Je ne sais pas trop...

Chais pas pourquoi, je n'ai pas regardé cinq messages plus haut mais quelque chose me dit que vous parlez de Gravity.

Golisande a écrit:

Chais pas pourquoi, je n'ai pas regardé cinq messages plus haut mais quelque chose me dit que vous parlez de Gravity.

Tout juste, Sherlock.

Mon esprit de déduction me perdra.

Voyeur / Ewan Macgregor /Ashley Judd /Stephan Elliott.En regardant ce film , on se dit pourquoi n'arrête t'il pas le massacre de suite ? Mais bien sûr s'il le fait le beau MacGregor, plus d'histoire et plus de film, très original cette poursuite, et très bien rythmé ce film, je vous dirai pas la fin pur que vous restiez sur la votre de faim! 

New-Mexico /Sam Pechinpah .Premier film ,je crois de ce grand réalisateur, encore des mecs torturés et des brutes en face, Maureen O'Hara n'est pas si belle que je me l'imaginais dans mon for intérieur, toujours des bons et des méchants ou des méchants et des bons qui sont parfois les deux à la fois, que l'homme est compliqué , et quand il y a une femme en jeu, il l'est encore plus ?

Tarkovski - L'Enfance d'Ivan

C'était le seul long-métrage de Tarkovski que je n'avais pas vu. On y trouve déjà une des qualités principales -pour moi- de Trakovski, qui est, au-delà de la beauté de la photographie, la maîtrise de l'image en mouvement (ce qui est pas mal pour un cinéaste).
Beau film...

Truffaut : Baisers volés.

Très beau film. Meilleur que les 400 coups.

DARK BLUE  / Ron Shelton. Un kurt Russel toujours aussi percutant dans ce film sur fond de révolte  et d'émeutes des noirs à Los Angelès après le jugement relaxant les 4 policiers qui avaient passé à tabac Rodney King , bon les flics sont pourris jusqu'à la moelle, ça peut pas durer comme ça, à la fin du film tout s'arrange, les bons triomphent et les méchants s'en vont.Scott Speedman ressemble un peu au fils à Sarkozy , le blondinet mais il fait pas long feu.Pas mal ce film ,ils savent y faire les ricains ,y a pas à dire, je vois mal un film français sur la révolte des banlieues?

UN JOUR / Lone Scherfig /Dès le début tout homme normal et normalement constitué tombe amoureux de l'actrice Anne Hathaway, tellement elle est craquante, sauf bien sûr le héros de cette histoire qui a toujours eu ,tout tout cuit, il n'avait même pas à se baissser pour en avoir des filles et du fric, et oui c'est pas juste la vie, on a de belles choses gratuites et on les voit pas, belle bleuette sentimentale ,Jim Sturgess est au final ,un peu agaçant avec sa belle gueule!

THE SPY WITHIN /Steve Railsbach.Avec Scott Glenn, faut dire que je m'y perds un peu dans les Scott et les Glenn, par contre l'actrice  Théresa Russell est formidable et belle  ,on dirait un peu Diana Rigg dans chapeau melon et bottes de cuir, et comme Scott Glen ressemble a un peu a David Carradine , on a un peu l'impression qu'on les connaît déjà, un film d'espions , ou les espions tirent très mal, sont très cruels et qui heureusement ne gagnent pas la partie, manquerait plus que ça?

Cololi a écrit:

Truffaut : Baisers volés.

Très beau film.

Balzac, Delphine Seyrig, Trenet... On pouvait être certain que ce film allait te plaire.  

Citation :

Meilleur que les 400 coups.

C'est dur à soutenir du seul point de vue artistique, mais "sentimentalement" pour moi il ne fait aucun doute que Baisers volés est le chef-d'oeuvre de Truffaut.

La Reine Christine de Robert Mamoulian, en VOST bien entendu.

Premier film que je voyais avec Greta Garbo. Ce que je vais dire est très convenu mais je lui trouve une prestance, un ton de voix assez fascinant et quelque chose de magnétique dans le regard. Le film en lui-même n'est pas passionnant mais l'incarnation est très convaincante. Je regarderai d'autres films avec cette actrice, uniquement évidemment ce qui existe en DVD en privilégiant Le Roman de Marguerite Gautier et Anna Karénine de Clarence Brown. Le second, quand j'aurai lu le roman.

Tu peux rajouter Ninotchka de Lubitsch à ta liste (David ne me contredira pas je pense).

Fellini : La Strada

Je suis partagé

La Strada me laisse ambivalent aussi. Plus mélo que ça tu meurs. Mais en même temps c'est une histoire universelle. C'est presque un sujet de Bresson. Mais bien sûr çà aurait été traité dans un style totalement opposé.

Hôtel du Nord de Marcel Carné. Savoureuses tranches de vie. Quelle artmosphère  Arletty vole la vedette. Au départ c'était censé être un film très conventionnel avec Jean-Pierre Aumont et Annabella. Le scénariste Jean Aurenche a coupé, coupé, coupé jusqu'à ce que leurs personages deviennent auxiliaires (prétextes) et carrément secondaires.

André a écrit:

La Strada me laisse ambivalent aussi. Plus mélo que ça tu meurs.

Un mélo ? Pas l'ombre du moindre sentimentalisme larmoyant dans le film et au contraire l'humour et la poésie habituels de Fellini. Et Giulietta Masina y est merveilleuse et Anthony Quinn plutôt bon, comme à chaque fois qu'il est bien dirigé.

Non, c'est très mélo. Très, très mélo.

Pas larmoyant (voir définition Wiki ). Juste très, très, très mélo. J'adore, mais il y a des moments où je trouve que c'est un peu trop (surtout Anthony Quinn à la fin).

André a écrit:

Plus mélo que ça tu meurs.

Et ou est le probléme?

je ne parle pas par rapport a la Strada film qu'il faut que je revois (et de toute façon pour moi Fellini deviens un génie a partir de la Dolce Vita et surtout de Huit et demi ), mais du mélodrame en général qui implique certes très souvent un côté larmoyant (ça fait partie du genre) mais qui ne se réduit pas a cela et a quand même donner des œuvres fabuleuses de Douglas Sirk a Fassbinder en passant par Max Ophuls, Chaplin et même Visconti. Bien sur il n'y a pas que des chefs d’œuvres mais quand  même le mélo ne mérite définitivement pas sa mauvaise réputation!

Edit:
(je n’ai pas eut le temps de voir ton second message André)

Mon Fellini préféré demeure Le Notte di Cabiria avec Giulietta Masina et François Périer. Très mélo aussi. J'adore.

moi c'est Casanova, pas exactement un mélo ou alors extrêmement pervertis  

J'aime beaucoup La Strada même si ce n'est pas mon Fellini préféré. J'y vois un film profondément mélancolique, mais pas mélodramatique. Le mélodrame (que j'aime beaucoup dans Senso par exemple) implique pour moi des ruptures dans la narration (de manière un peu caricaturale alternance périodes heureuses/malheureuses) qu'il n'y a pas dans La Strada. Quant au côté "larmoyant" c'est quand même assez inhérent aux films "post-néo-réalistes" (perso j'aime bien).

Oui, on peut parfaitement trouver que Ladre di biciclette et Umberto D sont affreusement mélo. Pour moi ce sont d'immenses chefs-d'oeuvre.

André a écrit:

Oui, on peut parfaitement trouver que Ladre di biciclette et Umberto D sont affreusement mélo. Pour moi ce sont d'immenses chefs-d’œuvre.

  des chefs-d’œuvre sans aucun doute (et pour moi pas des mélodrames mais c'est sans importance)

Des esprits chagrins te diraient que ce sont des films "misérabilistes"

C'est un très bon qualificatif. Mais on peut en dire autant des Misérables ( ), Sans famille, Le Juif errant, etc. Ça demeure de la grande littérature, même si certains esprits chagrins trouvent ça dépassé.

André a écrit:

Non, c'est très mélo. Très, très mélo.

Désolé, André (je planchais sur mon bt, donc je réagis un peu à contretemps), mais pour moi c'est un vrai contresens : pas un film de Fellini, y compris ses premiers, dont le sujet ne soit pas transcendé par sa vision anti-réaliste et décalée, aux antipodes du néo-réalisme auquel on l'a parfois absurdement rattaché à l'époque pour les Vitelloni, Il Bidone ou La Strada parce qu'il y mettait en scène des déclassés de milieux populaires et des marginaux. La Strada a bien la trame d'un mélo sordide mais Fellini, avec son sens de l'invention si singulier qui relève déjà dans ce film de l'onirisme, filme celle-ci avec légèreté et gaîté (qui ne sont pas le propre du genre) en même temps qu'avec sa plus que fréquente tendresse, jamais compassionnelle pour autant, pour ses personnages (y compris pour la brute avinée que joue Quinn dans le film). C'est bien un film mélancolique, comme l'écrit Roderick (les films de Fellini le sont à peu près tous), mais d'une lumineuse et jubilatoire beauté qui pour moi ne doit rien au mélodrame et en fait, encore pour moi ça va sans dire, le premier film de Fellini qui soit totalement habité par la grâce poétique qui rend son cinéma si précieux.

PS : je sais, je deviens rapidement sentencieux dès que je deviens sérieux (je m'en abstiens donc en général, mais je suis un inconditionnel de Fellini).

Alifie a écrit:

La Strada a bien la trame d'un  mélo sordide mais Fellini, avec son sens de l'invention si singulier qui relève déjà dans ce film de l'onirisme, filme celle-ci avec légèreté et gaîté (qui ne sont pas le propre du genre) en même temps qu'avec sa plus que fréquente tendresse, jamais compassionnelle pour autant, pour ses personnages (y compris pour la brute avinée que joue Quinn dans le film).

ni la légèreté et la gaité ne sont fondamentalement incompatible avec le mélodrame le genre les fait cohabité avec la tristesse et des moments intensément tragique, mais de la légèreté j'en trouve dans les films de Douglas Sirk, j'en trouve dans les mélos chaplinesque ou  même dans un film aussi triste que l'incompris de Comencini (et même dans Autant en emporte le vent  )

Ah oui, pour Chaplin c'est évident, tu as raison. L'Incompris de Comencini, je n'en ai plus trop de souvenir, mais c'est probable. Quant à Sirk, d'accord, mais ça n'est pas ce qui caractérise le plus son cinéma, à la différence de celui de Fellini. Quant à la dimension compassionnelle, on n'y échappe pas je crois dans un authentique mélodrame (mais je veux bien me tromper, ça n'est pas plus grave que ça).

Alifie a écrit:

Ah oui, pour Chaplin c'est évident, tu as raison. L'Incompris de Comencini, je n'en ai plus trop de souvenir, mais c'est probable. Quant à Sirk, d'accord, mais ça n'est pas ce qui caractérise le plus son cinéma, à la différence de celui de Fellini. Quant à la dimension compassionnelle, on n'y échappe pas je crois dans un authentique mélodrame (mais je veux bien me tromper, ça n'est pas plus grave que ça).

la dimension compassionnelle est effectivement inhérente au mélodrame, mais d’après mes souvenirs de la Strada je n'ai pas  l'impression  que la compassion en soit absente, mais je pense que je ne comprend pas bien ce que tu met derrière "dimension compassionnelle"?

Zut, je suis refait : en très bref, pour moi cinéma compassionnel = bons sentiments, la plupart du temps monolithiques et souvent dégoulinants, projetés sur les personnages (exemple, même si je vais encore me faire taper : Carla's Song de Ken Loach). Je ne vois jamais ça chez Fellini qui traite la quasi-totalité de ses personnages (comme les 3 protagonistes de La Strada, Gelsomina comprise) avec une certaine cruauté même si pour la plupart d'entre eux avec empathie.

Je dois m'en tenir là même si c'est un peu court, désolé (sanglier extra-forumesque sur le feu).

Alifie a écrit:

Zut, je suis refait : en très bref, pour moi cinéma compassionnel = bons sentiments, la plupart du temps monolithiques et souvent dégoulinants, projetés sur les personnages.

Tu te doute qu'étant donné tout ce que j'ai écris sur le mélodrame plus haut je ne suis d'accord ni avec le dégoulinant (enfin a la rigueur je peux t'accorder ça mais ça n'est pas toujours le cas), ni avec le monolithique, et si le mélodrame n'évite pas les bons sentiments c'est un genre qui ne manque aucunement de cruauté que ça soit dans les événements qui arrivent aux personnages, ou même dans leur caractérisation qui n'évacue pas forcément l'ambiguïté (encore une fois Sirk, dans un film comme les mirages de la vie, mais on pourrait évoquer certains Wyler) même si l'ensemble implique souvent une certaines stylisation

Gravity : Oui bon bah c'est un beau spectacle, on passe un beau moment mais je suis de l'avis d'Elvira, c'est pas le genre de film qu'on achète en DVD.

La vache, tous les retours que j'ai vont dans le même sens, j'ai même eu 'quelle arnaque ! tout ce foin pour ça'
Sinon, je me refais toute la série de la planète des singes, depuis les années 60.

C'est tout à fait ça !

Wooo il y en a combien ?

frere elustaphe a écrit:

Sinon, je me refais toute la série de la planète des singes, depuis les années 60.

C'est génial ça, on lit toujours le premier est formidable les autres ne servent à rien, mais je ne suis pas de cet avis, je les trouve tous chouettes, il y a une idée intelligente à chaque fois.

Oui ! Et je me rends compte que je ne connais bien que le tout premier et les récents.

La première série, y en a 5 en tout.

frere elustaphe a écrit:

La vache, tous les retours que j'ai vont dans le même sens, j'ai même eu 'quelle arnaque ! tout ce foin pour ça'
Sinon, je me refais toute la série de la planète des singes, depuis les années 60.

Je pense que ce film fait un tabac parce que c'est peut-être l'un des rares films où la 3D est à ce point excellente. Plus besoin d'aller au futuroscope pour avoir ce genre de ressenti...

Xavier a écrit:

frere elustaphe a écrit:

Sinon, je me refais toute la série de la planète des singes, depuis les années 60.

C'est génial ça, on lit toujours le premier est formidable les autres ne servent à rien, mais je ne suis pas de cet avis, je les trouve tous chouettes, il y a une idée intelligente à chaque fois.

Tout à fait d'accord. Même si le premier reste à mon sens le meilleur, j'avais été très impressionné par celui (le cinquième, je crois) décrivant la rébellion des singes devenus intelligents et montrant des scènes d'émeute très graphiques, surprenantes par leur violence brute et leur réalisme.

@Parsifal : Moi non plus je ne suis pas d'accord avec moi.

En tout cas pas pour superposer "cinéma compassionnel" et mélo, comme mon post express peut le laisser entendre. D'ailleurs dégoulinant relève du péjoratif, pour qualifier ce que qui peut m'insupporter dans un certain type de cinéma, révulsant pour moi : Carla’s Song (dont les protagonistes me donnent à peu près autant envie de leur filer des baffes et les exiler au goulag que le couple secondaire d’Autant en emporte le vent pour toi),  Paris, Texas et sa scène finale qui me donne la nausée parce que je n’y vois qu’abominable fausse pudeur des sentiments, alors que tu y vois tout l’inverse (ce n’est pas un casus belli puisqu’on en a déjà parlé, en mesurant une fois de plus les fréquents écarts de nos subjectivités respectives). Il me semble qu’on peut désigner le Loach (cinéaste que j’aime beaucoup par ailleurs) comme un mélo, mais pas, malgré son point d’orgue final, le Wenders (que j’aime aussi beaucoup… jusqu’à Paris, Texas).

Monolitique, par contre, je maintiens pour le mélo, il me semble tout de même que c’est le genre qui le veut (en y incluant les basculements de l’abjection à la rédemption ou l’inverse) : les personnages des grands mélos de Griffith, par exemple, ne sauraient avoir droit à la complexité puisqu’ils incarnent des archétypes. Chez Sirk, plus de modernité dans le traitement du mélo vaut forcément un peu plus de complexité, voire de l’ambiguïté, mais nécessairement stylisées, comme tu l’écris.

Voilà pourquoi, au-delà de mon groupiisme fellinien, je ais à la réflexion d’André : je suis incapable de voir, au moins dans l’instant, un seul personnage, même de second ordre, de Fellini qui ne soit pas nourri d’une vraie complexité (et dans La Strada comme dans tous ses autres films, hormis peut-être ceux de Prova d’Orchestra, mais c’est le film qui veut ça), complexité qui met forcément le spectateur à distance : aucun d’entre eux ne peut être une surface projective pour le spectateur, si tous le sont pour le réalisateur. A l’inverse du mélo donc, même si dans le mélo cette projection n’est que virtuelle et que l’émotion du spectateur n’en est pas directement la résultante (pour le muet au moins).

Je m’arrête là (avant de trop partir en vrille).

The Deadly Spawn — Vous aimez les séries Z ? Vous aimerez sans doute The Deadly Spawn. Vous n'aimez pas les séries Z ? Vous risquez de ne pas aimer The Deadly Spawn. Vous aimez les glaces au citron ? Je ne vois vraiment pas le rapport. Mais dans tous les cas, j'en parle un peu plus longuement ici pour qui cela intéresse !

Alifie a écrit:

Monolitique, par contre, je maintiens pour le mélo, il me semble tout de même que c’est le genre qui le veut (en y incluant les basculements de l’abjection à la rédemption ou l’inverse) : les personnages des grands mélos de Griffith, par exemple, ne sauraient avoir droit à la complexité puisqu’ils incarnent des archétypes. Chez Sirk, plus de modernité dans le traitement du mélo vaut forcément un peu plus de complexité, voire de l’ambiguïté, mais nécessairement stylisées, comme tu l’écris.

ça n'est vrai a mon avis que pour un certains type de mélo  un film comme l'incompris  de Commencini qui est pourtant bel et bien un mélodrame ne présente aucunement des archétype, ce sont des gens relativement ordinaire qui ne sont pas spécialement stylisé, le mélodrame vient ici du caractère larmoyant (ce n'est pas  négatif ici, d'autant que les larmes a un regard profondément juste sur l'enfance) qui alterne avec des passages beaucoup plus léger presque de comédie, sur fond de désordre familial  (chose plus ou moins inhérente au mélodrame, en tout cas au cinema, en ce sens Paris Texas n'est pas si éloigné que ça du mélodrame)

Bien vu, même si Comencini est un cas-limite puisqu'il a suffisamment de plasticité pour passer d'un genre à l'autre dans le même film.

Spoiler:

j'ai déjà un sujet pas encore précisément définis mais ce seras sur la fille de Ryan de David Lean

mais effectivement travailler sur le mélodrame m'interesserais!

Parsifal a écrit:

j'ai déjà un sujet pas encore précisément définis mais ce seras sur la fille de Ryan de David Lean

mais effectivement travailler sur le mélodrame m'interesserais!

Ca m'a l'air bien plus sympathique que ton sujet de Master 1.

C'est pourtant trés bien le Free Cinema!

Certes, mais quand le prend pour sujet de master, mieux vaut avoir de bonnes relations avec sa directrice de mémoire, non ?

Alifie a écrit:

Certes, mais quand le prend pour sujet de master, mieux vaut avoir de bonnes relations avec sa directrice de mémoire, non ?

 

Alifie, tu es incorrigible !

Alifie a écrit:

Certes, mais quand le prend pour sujet de master, mieux vaut avoir de bonnes relations avec sa directrice de mémoire, non ?

Comment pourrait il en être autrement ?
Tu crois que Parsifal ne veut pas réussir dans la vie ?  

tutut ! pour ce qui est de toi-même, on ne sait pas exactement ce qu'il en est (alors qu'Elvira elle nous a déjà livré des éléments assez probants)